Austérité et complot fasciste
Depuis plus de 5 ans, l’Occident vit sous le signe de l’austérité économique. L’exemple le plus flagrant de cet état de fait est la Grèce, qui subit une cure d’austérité capitaliste impitoyable. Baisse des salaires, des pensions de retraite, et des diverses allocations, chômage, pauvreté, désespérance, tous les ingrédients du complot fasciste sont présents. Et comme par hasard, des groupements nazis du type Aube Dorée apparaissent, comme s’ils n’attendaient que cette occasion pour sortir de leur trou, comme s’ils étaient les créatures de ceux-là mêmes qui ont provoqué la crise.
Ces fascistes ne s’en prennent jamais aux banques internationales ni aux riches locaux ; ils s’en prennent à des vendeurs à la sauvette Afghans ou Sénégalais, qui ne sont pour rien dans la crise, mais qui sont utilisés dans le rôle classique de boucs émissaires. Et pendant ce temps, les armateurs continuent allègrement de frauder le fisc, et de s’enrichir, pendant que le peuple meurt pratiquement de faim.
Dans les années 30, c’est la politique d’austérité menée alors par Brunning, à base de baisse de salaires et de pensions, qui a conduit à la montée du nazisme, et à l’arrivée de Hitler au pouvoir. Les nazis ont-ils été créés comme un rempart destiné à détourner une population paupérisée par la crise, du communisme, ou cette crise elle même et-elle le résultat d’un complot fasciste visant à affamer les citoyens jusqu’au moment où ils réclament l’instauration de la dictature ? Il est probable que c’est la deuxième hypothèse qui est exacte.
Cette crise présentée comme une fatalité depuis les années 70 ne serait-elle pas la pièce majeure du complot fasciste visant à supprimer progressivement toute liberté, toute forme de redistribution, toute forme d’équité économique, toute forme de joie de vivre, hormis pour les vieux vicieux qui pourrissent impunément la vie des gens grâce à leur matériel de surveillance.
En Europe, aux Etats-Unis, depuis la crise de 2008, aucune mesure n’a été prise pour relancer l’économie. On bloque les salaires, on refinance les banques, on diminue les dépenses publiques, on fait travailler les vieux, alors qu’il faut faire exactement le contraire. Il faut augmenter les salaires pour relancer la consommation et donc la production, il faut mettre les vieux à la retraite pour laisser la place aux jeunes, il faut augmenter les impôts des riches et entreprises pour redistribuer, désendetter, rééquiper.
Quand les gouvernements du monde développé font systématiquement le contraire de ce qu’il faudrait faire, il ne s’agit plus d’erreur mais d’un plan délibéré pour amener les fascistes au pouvoir. Rassemblés dans divers groupements tels la Trilatérale, le CFR, Bildenberg, le Siècle et autres organisations fascistes, patronales et ploutocratiques encore plus secrètes, les nazis complotent en silence, présentant comme une fatalité, une crise qu’ils provoquent et entretiennent eux-mêmes.
La question qui se pose est simple : soit on fait cesser ces politiques d’austérité suicidaire, soit nous auront bientôt les fascistes au pouvoir, avec le cortège d’horreurs qui les accompagne toujours : tortures à domicile, harcèlement, guerres visant principalement les civils, rétablissement d’une sorte de servage généralisé, dictature de vieux riches pervers, génocides, atrocités diverses.
Le fascisme de demains sera pire que celui d’hier en raison de la puissance du Mind Control. Aujourd’hui les satellites peuvent torturer sans tuer ; les séances de tortures intenses peuvent se prolonger des années, sans que la victime ne meure alors qu’avec les méthodes traditionnelles, les torturés décédaient à partir d’un certain niveau de souffrance.
Il est probable que les fascistes ont l’intention de généraliser la torture par satellite en tant qu’instrument de régulation de la société : chaque patron aura le droit de torturer ses employés, chaque préfecture, chaque mairie, chaque commissariat, chaque parti politique fasciste, aura alors la possibilité de tourmenter les citoyens, sans raison précise, juste pour diffuser la terreur dans la société. Cette situation existe déjà de nos jours, quand de riches cinglés, finançant les hommes politiques, ont la possibilité de harceler, torturer et tuer d’honnêtes citoyens, internautes, militants associatifs, ou simples salariés.
Pour finir, rappelons nous bien ceci : tous les partisans de l’austérité font partie du complot fasciste. Ils nous emmerdent avec leur crise économique qu’ils provoquent eux mêmes depuis plus de 30 ans. Ils ont l’intention d’aggraver cette crise jusqu’à ce que nous renoncions à toutes nos libertés en votant pour les nazis ou les fascistes. D’ores et déjà ils harcèlent et espionnent les citoyens à leur domicile ; ils ventriloquent les politiques pour leur faire dire ce qu’ils veulent ; il organisent des attentats terroristes pour limiter toujours plus les libertés publiques; ils favorisent le racisme pour diviser la société. Toutes les solutions à la crise qu’ils proposent passent immanquablement par exonérer les riches et faire payer les pauvres et moyens d’une manière ou d’une autre. par ce fait, ils déséquilibrent la répartition des revenus et aggravent donc la crise par une limitation de la demande effective et la mise à disposition de capitaux gigantesques destinés non plus à la consommation mais à la spéculation.
L’alternative des prochaines années est simple : le retour de la justice sociale ou un nazisme qui sera pire que le précédent.