Les étouffeurs
Les fascistes du Mind Control sont les spécialistes de l’étouffement. Ils agissent dans avions, les métros, les voitures, les ascenseurs, les boîtes de nuit, les restaurants, les appartements, les lieux de travail. Ces étouffeurs créent des sensations claustrophobes intenses et des paniques pratiquement incoercibles. Dans le cas de voyages en avion qui peuvent durer des heures, les étouffeurs peuvent transformer un simple déplacement en chemin de croix. Une seule minute d’étouffement intense provoque une sensation atroce, quand elle s’opère dans un milieu confiné ou à forte densité humaine. Si ce moment de souffrance et de panique se prolonge pendant des heures, la victime ressent la sensation d’une plongée en enfer.
Ces rayons satellites provoquant la panique ont été utilisés lors de la première guerre du Golfe. Les soldats irakiens avaient alors tous quitté leur positions, incapables de résister à la puissance de cette technologie. Ces armes militaires ultra-perfectionnées, sont maintenant utilisées contre des civils innocents, et notamment des internautes, dont le seul crime est de s’être fait repérer par les fascistes de la surveillance satellitaire.
Les agressions par rayons étouffants gênent considérablement les déplacements des citoyens victimes de la répression fasciste. Ils ne peuvent plus aller travailler, plus partir en vacances, plus prendre l’avion. Les fascistes leur volent leur vie, tout en se remplissant allègrement les poches. Ces étouffeurs peuvent toucher 5 ou 6000 euros par mois pour persécuter des innocents. Ces innocents eux, non seulement ne sont pas payés, mais sont la plupart du temps interdits d’activité rémunérée.
Les fascistes invitent, lors des séances de torture, de riches cinglés ou des personnages importants, qui participent aux réjouissances, insultant et étouffant les victimes, ivres d’une haine démente, commune chez les alcooliques d’extrême droite. Tout cela se fait avec la complicité des compagnies aériennes ou ferroviaires, qui accompagnent les séances.
On se demande comment ce type de persécution peut être toléré dans une société démocratique. A mesure que les cibles dépérissent, les tortionnaires fascistes s’épanouissent, s’enrichissent, et vont ensuite dépenser l’argent de la torture dans des stations de ski huppées, pénétrés de leur toute puissance malfaisante.
Jusqu’à quand ces criminels vont-ils rester impunis ? C’est l’impunité des fascistes qui tue les démocraties.