Néo-libéralisme : c’est une création du Mind Control
Le néo-libéralisme est apparu brusquement dans les années 80, imposant des programmes économiques grotesques, et ce dans la plupart des pays occidentaux. En 1979, Margaret Thatcher commence son programme de baisses d’impôts et de privatisations au Royaume Uni, de même que Ronald Reagan aux Etats-Unis en 1980. Nous sommes alors passés d’une économie keynésienne qui fonctionnait bien, à une économie néo-libérale qui a détruit progressivement l’industrie des pays développés. Les baisses d’impôts pour les plus riches ont ruiné les Etats et les ont poussés à l’endettement, les privatisations ont permis aux nouveaux actionnaires de fermer des milliers de sites de production, de délocaliser pour rentabiliser à cout terme. Les nouveaux actionnaires, fonds de pensions et financiers, ne savent pas raisonner à long terme ; ils ne pensent qu’à leurs profits immédiats, ce qui est leur fonction. En tant que capitaux privés, ils n’ont pas à s’occuper des intérêts de leurs salariés ou de ceux de leurs pays.
Les baisses d’impôts pour les riches devaient générer plus d’impôts selon des théories néo-libérales fumeuses. En réalité, les baisses de taux ont généré une baisse des recettes fiscales, et en plus une augmentation des inégalités qui on obéré la croissance. La politique économique libérale a partout engendré un ralentissement de la croissance et une augmentation de l’endettement. Ce processus s’est approfondi au cours des années 90 et continue de nos jours. Surendettement, croissance faibles, inégalités, fermetures d’usines, suppression des bons emplois pour les remplacer par des emplois précaires. Les ravages du libéralisme sont connus ; ce que tout le monde se demande c’est pourquoi on ne revient pas à des politiques économiques plus efficientes. La réponse tient en deux mots : Mind Control.
C’est le Mind Control (la surveillance par satellite), instrument entre les mains de la ploutocratie fasciste internationale et de la finance, qui impose ces politiques néo-libérales qui nous conduiront à la crise, à la dictature et à la guerre mondiale. Toutes les mesures imposées par les gouvernements occidentaux ont toujours le même but : transférer l’argent des pauvres vers les riches. De cette manière se crée un déséquilibre dans la répartition des revenus, qui génère des crises des la demande. Les pauvres se paupérisent et donc ne consomment plus et mettent les entreprises en faillite, et les riches boursicotent avec leurs milliards et alimentent ainsi la spéculation, qui elle-même génère des crises financières périodiques de plus en plus graves. Ces politiques néo-libérales sont similaires à celles qui étaient appliquées dans les années 30 avec les résultats qu’on connait. Elles n’ont pu être remises au goût du jour que par la tromperie et la contrainte du Mind Control, de même que par la corruption des élites politico-médiatiques.
Le Mind Control permet de manipuler les esprits, de créer une aversion artificielle pour les prélèvements obligatoires par exemple, en manipulant les émotions des dirigeants. On peut associer une émotion négative à une mesure, telle les impôts pour les riches, en surveillant en permanence par les satellites du Mind Control les décideurs. A chaque évocation d’une hausse d’impôts pour les riches, le décideur va ressentir une sorte d’énervement, de léger étouffement, qui vont lui rendre cette mesure insupportable. Par contre, à la seule évocation d’une baisse d’impôts pour les riches, le politique ou le journaliste va au contraire ressentir une douce euphorie qui va lui faire accroire que c’est vraiment la mesure à prendre, surtout lorsqu’il est grassement payé pour cela.
De fil en aiguille, des mesures néfastes pour les nations sont mises en place, mesures qui finissent par nous mener à la situation où nous sommes aujourd’hui, soit une période de déclin qui va en s’aggravant, et qui finira par aboutir à une catastrophe irréparable.
Pour illustrer ce phénomène de la contrainte qu’impose le Mind Control sur les décideurs de la politique économique, étudions la question des retraites. Dans toute l’Europe, tous les dirigeants nous affirment que « puisqu’on vit plus longtemps, alors il faut travailler plus longtemps ». Tous répètent cette phrase, comme s’ils l’avaient apprise par cœur, comme s’ils étaient hypnotisés. En réalité, alors que dans certains pays le chômage des moins de 25 ans dépasse les 50% , tout le monde sait qu’il faut mieux faire travailler les jeunes et chômeurs et laisser les vieux partir à la retraite, plutôt que de faire travailler les vieux et mettre les jeunes au chômage. Puisque la plupart des chômeurs sont rémunérés, cette mesure aurait un coût raisonnable. Mais non, les perroquets n’en démordent pas : il faut faire travailler les vieux et mettre les autres au chômage. Cette mesure est d’autant plus ridicule que les entreprises ne veulent en général pas de vieux dans leurs rangs. Là encore, la puissance du Mind Control impose sa loi, pour notre plus grand malheur.
Pour les privatisation idem ; alors que les entreprises publiques fonctionnent très bien, telles EDF, Areva, la SNCF, dès que ces entreprises sont privatisées, le prix pour les usagers augmente et les conditions de travail des employés se dégradent. Ceci s’explique par le coût de la rémunération des actionnaires, qui se servent à la fois sur les employés et sur les clients. La logique économique voudrait que l’Etat et le secteur public acquièrent le maximum d’entreprises et utilisent les bénéfices effectués pour renflouer les caisses de l’Etat.
La bonne économie consiste à renforcer le secteur public, à augmenter les prélèvement obligatoires, à faire payer les riches, la finance et les multinationales, ne serait-ce que pour mieux maîtriser les ultrasriches qui aujourd’hui dirigent le monde. Au lieu de ça, c’est le contraire qui est fait. En dépit de toute logique, de tout bon sens. Et, évidemment, les résultats sont catastrophiques. Quand un pays d’Europe de l’Ouest dépasse un taux de croissance de 1%, il apparait un peu comme le phénix du continent alors que dans les années 60, les taux de croissance dépassaient presque partout les 5%.
Pour résumer, tous les malheurs actuels des pays développés proviennent du Mind Control, lui même émanation de la ploutocratie fasciste, de la finance et du nazisme international. Pour faire cesse cette situation qui nous mènera tous dans un enfer technologique où la cruauté sera le mode de vie habituel de toute la société, il faut lever la loi du silence sur le fascisme satellitaire, cesser de collaborer avec le nazisme sous toutes ses formes, libérer les cyber-détenus le plus rapidement possible et les indemniser, et ensuite revenir à une politique économique keynésienne améliorée, à base de nationalisations, de hausses des salaires et des impôts, de planification économique et industrielle, de réduction du temps de travail en fonction des gains de productivité. Cette politique générera croissance, équité et joie de vivre, à comparer avec l’enfer que nous ont créé les fascistes libéraux depuis 30 ans, qui n’est que la première étape en direction de la société totalitaire néo-nazie qu’ils nous préparent.