12 avril 2013

Cyber-esclaves

Classé dans : Mind Control — mindcontrolfrance @ 18 h 24 min

 

 

Les fascistes ont, depuis qu’ils utilisent le Mind Control (MC), rétablit l’esclavage sous une nouvelle forme. Le cyber-otage, qui s’est fait repérer pour une raison ou une autre, (activité politique ou internet) devient rapidement un cyber-esclave, une sorte de jouet pour les membres de l’oligarchie qui peuvent le harceler par des gênes diverses, l’injurier par neurophone, le frapper par contrôle des mouvements à distance, le torturer physiquement et moralement, lui casser des dents, l’empêcher de déféquer ou d’uriner, l’isoler de ses relations habituelles, lui imposer des « chiens de garde » fous, délinquants, sadiques, criminels, casser son matériel électroménager, ses  fauteuils. Les chiens peuvent endormir le cyber-esclave quand il est occupé et le réveiller quand il est en train de dormir dans son lit, selon leur bon vouloir ou celui de leurs maîtres. Les cyber-gardes sont de véritables cyber-chiens mafieux, qui s’en prenne à des citoyens innocents qui sont réduits à l’état de cyber-taulards, et plus précisément de cyber-esclaves, dans la mesure où ils ne savent pas pourquoi ils sont condamnés et combien de temps durera leur cyber-détention. La plupart du temps, les cyber-esclaves ne sont jamais relâchés. Leurs fonction est de servir de cyber-punching-balls, physiques ou mentaux à divers fous fortunés ou importants et à leurs chiens. Ce cyber-esclavage  équivaut généralement à une condamnation à perpétuité de personnes innocentes par des gens qui eux, sont coupables, et ce en vertu de la loi du plus fort, la seule que connaissent les fascistes.

Cet esclavage finit par ressembler à celui des esclaves de l’Antiquité, le cyber-esclave servant d’animal de compagnie aux familles des oligarques, qui le harcèlent de temps à autres pour se défouler un peu. Le cyber-esclave n’a le droit de rien faire d’autre que de distraire ses cyber-maîtres. Le cyber-esclave n’a pas le droit d’avoir une vie privée, la cyber-surveillance l’isolant en permanence, il n’a pas le droit de porter plainte, les administrations lui faisant comprendre qu’il n’a absolument aucun droit. Il n’a pas le droit de faire du sport, pas le droit de travailler de manière régulière, pas le droit de voyager sans être étouffé de manière intense, pas le droit de dormir longtemps sans interruption, pas de droit de lire sauf pendant une durée limitée, pas le droit de faire du jogging, pas le droit de faire de vélo, pas le droit d’avoir un seul instant de tranquillité sans être insulté ou harcelé par le neurophone, et tout cela au vu et au su de toute l’oligarchie internationale. Le cyber-esclave ne peut pas changer de pays, car ses cyber-gardes le suivent partout, les réseaux de satellites ayant une envergure internationale. Arrivé dans un nouveau pays, il sera harcelé à la fois par ses gardes habituels, et par la cyber-surveillance locale, policière, militaire ou privée.

S’il cherche à se plaindre, les associations de défense des Droits de l’Homme et les partis politiques et associations, lui font rapidement comprendre qu’il n’a pas le droit à la moindre aide, ni même la moindre compassion. Le simple fait d’être innocent au sein d’une élite de criminels assure au cyber-esclave la haine de tous. Globalement, comme dans l’Antiquité, le cyber-esclave n’a droit à rien, même pas au droit de vivre, puisqu’il peut être éliminé par ses maîtres quand ils le veulent. Le cyber-esclave, réduit à l’état animal, est de plus obligé de subir, lorsqu’il allume sa télévision,  les discours hypocrites des oligarques, qui osent prétendre que nous vivons en démocratie, alors même qu’ils sont bien placés pour savoir que cette prétendue démocratie n’est qu’une dictature et que tout un chacun peut être victime un jour de l’arbitraire de la dictature ploutocratique qui dirige l’Occident s’il s’avisait à critiquer le Système de manière incontrôlée.

La liberté ne se divise pas ; quand un innocent en est privé,  c’est l’ensemble de la société qui est mise en cage. Les citoyens informés se demandent juste quand ils vont être enchaînés par le moloch totalitaire qui se cache derrière les sourires sournois des pontes de l’oligarchie.

Laisser un seul innocent aux mains des pervers flétris du fascisme hypocrite, c’est renoncer, à terme, à tous ses droits. En libérer un, c’est permettre enfin à toute la société de respirer librement.

2 réponses à “Cyber-esclaves”

  1. belair dit :

    Il faut une grande rencontre des
    Victimes pour commencer le combat

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