FDG : pourquoi il ne décolle pas
Le FDG ne décolle pas, malgré les nombreux passages de Jean-Luc Mélenchon dans les médias. Les interventions de JLM manquent singulièrement de précision et n’emportent généralement pas la conviction du public, bien que fondamentalement plus de la moitié des Français approuvent sa position de lutte contre le ploutocratie capitaliste qui mine actuellement notre continent.
Alors que les autres partis ne proposent rien d’autre que du sang et des larmes pour le peuple et des baisses d’impôts pour la caste dirigeante fortunée, le FDG stagne à 12% des intentions de vote au premier tour là où il devrait dépasser les 20%.
Tout le monde sait que JLM est gêné par le Mind Control. C’est visible dans ses sautes d’humeur intempestives, que ce soit contre un étudiant en journalisme qui lui parle des maisons closes ou en direction de divers journalistes qui ne cessent pourtant de l’inviter partout. Ces sautes d’humeur ne sont pas le cœur du problème, les électeurs préférant généralement un politicien gauchiste énervé à un agent du Médef détendu. Le problème du FDG est ailleurs : stratégique et médiatique.
La communication
Les interventions de JLM et du reste du FDG se caractérisent par une absence systématique de propositions concrètes. Si on ne lit pas les ouvrages de JLM ou les brochures du mouvement, on ne sait pas quelles sont les mesures préconisées par le FDG. Des propositions telle la hausse du smic ou des impôts des riches sont peu présentées, d’autres éléments du programme du FDG sont inconnus de ceux qui n’ont pas acheté la brochure du mouvement comme par exemple le RSA à 800 euros, aucune retraite inférieure au smic, le remboursement à 100% des dépenses de santé. Ces propositions font la différence entre un programme correspondant aux intérêts de la majorité de la population, et ceux des autres partis à base de baisse d’impôts pour les riches, de suppression des libertés, d’austérité pour les salariés et d’allocations pour les patrons, de suppression des droits syndicaux et salariés, et d’encensement de l’entreprenariat alors que la majorité de la population est salariée.
Par conséquent, participer à une émission politique sans mettre en évidence ses points forts (le programme) c’est une erreur de communication majeure, qui condamne le FDG à stagner loin derrière les autres partis. Toute intervention médiatique qui n’expose pas tous les points du programme FDG en détail est une intervention perdue. C’est une perte de temps. On ne peut pas rester une heure à parler pour ne rien dire dans une émission, et ensuite se demander pourquoi on ne monte pas dans les sondages, alors même que tous les autres partis sont discrédités et présentent des programmes contraires aux intérêts de la majorité de la population.
Chaque mesure du programme doit être présentée, expliquée, répétée jusqu’à ce que le public et les journalistes aient compris cette mesure et la discutent. Le but d’un passage télé ce n’est pas de répondre aux questions plus ou moins biaisées des journalistes mais d’imposer sa propre logique dans l’intérêt de son parti et des électeurs. Quand on a un bon programme on le présente, et on fait la différence avec tous ceux qui n’ont pas de projet avouable et conforme aux intérêts de la majorité de l’électorat. Au lieu de ne présenter aucune mesure, il faut en présenter le plus possible et diriger la polémique sur ces mesures et non sur les sujets imposés par les médias. Pourquoi un mouvement qui propose un smic à 1700 euros devrait-il faire moins de voix que ceux qui sont partisan d’un blocage du salaire minimum à perpétuité ? Une hausse du smic de cette ampleur aurait pourtant une incidence sur les revenus d’un grand nombre de Français ! Le FDG fait moins de voix parce que la majorité des électeurs ne connaissent pas ses propositions. Il ne connaissent pas ses propositions parce que ces propositions ne sont jamais présentées ou presque. Qu’il y -t-il de si difficile à présenter son programme ? Un politicien de vient pas dans les médias pour répondre aux questions des journalistes mais pour présenter ses propositions. Les seuls qui ont intérêt à parler pour ne rien dire sont ceux qui n’ont pas de programme avouable, ceux qui veulent prendre l’argent des pauvres pour le donner aux riches, ceux qui veulent limiter ou supprimer les droits des citoyens, ceux qui veulent ruiner l’économie au profit de la finance internationale. Par contre, quand on a un bon programme, conforme aux intérêts des Français, on le présente, on le rabâche, on le martèle. C’est la base de toute bonne propagande, de toute campagne efficace. La pédagogie, c’est l’art de la répétition, tout le monde le sait.
Chaque passage médiatique doit être utilisé à faire une étude comparative des programmes. D’un côté on augmente le smic, les retraites et le RSA, de l’autre on les bloque ou les diminue. Tant que la comparaison entre programmes ne sera pas faite de manière systématique, le FDG ne décollera pas.
Chaque mesure doit être explicitée et son utilité pour l’ensemble de la société doit démontrée. Par exemple, la hausse du salaire minimum permettrait aux salariés de vivre de manière plus décente mais surtout, elle rendrait possible une sortie de la crise économique qui ravage l’Europe depuis 5 ans. Une hausse du smic augmenterait les revenus d’une partie des salariés gagnant actuellement moins de 1700 euros par mois, de même que ceux des autres salariés, de manière à maintenir la hiérarchie des salaires dans les entreprises. Beaucoup de gens bénéficieraient de cette hausse. L’augmentation des salaires générerait alors une hausse de la consommation qui permettrait d’éviter des faillites, et donc limiterait le développement du chômage. La hausse du smic ne détruit pas d’emplois mais au contraire en crée. C’est ce que n’ont pas compris les politiques. A moins bien sûr qu’ils ne travaillent tous pour le lobby fasciste, qui a intérêt à aggraver la crise pour prendre le pouvoir.
Politiquement, la hausse du smic, qui concernerait, compte tenu de l’effet d’entrainement sur les autres salaires, plus de 50% de la population, devrait rapporter au moins 20% d’électeurs.
De même la hausse du RSA et autres allocations pour pauvres crée des emplois contrairement à ce que prétendent les néo-libéraux. Les bourgeois fascistes prétendent que la hausse des allocations diverses rend les ouvriers paresseux, alors qu’eux-mêmes sont pour la plupart des pistonnés, des rentiers et des fraudeurs fiscaux. En terme de paresse, le bourgeois rentier parasite et fasciste dépasse tout le monde. En réalité, la hausse du RSA permet de relancer la consommation et donc de créer des emplois. Plus il y a de clients dans un magasin et plus la direction recrute d’employés ; c’est une évidence. Augmenter les RSA c’est donc créer des emplois et non pas en détruire comme le prétendent les nantis fascistes et ceux qu’ils manipulent. Les gens qui vivent du RSA et leur entourage représentent au moins 5% de l’électorat en France. La plupart ne votent jamais. Recruter ce type de clientèle peut être très intéressant pour le FDG. Pourquoi tous les partis défendraient-ils les intérêts des bourgeois, des patrons, des riches qui ne veulent pas payer d’impôts alors qu’ils sont archi-privilégiés, pendant que personne ne représenteraient les intérêts des hyper-défavorisés, qui sont de plus accusés d’être des « assistés » par des fils à papa sans valeur.
Pour la hausse et l’allongement des allocations chômage, le principe est le même : les chômeurs doivent être mieux indemnisés et plus longtemps. La durée d’indemnisation par les ASSEDIC devrait être d’au moins 5 ans, compte tenu de la fréquence et de la gravité des crises économiques contemporaines et des pertes d’emplois qui les accompagnent. Augmenter les allocations chômage ne détruit pas d’emplois mais en crée au contraire, comme c’est le cas avec la hausse du RSA, du smic, des retraites et autres. Plus les chômeurs seront rémunérés et plus ils consommeront et donc créeront des emplois, du chiffre d’affaire, des bénéfices, ce qui permettra ensuite à l’Etat de prélever plus d’impôts.
Les bourgeois parasites nous disent qu’augmenter les allocations chômage et le RSA encouragerait les chômeurs à l’inactivité. Si certains profitaient des allocations pour ne pas travailler et se contenter de vivoter tant mieux ! Ils laisseraient ainsi la place aux autres qui sont eux vraiment motivés. Dans la pratique, on constate que personne n’a pour objectif dans la vie de se contenter du RSA. Ceux qui vivent de cette allocation y sont contraints en raison du manque d’emplois dû aux politiques menées par les fascistes depuis 30 ans. Ceux qui disent que les chômeurs refusent de travailler sont en général des bourgeois pistonnés par leur famille qui n’ont absolument aucune qualité ou compétence particulière et qui, s’ils n’avaient pas été appuyés par leur caste, seraient eux-mêmes hors du marché du travail. Le nombre de chômeurs dépassant les 10% de la population active, des mesures bien expliquées en leur faveur pourrait apporter au moins 5% de voix au FDG.
Si on effectue un rapide calcul, bien expliquer des mesures sociales qui profiteraient à la fois aux couches défavorisées et à l’économie, rapporterait électoralement 20 % de salariés, 5% de érémistes et 5% de chômeurs, ce qui nous amène à 30% d’électeurs, ce qui est déjà mieux que 11%. Par contre, parler pour ne rien dire ne rapportera aucune voix, mais en fera perdre, les autres candidats, qui eux n’ont pas de programme, sont par contre spécialisés dans l’action psychologique et le discours manipulateur. Il disposent de surcroît de l’appui des satellites du Mind Control. Pour les vaincre, ils faut des propositions concrètes, bien expliquées, martelées systématiquement.
Comportement
Les apparitions de JLM à la télévision se caractérisent par un certain emportement, probablement dû à l’action des satellites du Mind Control. Le but des fascistes de la surveillance est de le discréditer et de le folkloriser un peu comme ça avait été fait avec Georges Marchais. Agresser un leader politique par le Mind Control est évidemment interdit par la loi et c’est de plus une atteinte grave à la démocratie. Si, tous ceux qui défendent les intérêts du peuple sont systématiquement gênés lorsqu’ils expliquent leur projet, alors, les gagnants du système seront ceux qui défendent les intérêts de la finance internationale, du patronat et du fascisme ploutocratique, qui eux ne sont pas gênés. Les mouvements partisans du blocage indéfini des salaires et de la baisse des prélèvements obligatoires, tels l’UMP, le Modem, le FN et le PS, peuvent ainsi développer leurs arguments ineptes en toute quiétude, empreints de la sérénité du juste, pendant que ceux qui cherchent à redresser l’économie par le partage des richesses et la relance de la consommation sont systématiquement la cible des interférences satellitaires destinées à nuire à la clarté de leur discours.
Dans ces conditions, les partis défendant la justice sociale et travaillant pour les intérêts de la grande majorité de la population sont réduits à obtenir systématiquement des scores électoraux médiocres ou faibles, pendant que ceux qui roulent pour le grand capital, la finance et le fascisme disposent de toutes les facilités d’expression et de communication. Qui peut avoir envie de voter pour un personnage qui explose de rage toutes les 5 minutes sans proposer la moindre solution, alors que ces solutions sont présentes dans son programme ? Pas plus de 11% des électeurs dans le meilleur des cas.
Quand on est l’objet d’attaques de satellites fascistes, la moindre des choses est de dénoncer le phénomène, faute de quoi, il faut se résoudre à être l’éternel perdant des consultations électorales. La gauche radicale ne gagne jamais aucune élection parce que ces élections sont truquées dans toutes nos »démocraties » occidentales. Il n’est point besoin d’avoir fait l’ENA pour comprendre que si les électeurs votent systématiquement pour des partis qui agissent contre leurs intérêts, c’est parce que les élections sont truquées. Les leaders qui défendent le peuple et proposent des hausses de salaires sont systématiquement entravés illégalement dans leurs efforts, pendant que ceux qui n’ont d’autre objectif que d’instaurer l’austérité pour le peuple et les baisses d’impôts et de charges pour les patrons sont eux élus, qu’il appartiennent à la droite, à l’extrême droite ou à la gauche sociale-libérale.
Lever la loi du silence sur les questions de Mind Control est une condition nécessaire pour rétablir l’équité dans les élections en France comme dans le reste du monde.
Ceci étant dit, les excentricités de JLM sont néanmoins beaucoup plus productives que l’attitude effacée et conformiste d’autres leaders de gauche, notamment ceux du PCF, qui, malgré leur programme conforme aux attentes des classes populaires, sont tombés à moins de 2% des suffrages aux dernières élections présidentielles où ils se sont présentés de manière indépendante.
Il faut donc dans les faits combiner sautes d’humeur et indignations calculées avec des propositions économiques et sociétales calmement et précisément argumentées, qui permettent de faire la différence avec les partis patronaux. Pour pouvoir réaliser cela, il ne faut pas être dérangé par les manipulateurs du Mind Control qui travaillent dans l’ombre pour le grand capital et le fascisme. Sans levée de l’omerta sur la question de la surveillance satellitaire, il est probable qu’aucun parti vraiment de gauche ne gagnera d’élection en Europe. A moins bien sûr qu’ils ne vendent leur âme au diable et qu’ils rejoignent ainsi leurs collègues des autres tendances politiques.
Démocratie
Prétendre que nous vivons en démocratie alors que tout le monde sait bien que notre régime politique est une dictature ou au mieux une semi-dictature, est une erreur très grave. Le public se doute que notre système est une dictature, sinon pourquoi les salaires seraient-ils bloqués, pourquoi les gouvernements de gauche comme de droite baisseraient-ils les impôts des riches et multinationales pour ensuite faire travailler les gens jusqu’à plus de 60 ans, pourquoi chaque mesure prise par les hommes de l’Etat va-t-telle à l’encontre des intérêts de la majorité de la population ? Prétendre que nous sommes en démocratie alors que la dictature occidentale se renforce de jours en jours, c’est équivalent à affirmer que l’Union soviétique était une démocratie, ce qu’elle n’était pas. Déclarer que nous vivons en démocratie a pour conséquence de renforcer la tyrannie et de rendre la possibilité de retour à la véritable démocratie de plus en plus aléatoire. A l’heure où les internautes sont surveillés et harcelés, où les grévistes les plus virulents des entreprises en lutte sont condamnés au contrôle satellite à vie, on ne peut plus affirmer que la dictature patronale dans laquelle nous vivons est un régime démocratique, sous peine de perdre définitivement toute crédibilité.
La stratégie
Le FDG ne décolle pas en raison de ses erreurs stratégiques multiples.
1) Il faudrait s’ouvrir aux diverses communautés. La position du FDG à l’égard des minorités est trop timorée. Il y a dans ce parti peu de représentants des minorités arabe, antillaise, africaine, juive, asiatique, ce qui enlève une grande énergie au mouvement. Un mouvement ouvrier et salarié doit prendre en compte la réalité du prolétariat actuel, constitué pour une part non négligeable par des Maghrébins, des Africains, des Antillais. Ne pas représenter ces communautés au sein de la direction du FDG limite la puissance du mouvement et le prive de soutiens internationaux plus importants. Le FDG étant, comme son nom l’indique, un front, il pourrait incorporer des associations musulmanes, antillaises, africaines en son sein, de manière à renforcer sa base électorale et augmenter ainsi ses résultats.
2) Une incorporation de tous les partis d’extrême gauche au sein du FDG permettrait de limiter la dispersion des voix lors des élections et de former ainsi une force plus conséquente.
3) La création d’un mouvement étudiant lié au FDG, qui exigerait un salaire étudiant, des logements universitaires et l’amélioration des conditions de vie des étudiants serait un point important pour dynamiser le mouvement. Faute d’étudiants, les manifestations de protestation du FDG se limitent à un défilé de personnes d’un certain âge qui ne font plus peur à personne et n’obtiennent donc aucun résultat. Encadrer étudiants et lycéens, organiser des grèves étudiantes, sachant que les jeunes non pistonnés risquent d’avoir une vie professionnelle difficile et qu’ils ont donc intérêt à se faire entendre, c’est le minimum pour un parti d’opposition de gauche. Un mouvement étudiant pour l’obtention d’une allocation d’étude serait un bon moyen de s’implanter dans les facultés.
4) Lutter contre la surveillance par satellite et le Mind Control, instrument de répression surpuissant qui détruit la vie des citoyens, ça doit être aussi un des axes principaux de l’action d’un mouvement vraiment de gauche.
Le patronat et les fascistes ont lancé depuis les années 1980 une guerre sociale acharnée contre les peuples qui se traduit par un blocage systématique des salaires et avantages sociaux et une répression acharnée et secrète contre les internautes et les militants de gauche, avec la complicité de la gauche et de l’extrême gauche, cette collaboration étant une des causes de leur faiblesse. La grande régression qui date des années 1980 n’a été possible que grâce à la grande répression qui date de l’arrivée et du développement de la surveillance par satellite et de l’abolition de toutes les lois démocratiques par les législations anti-terroristes, destinée à combattre un terrorisme issu des hommes de l’Etat fortement infiltrés par les fascistes. Face à cette situation, il faudra que toute la gauche et l’ensemble des forces démocratiques comprennent qu’il n’est plus temps de collaborer et qu’il faut maintenant protester. Le développement du libéral-fascisme se traduira irrémédiablement par l’accession d’une forme de nazisme technologique au pouvoir dans tous les pays du monde, et les véritables coupables de cette catastrophe seront les imbéciles et les lâches qui ont collaboré avec le fascisme à une époque où il était encore possible de protester.
5) Développer une politique internationale antiimpérialiste et anticoloniale est une nécessité absolue pour asseoir sa base électorale de gauche. La gauche ne peut se renforcer que dans l’anticolonialisme : approuver l’agression coloniale contre le Mali est une grave erreur qui a fait perdre bon nombre de sympathisants à la gauche et à l’extrême gauche. Quand la gauche s’est lancé dans des aventures coloniales, comme par exemple dans les années 1950, elle a fini par se faire éjecter du pouvoir, l’électorat de gauche ne voulant par définition pas de guerres coloniales. Le colonialisme est un des tremplins de la droite ; c’est par ce biais qu’elle développe le racisme et la dictature en France. Les méthodes coloniales finissent par s’appliquer en métropole, et le pouvoir que les fascistes ont acquis à l’extérieur a des conséquences liberticides en France même. Il ne faut laisser aux fascistes aucun moyen de se renforcer. Tout fasciste qui tente de limiter la liberté d’expression des internautes doit être emprisonné le jour même. Le fascisme c’est la torture et la guerre, c’est l’idiot du village qui se voit investi de tous les pouvoirs alors qu’il ne vaut rien. Tolérer des opérations coloniales, c’est renforcer le fascisme en France, c’est accepter de voir nos libertés se réduire encore un peu plus. Avec le fascisme, se développe inévitablement la censure, tout opposant aux guerres coloniales devenant un suspect à surveiller. La surveillance s’élargit ensuite à toute la société, aux journalistes, syndicalistes, salariés, internautes, simples citoyens. La moindre ordure fasciste est alors en droit de s’incruster dans nos chaumières et d’y imposer alors son esprit malfaisant.
Personne ne pourra prétendre lutter contre le fascisme s’il ne s’oppose pas à toutes les opérations coloniales, qui ont pour but de nuire aux pays visés tout en renforçant la tyrannie en métropole.
6) Lancer de grandes campagnes sur des sujets économiques est une des méthodes de base de tous les partis et mouvements de gauche. Quand on enlève les propositions économiques et sociales concrètes martelées pendant des années, il ne reste pratiquement plus rien qui intéresse les électeurs. Actuellement le FDG ne présente aucune de ses propositions lors de ses apparitions médiatiques. La hausse du smic et des impôts pour riches, la retraite à 60 ans, les hausses des salaires des fonctionnaires, du RSA et des allocations chômage, toutes ces mesures doivent être rappelées à chaque passage et non pas distillées au compte-gouttes, de temps à autres. Sans répétition systématique des points économiques du programme, il n’y aura pas de décollage du FDG, le public n’étant pas intéressé par les discours creux politiciens, qui sont l’apanage de l’ensemble de la classe politique et qui cachent généralement des mesures antisociales appliquées avec une rare constance depuis 3 décennies.
Une campagne pour le retour aux 37,5annuités, la hausse du smic ou du RSA, serait le meilleur moyen de gagner des sympathisants, tout en popularisant des notions de relance par la consommation qui sont utiles à tous les salariés.
7) Organiser les chômeurs et les titulaires du RSA pour les pousser à exiger des hausses de leurs allocations, permettrait de récupérer des électeurs tout en rendant possible aux défavorisés de vivre dans de meilleures conditions. Mettre en place des manifestations de chômeurs ou de érémistes pour exiger une revalorisation de leurs droits serait un bon moyen de s’implanter dans les classes populaires et les banlieues.
8) Une plus grandes ouverture aux Eglises chrétiennes et aux communautés musulmane, juive et autres, serait le meilleur moyen d’élargir son audience. L’anticléricalisme petit-bourgeois actuel ne correspond plus du tout à la réalité des masses populaires. Beaucoup de pauvres sont regroupés dans des Eglises évangéliques ou des groupes musulmans défavorisés, et, ces gens sont souvent récupérés par la droite et pratiquent parfois l’abstention systématique à toutes les élections, alors que les vieux riches eux, ne loupent jamais une occasion de voter à droite. L’athéisme devient, à notre époque impitoyable, un luxe que ne peuvent pas se permettre les plus défavorisés qui s’en, remettent à la providence divine pour survivre. L’athéisme petit-bourgeois qui était autrefois un élément révolutionnaire, est en train de devenir actuellement un des piliers du fascisme et de la réaction. Alors que les religions regroupent des gens de différentes races et nationalités, le nationalisme ne s’occupe (ou feint de s’occuper) que des intérêts de son propre pays et plus précisément de ceux de la bourgeoisie de son pays. Le FN, par exemple, revendique une laïcité agressive et un nationalisme revanchard porteur de guerres et de catastrophes. La plupart du temps, les fascistes perdent les guerres qu’ils déclenchent, mais en attendant, ils se seront bien marrés. D’ailleurs, le fascisme lui-même est international, à l’intérieur de certaines limites imposées par le racisme de ce mouvement.
Si l’athéisme est respectable, les diverses pratiques religieuses aussi et un anticléricalisme trop affirmé a pour conséquence de faire perdre des voix à la gauche et de limiter l’énergie revendicatrice des masses, une partie de ces masses refusant d’associer l’anticléricalisme petit-bourgeois au combat social. Une agrégation des tendances rationaliste et religieuses doit être opérée, de manière à fédérer la résistance au fascisme néo-libéral.
9) Recruter des personnalités atypique tels Jacques Cheminade, Pierre Larouturrou, Dieudonné Mbala Mbala, Horia Boutelja ou Tariq Ramadan permettrait d’améliorer le périmètre médiatique du FDG. Un parti important est toujours formé de plusieurs fortes personnalités. L’incorporation de leaders d’opinion au sein du FDG ou dans des structures parallèles aurait pour conséquence un accroissement certain des résultats électoraux de ce mouvement. Un parti d’avenir ne peut être composé uniquement de fonctionnaires à la retraite. Un peu de sang neuf ne serait pas forcément inutile.
10) Lutter contre l’islamophobie, fer de lance de la réaction en Occident, doit être un des axes stratégiques majeurs de la gauche en général et du FDG en particulier. Sans ce combat antiraciste et anti-islamophobe, les fascistes peuvent s’infiltrer à gauche, récupérer des électeurs, inventer des prétextes pour surveiller et harceler tous les citoyens. Les fascistes n’avouent jamais qu’ils ont pour objectif de persécuter leurs concitoyens : c’est toujours pour combattre la délinquance, la subversion, les étrangers qu’ils se mettent à harceler d’honnêtes citoyens sans défense. L’objectif de ces fascistes est tout simplement de prendre le pouvoir pour ensuite avoir la possibilité de harceler leur prochain. Ces fascistes sont une bande de minable haineux, le genre qu’on évite quand on peut, et qui utilisent la politique pour obtenir un rang social qu’ils ne méritent pas. Ces nazillons ont une intelligence très faible mais une volonté de puissance énorme. Aujourd’hui ils jouent les innocents en attendant d’obtenir le pouvoir absolu mais demain ils présenteront leurs vrai visage, celui de déchets de la société criminels et vindicatifs dont le seul plaisir dans la vie est de nuire aux autres. D’ores et déjà ces fascistes ont infiltrés tous les partis et syndicats et ils tissent leur toile dans toutes les strates de la société. Ils empêchent les honnêtes citoyens de travailler et prennent leur place, ils surveillent des gens, de très loin plus honnêtes qu’eux, en utilisant les satellites de surveillance de manière indue ; ils harcèlent, ils torturent, ivres de leur impunité permanente.
L’islamophobie profite à ces ordures fascistes ; c’est pourquoi il faut la combattre sans pitié. Sans islamophobie, antisémitisme, xénophobie et racisme, les fascistes sont nus, sans aucun vêtement protecteur. Ils sont alors obligés de révéler leur vrai visage : celui d’une milice patronale mafieuse et totalitaire destinée à écraser le peuple pour le compte des nantis et d’une caste dirigeante incompétente et corrompue. Des fascistes qui combattent le système c’est un concept aussi ridicule que la mafia qui combat le crime organisé. Ces fascistes sont une part importante du système : ils combattent la gauche et surtout l’extrême gauche physiquement, intellectuellement, électoralement, et remplissent ainsi la mission que leur a assigné la bourgeoisie réactionnaire et nazifiante. En raison de la diversion fasciste, les salariés n’obtiennent plus aucun résultat en matière de progrès social depuis près de trente ans.
La lutte contre le fascisme oblige à recruter divers mouvements musulmans, juifs, noirs, régionalistes,féministes existants ou à créer, pour les intégrer à la lutte contre le libéral-fascisme, chacun de ces mouvements ayant des objectifs particuliers qui sont unifiés au sein du combat commun pour la démocratie et la justice sociale. Fonder des groupes de musulmans de gauche ou de corses autonomistes anti-droitistes peut s’avérer très utile dans le cadre de la lutte contre les bandes fascistes.
Tous les mouvements de gauche qui sombrent dans une islamophobie plus ou moins déguisée sont condamnés à se faire dévorer par l’ogre fasciste. Les électeurs préférant l’original à a copie, sachant que l’extrême droite sera toujours la meilleure en termes de racisme et de xénophobie, le simple fait de s’aventurer dans cette voie xénophobe est le meilleur cadeau que l’on puisse offrir à l’extrême droite. Certains leaders de gauche croient qu’en reprenant une partie du discours xénophobe il est possible de conserver son électorat vieillissant et populaire. Les faits démentent cette théorie : quand le PCF a, au début des années 1980, tenté une rhétorique vaguement xénophobe au sujet de la destruction des foyers d’immigrés par exemple, ils n’ont fait qu’ouvrir la voie au Front National plus sûrement que s’ils avaient continué une politique franchement antiraciste sans être pour autant immigrationniste . Ce n’est pas en prônant une xénophobie modérée qu’on combat la xénophobie radicale. La xénophobie actuelle la plus visible est l’islamophobie et c’est pourquoi la lutte contre cette forme de racisme doit être prépondérante à gauche. Combattre les forces anti-islam sans faiblesse et sans nuance c’est revivifier la gauche en France, c’est bloquer l’offensive fasciste, c’est récupérer toutes nos libertés et tous nos droits, y compris les droits à la vie privée, au travail, à un niveau de vie suffisant ainsi que les libertés d’opinion, de religion, d’association, de manifestation, d’expression.
L’islamophobie c’est le vecteur d’inoculation du virus de la rage fasciste à toute la société. Par cette forme de racisme, c’est toute une culture crypto-nazie qui est légitimée, l’islam reprenant le rôle du judaïsme d’avant-guerre pour unifier les forces fascistes contre lui et mettre en oeuvre le complot contre la démocratie. Dans un premier temps, les fascistes tentent de regrouper toute la société contre les musulmans, et ensuite ils comptent bien prendre le pouvoir et liquider ou asservir d’une manière ou d’une autre toutes les autres communautés, juifs, noirs, homosexuels, Italiens, Espagnols, protestants, francs-maçons, et tout ce qui peut servir de bouc émissaire en attendant le bouquet final : la mise en esclavage de toute la population au service d’une élite fasciste, soit les anciens clochards racistes parvenus au pouvoir et leurs commanditaires bourgeois. La dernière expérience fasciste, celle du maréchal Pétain n’a duré que quatre ans : la prochaine risque elle de se prolonger pendant plusieurs décennies pour ne pas dire plusieurs siècles : ceux qui n’ont pas été inquiétés lors de la dernière expérience totalitaire, les Italiens et les Allemands, en raison des liens entre leur pays et la France vichyste, risquent cette fois de subir de plein fouet la terreur fasciste, et d’être persécutés en tant que communauté « étrangère » et potentiellement hostile. On le voit, personne n’a intérêt à un retour du fascisme en France et en Europe mais, ce péril n’a jamais été aussi proche depuis la dernière guerre mondiale. Infiltrés partout et notamment dans les services de sécurité, ces fascistes suppriment jour après jour nos libertés, sans que personne ne juge bon de réagir. Ils espionnent les citoyens à domicile, ils violent, ils tuent, ils brûlent en utilisant les ressources du Mind Control, bénéficiant d’une impunité assurée par le secret défense et le prétendu « intérêt supérieur de la nation », ce qui leur permet de s’enrichir outrageusement pendant que les autres s’appauvrissent inexorablement, frappés par les crises à répétition, le chômage, les faillites, les blocages de salaires permanents. L’islamophobie ne profite qu’à ces fascistes, les amis qui vous veulent du mal. Cette engeance nuisible ne sera détruite que par le retour des libertés et la dénonciation du Mind Control, car, tel l’insecte lucifuge dans son antre, le Fasciste à horreur de la lumière de la vérité. La hausse des salaires et des impôts des riches, le partage des richesses et du travail, sont les conditions sine qua non pour un retour de la démocratie et de la prospérité.
La lutte contre la dictature du Mind Control implique une union nationale et internationale des défenseurs des libertés. Cette lutte requiert une unité sans faille de toutes les victimes réelles ou potentielles de ce système. Une alliance aussi large que possible entre l’ensemble des groupes opprimés doit être établie : majorité salariée exploitée ou exclue du système d’une part et groupes divers de l’autre, minorités religieuses, ethniques, régionales, victimes de la persécution par satellite, journalistes, artistes, politiciens de gauche. Cette alliance doit aussi se réaliser au niveau international, la solidarité avec les peuples de tous les continents devant être renforcée. Cette union nationale et internationale devrait finalement aboutir à la libération de l’ensemble du genre humain des atrocités de la tyrannie du Mind Control, le système de répression secret qui pourrit les sociétés et les individus, les religions et les partis politiques, les pays et les groupes sociaux. Mener un combat politique honnête sans combattre le Mind Control est impossible. Toute la vie politique des pays « démocratiques » est conditionnée et biaisée par le Mind Control. Jamais un parti favorable aux intérêts du peuple ne gagnera d’élection sous la houlette du MC car sa fonction est justement d’instaurer une dictature secrète en faveur de la bourgeoisie et du fascisme.
11) Augmenter l’activité sur le Net et lancer de grandes campagnes de revendications sur ce média serait aussi un moyen d’élargir son audience. Le Net actuellement est fortement fréquenté par les fascistes qui y ont une activité débordante. C’est pour eux un moyen de récupérer des électeurs et de jouer les victimes alors qu’ils sont en bonne partie responsables de la suppression des libertés par la surveillance satellite. Dénoncer les politiques libérales et proposer des alternatives c’est le minimum pour un parti qui veut augmenter le nombre de ses électeurs.
12) Améliorer le programme et le présenter au public. De nouvelles mesures peuvent être proposées. Par exemple, le referendum d’initiative populaire pour compléter le referendum révocatoire, les 30 heures pour créer des emplois, la renationalisation des entreprises stratégiques et la prise de participation de l’Etat dans beaucoup d’autres, la création d’entreprises par l’Etat (hypermarchés, sociétés d’informatique, usines diverses, banques), le retour aux 37,5 annuités de cotisation ou moins, un bon moyen de créer des emplois.
Proposer de manière claire le retour aux 37,5 annuités de cotisation pour les retraites permettrait de faire gagner au moins 10% des voix et de passer ainsi à 21% des intentions de vote. Connaissant l’intérêt des Français pour les questions de retraite, il est étonnant que des mesures simples tel le retour aux 37,5 annuités ne soit pas mis en avant. Ce retour au 37,5 annuités est un minimum. En réalité, compte tenu du fait que les jeunes trouvent rarement un emploi fixe avant l’âge de 30 ans, le nombre d’annuités devrait être au maximum de 30, ce qui permettrait à tous de partir à 60 ans avec une retraite complète. Cette baisse du nombre d’annuités serait financée par une diminution du nombre de chômeurs et de titulaires du RSA à indemniser, par une hausse des impôts pour les riches et par la fin des exonérations de charges sociales. Une telle proposition bien expliquée pourrait améliorer l’image du FDG.
13) Lancer des campagnes européennes et mondiales, par exemple pour la hausse du salaire minimum ou les hausses d’impôts pour les riches.
En Europe par exemple on pourrait proposer une hausse de salaire minimum de 10% dans les pays les plus développés d’Europe de l’Ouest et du Nord, et de 50% au minimum dans les pays de L’Est où le salaire minimum se monte à moins de 300 euros par mois pour certains d’entre eux. Sans une hausse de salaire minimum au niveau européen, une sortie de crise sera très difficile.
Une hausse de salaire minimum au plan européen pourrait être obtenue par des voyages dans les divers pays de l’Union, des rencontres avec les syndicalistes et gauchistes locaux et l’organisation de mouvements sociaux à l’échelle européenne pour faire monter le salaire minimum.
De même un mouvement européen pour la hausse des impôts des riches peut être mis en place. Un impôt minimum sur les personnes et les entreprises devrait être proposé. Par exemple, le taux supérieur de l’impôt sur le revenu devrait être fixé à au moins 50%. Le taux supérieur de l’impôt sur les sociétés devrait lui aussi s’élever au minimum de 50%. Les niches fiscale devraient être plafonnées partout, de manière à éviter de créer des paradis fiscaux à l’intérieur de l’Europe. Tout ceci serait un premier pas vers l’harmonisation fiscale et sociale dans l’Union européenne.
Avant même d’arriver à une harmonisation fiscale totale, une harmonisation par groupes de pays pourrait être mise en place : on pourrait par exemple diviser l’Europe en 4 groupes, les plus avancés (Allemagne, Belgique, France…), les suivants (Italie, Espagne…), les moyens (Pologne, Hongrie…), et les moins avancés (Roumanie, Bulgarie…). Une harmonisation fiscale et sociale pourrait alors être mise en place au sein de chacun des ces groupes, avant d’en arriver finalement à l’harmonisation de tous les pays de l’Union.
Donc, lancer des mouvements sociaux d’envergure européenne et obtenir des résultats, pourrait être un bon moyen pour revivifier la gauche en Europe.
Le même raisonnement pourrait être tenu au plan mondial. Une hausse du salaire minimum au niveau international d’au moins 10% pourrait être proposée, ce qui nécessiterait de contacter l’ensemble des syndicats et partis de gauche internationaux et de populariser ainsi la revendication.
Sur la question de l’âge de la retraite, un mouvement européen pourrait être mis en place pour proposer une harmonisation par le haut : par exemple l’âge de départ serait d’au maximum 60 ans, la durée de cotisation d’au plus 35 ans et la pension d’au moins 50% du salaire moyen des 10 dernières années d’activité. Il faudrait de plus faire comprendre à toute l’Europe que plus on fera travailler les vieux et plus le chômage augmentera.
Reculer l’âge de la retraite comme cela se fait actuellement, provoque une hausse du chômage et donc aggrave la crise. Il semble que beaucoup de prétendus experts pensent que face à la crise la seule solution possible consiste à faire travailler les vieux et mettre les jeunes au chômage. Il faudrait qu’ils nous expliquent les détails de leur raisonnement…Leur logique consiste probablement à se faire payer par les patrons et les fascistes le plus cher possible pour proposer des mesures destinées à paupériser les classes populaires, enrichir les déjà riches et provoquer une crise économique telle qu’elle permettrait aux fascistes de prendre le pouvoir.
14) Lancer une campagne d’adhésions, de manière à transformer les partis du FDG en partis de masse. Par exemple un objectif de 300.000 adhérents en 2017 pourrait être assigné au PG. Compte tenu du mécontentement général, une vague massive d’adhésions pourrait être obtenue très facilement à condition de faire un minimum d’efforts dans ce sens. La plupart des gens sont en effet favorables à la baisse de l’âge de la retraite, au salaire étudiant, à la hausse des salaires et notamment du Smic, à l’augmentation des impôts des riches et des multinationales, au rétablissement des libertés. Il paraît donc possible de recruter massivement des militants et de les appuyer ensuite dans leur recherches d’emploi, leur carrière professionnelle, leurs affaires sachant que les fascistes de droite et d’extrême droite eux, disposent de réseaux professionnels importants pour leurs militants.
15) Convaincre les PME, commerçants et artisans que le programme du FDG est conforme à leurs intérêts. Si, par exemple, un commerçant paiera plus cher ses employés après une hausse du Smic, il y gagnera une augmentation de son chiffre d’affaire et de sa marge qui feront plus que compenser la hausse de ses charges salariales. L’application du programme FDG pourrait éviter la faillite à des milliers de commerçants et d’artisans.
16) Recruter des membres du PS à la retraite ou en disgrâce : anciens ministres, anciens militants de base, anciens maires, anciens sénateurs, anciens députés. Ces anciens permettront de donner une certaine crédibilité au FDG et de renforcer son audience auprès de l’opinion. Une campagne de séduction en leur direction devra être effectuée pour les intégrer au FDG.
Dans l’ensemble je suis assez d’accord avec ce texte, bien qu’il soit tendancieux par certains aspects, mais ce qui me gêne le plus c’est le fait qu’il n’y ai aucune signature et que l’on ne sait absolument pas où nous nous trouvons, ami ou ennemi ? J’ai une très désagréable sensation, est ce le mind-control ?
Dans la plupart des blogs du Web il n’y a pas de signature ou des signatures par pseudos. Il n’y a rien de spécial ici. Ce site est partisan de la liberté d’expression, de la justice sociale, de l’antiracisme. C’est donc un site de gauche classique.
La différence avec le reste de la gauche, c’est que ce site dénonce le scandale du siècle, le Mind Control qui détruit peu à peu la démocratie. Il faut espérer que les partis de gauche vont enfin dénoncer ce scandale, sachant que certains citoyens doivent vivre dans une sorte de cyber-goulag depuis plus de 10 ans.
Absolument pas d’accord, parce que dans les interventions de JLM il y a des propositions de faites, simplement les journalistes font semblant de ne pas croire à ce qui est raconté, nos compatriotes tellement intoxiqués par les répétitions de « il n’y a pas d’autres solutions » n’y croient pas. Combien de personnes autour de moi quand je parle du programme du FdG me disent que c’est utopique, infaisable, impossible, pensez il n’y a plus d’argent, avec e que l’on dépense pour aider tous ces fainéants qui ne foutent rien.
Voila l’état de la France.
Le travail de reconquête est long très long, et je crains que, plus ça va, plus il faudra passer par des extrêmes pour y arriver
Il y a très peu de propositions sociales concrètes dans les interventions de tous les membres du FDG. Il suffit d’attendre une de leurs prochaines interventions télévisées et de compter combien de propositions sociales concrètes seront présentées. Ce nombre est le plus souvent proche de 0.
Si la com du FDG était au point, compte tenu de l’extrême mécontentement de l’opinion de gauche, le FDG dépasserait le FN dans chaque sondage.
les sautes d’humeur de JLM seraient donc dues au MC et non à lui-même…cet hypocrite a donc ce qu’il mérite, grace au MC, et non guidé du profond de son inconscient,?
finalement, le MC, j’y croyait sans le savoir, mais moi, je voyais derrière cette justice…divine, la « main » du D.ieu d’Abraham, Isaac et Jacob,
pas celle du Prohete conquerant et lubrique qui semble tant etre l’objet de tant de sollicitude de ces theoriciens d’une conspiration mentale, union marx-mahomet, voila ce que je lis ici.
le FDG avenir de l’humanité…Melenchon dernier prophete…vaut mieux en rire
Personne n’a dit que Mélenchon était un prophète. Il représente une alternative à gauche et s’il échoue, le nazisme risque un jour de diriger la France.