La crise économique mondiale s’aggrave et aucune mesure n’est prise pour l’enrayer. Cette crise commencée en 2008 à pour origine une insuffisance de la demande solvable, comme dans les années 1930. Pour solutionner cette crise il faut augmenter les salaires et notamment le salaire minimum et les impôts et plus précisément les impôts des plus riches.
Ces mesures ne sont pas prises puisque les impôts des riches augmentent très peu et les salaires sont pratiquement bloqués dans toute l’Europe. De plus on fait travailler les plus de 60 ans alors même qu’une part importante de la population est privée d’emploi ce qui aggrave encore la question du chômage.
Tous les prétextes sont bons pour éviter de faire payer les riches : si on les faisait payer ils changeraient de pays ou ils placeraient leur argent dans des paradis fiscaux. Pourtant, sachant que la plupart des riches sont vieux en cas de hausse des impôts ils n’auront pas forcément envie de quitter leur pays et leurs habitudes pour économiser de l’argent dont ils n’ont pas besoin. Ils se contenteraient de payer ce qu’ils doivent sans pour autant changer de mode de vie. Ceux qui voulaient partir sont déjà partis, malgré les niches fiscales dont ils bénéficient en France. Beaucoup de riches Français ayant leur activité en France vivent en Suisse, sans que les autorités ne les inquiètent pour l’instant. Une hausse d’impôts n’en fera pas partir beaucoup plus.
Une hausse des impôts des riches et très riches présenterait beaucoup d’avantages :
1) Elle permettrait de limiter le déficit budgétaire et donc d’assainir l’économie et de contrôler l’endettement.
2) Elle rendrait possible une redistribution des revenus par augmentation des salaires des fonctionnaires, des allocations chômage, du RSA. Cette redistribution permettrait de relancer l’économie par la consommation comme cela s’est fait durant les Trente Glorieuses.
3) Elle permettrait à l’Etat de lancer de grands travaux utiles, créant ainsi des emplois, des services et de l’activité pour les entreprises. Par exemple, le projet du Grand Paris pourrait être réalisé ainsi en 10 ans et non en 30.
4) Elle permettrait de limiter la spéculation boursière due à l’importance des capitaux disponibles sur les marchés. L’argent des riches serait, en cas de hausse d’impôts, utilisé à des travaux utiles et non à une spéculation qui désorganise les marchés financiers et augmente le risque de krach boursier.
Une hausse des impôts des riches et très riches n’a par contre aucun inconvénient.
Elle n’est pas mise en œuvre en raison de la puissance des lobby ploutocratique et fasciste -qui sont liés mais non identiques- qui doivent être remis sous contrôle étatique pour éviter qu’ils ne détruisent l’économie occidentale de fond en comble. Lorsque ces riches parasites seront ruinés par un krach, ils regretteront alors de ne pas avoir payé plus d’impôts pour renforcer la capacité de l’Etat à juguler toute forme de risque boursier et à garantir leurs avoirs. Si les Etats n’ont plus les moyens de renflouer les banques en cas de crise, alors c’est toute la société qui se retrouvera ruinée, riches compris. Les seuls bénéficiaires de cette crise fatale si elle survient seront les fascistes.
La question des retraites est aussi un des axes d’attaque des fascistes : ils exigent qu’on fasse travailler les vieux, sachant pertinemment que plus les vieux travailleront et plus les autres seront maintenus au chômage, constituant alors une clientèle pour l’extrême droite. Les fascistes ne peuvent arriver au pouvoir qu’à la suite d’un coup d’Etat ou d’une crise économique grave. L’apparition du Mind Control constitue déjà un coup d’Etat, puisque cette technologie a supprimé dans les faits toutes les libertés. La survenance d’une crise économique grave est un autre moyen de conquérir le pouvoir qui peut compléter le premier. Crise économique et propagande xénophobe aboutissent souvent à une montée importante de l’extrême droite fasciste quelque soit le pays concerné.
La mise en place du Mind Control ressemble de plus en plus à un putsch mondial fomenté par les fascistes internationaux : cette technologie secrète peut lire dans les pensées, ventriloquer, contraindre physiquement, assassiner à distance, modifier le comportement. Avec cette technologie ce sont toutes les classes politiques internationales qui sont tombés sous la coupe des fascistes. Ils ne peuvent rien faire qui gêne le complot fasciste.
Le but final des fascistes c’est de pourrir la vie des gens tout en s’enrichissant. La plupart des fascistes sont des cas psychiatriques issus de familles d’alcooliques, de pédophiles, de racistes ou de sadiques. Leur plaisir dans la vie, leur mode d’existence, c’est d’emmerder les autres. C’est pour eux le seul moyen d’éviter des dépressions profondes. C’est ce qui leur permet de supporter l’existence. Ceci étant dit, le Fasciste n’oublie pas de se servir au passage : toutes les opérations criminelles qu’il organise lui permettent toujours de récupérer de l’argent en grandes quantités. Le Fasciste touche des primes de surveillance, il monte des sociétés de télé-contrôle, il fait virer les gens de leur travail pour prendre leur place, il triche au jeu en utilisant les satellites de surveillance, il se fait élire pour pouvoir ensuite voler sans limite, il escroque les gens en altérant leur volonté par le MC et commet toutes sortes de crimes et délits en bénéficiant de l’impunité la plus totale.
Le Fasciste est par définition jaloux de tous ceux qui, d’une manière ou d ‘une autre sont mieux que lui. L’objet de sa jalousie comprend la majorité de la population, le Fasciste faisant généralement partie des déchets de la société. Tous ceux qui ont une vie plus ou moins normale peuvent être un jour la cible des fascistes. La marque de fabrique des fascistes, c’est qu’ils attaquent les gens en feignant de les défendre. Le fasciste est supposé combattre la délinquance alors que c’est lui le délinquant qui vole, viole ou tue à la moindre occasion. Les délinquants traditionnels sont d’ailleurs la plupart du temps manipulés directement ou indirectement par les fascistes.
La plupart du temps, le Fasciste se cache derrière des d’autres personnes ou groupes pour agir : par exemple il peut manipuler une communauté et la pousser à agir contre une autre ou utiliser des groupes de délinquants ou des partis politiques manipulés pour arriver à ses fins.
Actuellement, un des axes de combat du Fasciste, c’est la lutte pour le recul de l’âge de départ à la retraite. En effet, on pourrait se demander pourquoi la classe politico-médiatique internationale dirigée par les fascistes insiste tant pour reculer l’âge de la retraite, sachant qu’il faudra de toute façon payer des chômeurs si les vieux travaillent plus longtemps. Cette analyse inepte des experts et des dirigeants divers ne peut s’expliquer que par le complot fasciste. Qui peut bien avoir intérêt à faire travailler les vieux pour mettre les autres au chômage ? La piste patronale est intéressante mais pas totalement convaincante : si les vieux travaillent et les jeunes chôment les entreprises devront payer un surplus de cotisations pour indemniser le chômage. Le montant de ces cotisations ainsi que ce qui sera payer pour financer le RSA et les diverses allocations pour pauvres finit par coûter autant que les cotisations pour les retraites, même si certaines de ces cotisations sont réglées par des particuliers et non par le entreprises. Le fait que le chômage soit maintenu à des taux importants permet de discipliner la main d’œuvre mais par contre limite la consommation ce qui provoque des faillites ou des limitations de profits. Les entreprises n’ont donc pas intérêt à trop laisser augmenter le taux de chômage à moins de penser qu’elles décident volontairement de condamner la plupart d’entre elles à la faillite ou la menace permanent de faillite. Si un peu de chômage profite aux grandes entreprises dans la mesure où il permet de limiter les hausses de salaires et de ruiner les plus fragiles d’entre elles ce qui permet une concentration du capital, beaucoup de chômage a pour conséquence la destruction massive du tissu productif, un blocage prolongé de la croissance et une perte de position dominante au profit de pays concurrents qui eux sont biens gérés.
Les banques sont aussi des coupables très populaires chez ceux qui recherchent les racines du mal, mais, il faut se rendre à l’évidence, les banques, si elles peuvent avoir intérêt à la survenance de petites crises, seraient ruinées par des crises du type de celle de 1929, dans un contexte d’Etats très appauvris par les baisses d’impôts qui ne pourraient donc plus les renflouer. Si on suppose que les grandes banques n’ont pas envie de se suicider, les seuls coupables plausibles pour le recul de l’âge de la retraite, le blocage des salaires et le déclenchement de crises économiques sont les fascistes, présents dans tous les partis. Ils seraient les seuls à profiter d’une crise économique majeure. Et selon le vieil adage romain, pour trouver le coupable, il faut rechercher à qui profite le crime.
Les fascistes sont infiltrés dans tous les partis, toutes les administrations, toutes les entreprises et de leurs postes ils travaillent jour après jour à l’avènement d’un quatrième Reich. Leur méthode de travail est de développer la xénophobie sous toutes ses formes tout en favorisant la survenance de crises économiques mondiales de plus en plus graves.
Pendant que les médias qu’ils contrôlent tous dénoncent les musulmans, les Roms, les étrangers et minorités en général, ces mêmes médias font la promotion du recul de l’âge de la retraite, du blocage des salaires, de l’euro fort, des baisses d’impôts pour riches, de manière à provoquer une crise économique majeure à coup sûr. Ce qui apparaît à des gens non conscients de l’existence d’un complot fasciste comme des propositions absurdes, devient clairement intelligible dès lors qu’on comprend que toutes ces mesures sont destinées à provoquer une crise économique profonde qui permettra la prise du pouvoir par les conspirateurs nazis.