Depuis les années 1980, la gauche est devenue très faible, idéologiquement et électoralement, au point de n’être plus dans certains cas que le paravent du patronat et de l’extrême droite. En France beaucoup d’élus de gauche votaient secrètement pour le Front national, jusqu’à que la fin du secret du vote (satellites de surveillance) ait mis fin à cette pratique. Il est vrai que ces électeurs cachés de l’extrême droite étaient manipulés par les satellites de cette même extrême droite, fortement infiltrée dans les services de surveillance.
En 2002, malgré un bilan économique impressionnant, Lionel Jospin a été écrasé par Jacques Chirac, un représentant du patronat et de la bourgeoisie la plus réactionnaire et qui avait lui un bilan plus que moyen. Ségolène Royal, symbole de la gauche de droite a été battue par Nicolas Sarkozy, un libéral-fasciste déclaré. En 2012, le socialiste François Hollande a gagné de justesse face à un Sarkozy au bilan désastreux, cerné par des affaires pour le moins louches, et considéré par des couches de plus en plus larges de la population comme un ennemi des libertés.
La gauche, en France comme dans le reste du monde a visiblement un problème : elle est plus à droite que la droite des années 1970. En Allemagne, le chancelier Schroeder est loué par le patronat international pour les mesures anti-salariés qu’il a prises pendant que Tony Blair s’est lui distingué par un bellicisme bushiste extrême. Le travailliste Gordon Brown restera dans l’histoire économique pour sa hausse de la TVA, l’impôt payé par les pauvres pendant que José-Luis Zapatero commençait à envisager de reculer l’âge de la retraite à 69 ans, à une époque où le chômage dépassait les 15% de la population active, juste avant de se faire battre par la droite.
Visiblement, quelque chose ne tourne pas rond dans la gauche mondiale. Ses renoncements continus à tout ce qui fait sa raison d’exister, finira par la détruire entièrement si un retournement idéologique total n’est pas mis en œuvre.
La raison principale de la faiblesse idéologique de la gauche, c’est le Mind Control, qui manipule et contraint, qui oblige la gauche à renoncer à toutes les mesures en faveur de ses électeurs en général, et des classes populaires et moyennes en particulier. Cette contrainte d’un Mind Control dirigé par des fascistes patronaux, militaires ou politiques, devra être levée d’une manière ou d’une autre, sous peine de voir la démocratie disparaître définitivement. Avec le Mind Control c’est toute une politique libérale-fasciste qui est mise en œuvre sous la contrainte : suppression progressive des libertés, y compris la liberté de penser, hausse des impôts des pauvres et baisse de ceux des riches, ce qui a pour conséquence de mettre l’Etat en faillite, de ruiner l’économie et d’accroître les inégalités, politiques coloniales et persécutions ethniques, manipulation du terrorisme pour limiter les libertés, islamophobie acharnée, condensé des politiques précédentes, ce type de racisme mêlant la haine anti-pauvres à la haine contre le tiers monde, créant une division de la société telle que cette division finit par profiter à l’extrême droite tout en affaiblissant l’antifascisme, effectuant une diversion efficace, qui permet de faire passer les luttes sociales et démocratiques au second plan dans l’esprit de l’opinion. L’islamophobie n’est pas un point de détail, c’est la pierre angulaire de la dictature libérale-fasciste qui dirige le monde, et qui détériore gravement les conditions de vie des Occidentaux, plus encore que celles des habitants du tiers monde qui connaissent une croissance économique forte malgré les troubles provoqués par les services secrets des grandes puissances. Ce libéral-fascisme ne garantit de libertés que pour les grandes entreprises organisées en mafias. Pour les simples citoyens il ne prévoit rien d’autre que l’esclavage éternel. Il n’y aura pas de revivification de la gauche sans levée de la loi du silence au sujet de la dictature du Mind Control.
Levée de la loi du silence
Tolérer que des satellites de surveillance contrôlent la vie politique, économique, sociale, culturelle de la planète c’est se condamner soi-même à une servitude éternelle. Pendant que diverses forces se battront pour le contrôle du système de surveillance, les citoyens du monde n’auront plus que le droit d’attendre le résultat du combat pour savoir à quelle sauce ils seront mangés. Compte tenu de la malveillance et de la jalousie pathologique des maîtres du système, quelle que soit leur tendance, il faudra que la population mondiale s’attende au pire si elle refuse de protester et de lever la loi du silence sur ce sujet.
Sans prendre en compte le MC, la politique actuelle ne peut pas s’expliquer : on baisse les impôts des riches depuis 30 ans, on recule l’âge de départ à la retraite, on met de simples citoyens sous surveillance, malgré les coûts qu’implique cette surveillance, on refuse de réduire le temps de travail, on baisse les charges de multinationales qui ne sont pourtant pas dans le besoin. Tout ceci s’explique par la corruption généralisée, bien sûr, les pourris n’ayant pas nécessairement envie d’attirer l’attention, mais surtout par la contrainte physique que peuvent faire subir les satellites du Mind Control (MC). Le politicien qui déciderait de faire payer les riches, risquerait de se faire étouffer par le MC dans les avions ou les réunions publiques, ou il pourrait être victime de malaises divers. Il pourrait aussi devenir impuissant, obèse, phobique, bègue, irritable ou plus. Dans ces conditions, tous mènent des politiques équivalentes, que se soit dans les domaines économique, de politique extérieure, de défense, de sécurité. Il semble que le résultat des élections influe de moins en moins sur les politiques suivies, comme si, une superstructure internationale occulte déterminait les mesures à prendre. On en arrive toujours à la même chose, des baisses d’impôts pour les riches et les grandes entreprises, des blocages des salaires des fonctionnaires et du salaire minimum, des reculs de l’âge de la retraite. Toutes ces mesures sont prises contre l’avis de la majorité de la population et des électeurs quelque soit leur tendance.
Tout ceci nous montre que la surveillance par satellite, le Mind Control, a une influence largement supérieure à ce que pourrait croire un public non informé. C’est le MC qui détermine la vie politique d’un pays, et donc la vie de ses citoyens. Ignorer ce maître suprême qui nous opprime, c’est se condamner à le supporter éternellement. C’est pourquoi on se demande ce que font les partis et organisations de gauche pour combattre cette cyber-surveillance totalitaire.
Terrorisme
Le terrorisme est une des causes importantes de l’effondrement mondial de la gauche réelle. Depuis une trentaine d’années, des attentats terroristes « islamistes » ravagent la planète. Depuis le 11 septembre 2001, l’opinion mondiale se doute que ce terrorisme est issus des services secrets occidentaux infiltrés par les fascistes et au services de la finance et des patrons. Pendant longtemps, manipulés par les contrôleur mentaux du MC, politiciens et journalistes ne se sont douté de rien, sauf bien sûr ceux qui commanditaient les attentats ou étaient très proches des services de renseignement. Fous de rage, ils ont hurlé pendant des années à la terreur « islamiste » sans même envisager la possibilité d’une manipulation. A cette époque, les gens faisaient confiance aux autorités. La possibilité même que ce soit l’Etat lui même qui organise des attentats contre sa propre population paraissait inconcevable. Depuis l’arrivée de l’Internet, l’opinion a bien changé et sait maintenant que nous sommes, en général, dirigés par des corrompus au service de la finance internationale et/ou du fascisme. Les quelques dirigeants honnêtes sont le plus souvent éliminés de la scène politique ou réduits à l’impuissance par leurs collègues corrompus. Les internautes qui dénoncent cet état de fait sont pourchassés et persécutés par les services secrets et la surveillance satellite nationale et internationale.
L’émergence du terrorisme a sonné le début de la fin de la démocratie, en France, en Europe et ailleurs dans le monde. Face au péril qui menaçait nos démocraties, il fallait prendre des mesures radicales de surveillance et de suppression des libertés; d’où le plan Vigipirate, et les diverses lois liberticides prises dans le monde depuis les années 1980. Il faut noter que la France est un des premiers pays où le terrorisme « islamique » est apparu, en raison de la grande quantité d’anciens d’Algérie et de terroristes de l’OAS encore actifs au coeur de l’Etat, qui ont reproduit à partir de 1986 les méthodes qu’ils utilisaient en Algérie, soit la fomentation d’attentats meurtriers attribués à tort aux musulmans. Ce type de terreur permet de souder la population contre les Arabes et les musulmans, tout en permettant la mise sous contrôle fasciste de l’ensemble des citoyens sous prétexte de les protéger.
Avant le terrorisme « islamique », un terrorisme d’extrême gauche manipulé avait vu le jour au cour des années 1970, représenté par les Brigades Rouges en Italie, la RAF en RFA et Action directe en France. Ces groupes armés gauchistes ont rapidement perdu le soutien des partis communistes et gauchistes, qui se sont vu obligés de condamner la violence gauchiste en compagnie des droitistes et fascistes divers qui avaient en partie manipulé ce terrorisme. Cette condamnation qui allait jusqu’à participer à des manifestations anti-terroristes avec la droite a été une erreur funeste. De même en Espagne, les manifestations monstre insultant les activistes de l’ETA, n’ont fait que conforter les fascistes hypocrites qui dirigent le pays en sous-main et qui l’ont pratiquement ruiné. En réalité, ce terrorisme d’extrême gauche était manipulé par les services secrets occidentaux, et il n’y avait pas lieu d’exprimer une solidarité bruyante avec la droite et l’extrême droite qui espéraient profiter de ces actions révolutionnaires pour commencer à supprimer les libertés. De plus, une tendance politique quelle qu’elle soit doit faire preuve d’un minimum de solidarité avec ses extrémistes, mêmes manipulés. La lutte contre les mouvements armés gauchistes et régionaux n’ont néanmoins par réussi à détruire la démocratie.
Avec le terrorisme « islamique » par contre, nous sommes passés dans un nouveau type de violence : une violence entièrement manipulée par les fascistes et corrompus dirigeants, ne profitant qu’aux fascistes et corrompus dirigeants, et ayant pour but la suppression totale des libertés politiques, sociales et individuelles dans le monde. Ce terrorisme a été utilisé pour parvenir à l’avènement d’un totalitarisme intégral au service d’une caste de ploutocrates nationaux et internationaux qui utilisent déjà la masse de la population comme du bétail humain dépourvu de tout droit.
Là encore, face au complot fasciste la gauche n’a pas su concevoir la bonne stratégie. Au lieu de hurler avec les loups racistes et fascistes, elle aurait dû dès le début se douter de l’existence d’une manipulation, envisager sa possibilité, en faire part publiquement, et émettre l’hypothèse d’une conspiration de la droite et de l’extrême droite pour supprimer les libertés des citoyens. malheureusement, après la chute du Mur de Berlin, la gauche est devenue brutalement très faible et très stupide, un peu comme si toute son intelligence était issue du KGB. Elle s’est mis brusquement à gober toutes les fadaises libérales-fascistes : il faut baisser les impôts et les charges, il faut flexibiliser le travail, il faut privatiser tout ce qui marche, il faut combattre les musulmans partout, et notamment en France, en les harcelant par tous les moyens, en les accusant de tout et son contraire. Face à l’offensive fasciste, durant les années 1980, le PS a mêlé un laxisme coupable en matière de délinquance à un virage à droite sur le plan économique et une facilitation de l’accès aux médias pour l’extrême droite. Les résultats ont été la montée du FN, la hausse du chômage, et une défaite systématique à toutes les élections. Quand la gauche n’est plus de gauche, elle finit par décevoir sa clientèle et faire monter la droite et l’extrême droite.
Avant chaque élections, les médias sous contrôle des satellites fascistes nous présentaient quelques bons reportages sur le terrorisme « islamique », de manière à pousser l’opinion à droite, jusqu’au bouquet final, lorsque Jospin n’a obtenu que 16% aux élections de 2002.
La morale de l’histoire, c’est que le terrorisme « islamique » ne profite qu’à la droite et l’extrême droite et que l’intérêt de la gauche et de tous les opposants à la dictature libérale-fasciste est de mettre en doute la version officielle, et de dénoncer les vrais coupables, soit la superstructure capitalo-fasciste qui dirige le monde. Le terrorisme est au cœur de la dictature, c’est donc là qu’il faut porter le fer : il faut remettre en cause systématiquement les version officielles, et dénoncer les coupables probables de ces manipulations, soit les corrompus fascistes qui dirigent le monde, ceux qui sont regroupés dans divers groupes de pression et organisations militaires (Bildenberg, OTAN, CIA, services secrets divers, CFR, …).
La terrorisme actuel n’est qu’une nouvelle version de la provocation fasciste, quand on fomente des attentats dans le seul but de discréditer un ennemi factice, de supprimer les libertés et de prendre le pouvoir pour instaurer une dictature implacable au profit des élites fascistes.
On peut remarquer que tous les grands intellectuels occidentaux n’ont jamais émis l’idée que le terrorisme « islamique » pouvait n’être qu’une gigantesque manipulation, alors même que l’idée de provocation policière ou fasciste était un des leitmotivs de la littérature gauchiste des années 1960 et 1970. Heureusement depuis les attentats du WTC, les Américains ont compris qui étaient les vrais coupables : les politiciens fascistes et corrompus, leurs idéologues, leurs services secrets et les grandes entreprises et milliardaires qui les manipulent.
Derrière le terrorisme « islamique », se cachent l’islamophobie et le fascisme. Ce terrorisme est évidemment d’origine fasciste et tout le monde le sait très bien. Chacun de ces attentats « islamistes » est l’occasion de renforcer les campagnes islamophobes dans les médias, ce qui permet la montée en force des partis réactionnaires et fascistes. Ceux qui à gauche collaborent avec ces manœuvres fascistes finissent toujours par perdre les élections et livrer la France à la voyoucratie.
Marxisme
Depuis les années 1970, la gauche a décidé de jeter le marxisme à la poubelle. Le problème est que cette idéologie n’a été remplacée par rien de convainquant. Cet abandon du marxisme est le résultat de décennies d’action secrète des services spéciaux fascisants et des lobbies patronaux. Jeter le marxisme en raison du stalinisme et du Goulag, c’est un peu comme jeter le capitalisme à cause de Hitler, Pétain, Pinochet, et Franco. Le marxisme a été remplacé par le keynésianisme, jusqu’à ce que nos experts jugent que cette tendance à l’origine de la prospérité de l’après-guerre était elle aussi dépassée. Il ne restait plus qu’à revenir au libéralisme économique cause de la crise des années 1930 et de la deuxième guerre mondiale, et remettre à l’honneur Hayek, Shumpeter et Paréto des gens qui ont en plus d’être des libéraux économiques sont politiquement proche du fascisme voire du nazisme. Dans les faits, derrière le libéralisme économique se cache le nazisme, qui, tapi dans l’ombre et grimé en brave réactionnaire inoffensif, attend l’occasion de revenir au pouvoir pour pouvoir finir le travail commencé dans les années 30. Les fascistes tentent volontairement de provoquer une crise économique majeure, qui désorganiserait la production et le système politique occidentaux, pour pouvoir ensuite se présenter comme un recours et prendre le pouvoir grâce à des élections truquées par le Mind Control.
Pour mettre en place cette crise, les fascistes encouragent l’endettement, les blocages de salaires, le recul de l’âge de la retraite, les baisses d’impôts des riches. De cette manière ils espèrent provoquer un séisme économique de type grec et profiter de la démoralisation générale pour prendre le pouvoir. Le fasciste se nourrit de la misère humaine qu’il provoque comme une sorte de microbe nuisible. Il est évident que si des mesures anti-austérité ne sont pas prises, l’Occident sombrera dans une crise dont il n’est pas prêt de se relever. Les solutions passent par la levée de la loi du silence sur le contrôle satellite, sans quoi rien ne sera possible. Quand les libertés seront rétablies, il sera enfin possible de relever le smic, d’avancer l’âge de la retraite, de réduire le temps de travail, d’augmenter massivement les impôts des riches et les dépenses publiques, et ainsi de renouer enfin avec la croissance économique et le développement industriel.
En attendant que de nouvelles théories de gauche soient élaborées, le retour à Marx, Lénine, Trotski et autres marxistes s’impose. La nature ayant horreur du vide, l’absence des marxistes se traduit par un retour en force du nazisme partout dans le monde. Les Nouveaux philosophes, idiots du village manipulés, se sont crus très malins en jetant Marx aux ordures ; tout ce qu’ils ont réussi à faire, c’est de réhabiliter Hitler. Chaque camp a besoin d’une référence ultime : l’ancienne référence de la gauche c’était Marx, et, tant qu’il a dominé le débat intellectuel tout s’est très bien passé en Occident : hausses de salaires, démocratie, libération des peuples, progrès social, liberté pour tous à l’Ouest. Depuis que Marx est mort, la réaction la plus bestiale est sortie de sa tanière ; ses sbires se déchaînent ; ils espionnent, ils brûlent, ils violent, ils assassinent, ils massacrent, sans que personne ne puisse les arrêter. Depuis qu’ils sont devenus les maîtres du MC et des armes satellitaires qui vont avec, ils organisent une sorte de coup d’Etat mondial, et plus personne n’est plus maître de son destin. Ils se permettent de persécuter les honnêtes citoyens, salariés, internautes, commerçants, artisans, retraités, étudiants, alors que les voleurs tiennent le haut du pavé. Les fascistes encouragent la corruption pour ensuite jouer les messieurs propres alors qu’ils sont les plus pourris de tous. Il faut lever la loi de silence avant qu’ils ne prennent complètement le pouvoir et qu’ils persécutent cruellement ceux qui n’ont pas eu le courage de protester.
Cyber-otages
Les fascistes utilisent des cyber-otages pour intimider la classe politique et la population. Tous les personnages importants savent que des cyber-otages innocents sont harcelés et torturés par les cyber-fascistes aux ordres des lobbies nazis et patronaux. Ces prises d’otages ont pour conséquence de terroriser progressivement les élites qui finissent par adopter un comportement moutonnier de peur d’être eux-mêmes pris en otage. Il n’ y aura pas de renaissance de la gauche sans libération de tous ces cyber-otages. Ces prises d’otages impunies ridiculisent la notion même de droits de l’Homme et gèlent le débat démocratique. Plus personne n’ose parler sans y être invité par un parti ou une organisation, et le Net sert plus d’auxiliaire du fascisme et de la répression que d’instrument de libre expression des citoyens. Beaucoup de cyber-otages ont au départ été repérés sur le Web par la mafia fasciste internationale. Certains subissent le neurophone et la torture depuis plus de 10 ans. L’incroyable arrogance du fascisme international provient de la cyber-surveillance, des cyber prises d’otages, de la cyber-torture, du cyber-espionnage. Ces cyber-délinquants fascistes se croient tout permis. Ils assassinent, ils violent, ils frappent, protégés par leurs satellite de protection, sans que la gauche n’ose même protester contre ces méthodes.
Il faut que la gauche internationale, les défenseurs des droits de l’Homme, les pays du tiers monde, décident de recruter des internautes qui auront pour mission d’informer le public sur la réalité du complot fascistes et de la surveillance, espionnage et répression par satellite. Faute de quoi, les fascistes finiront par prendre le pouvoir et supprimer les derniers restes de liberté.
On constate que si la droite s’oppose au gouvernement socialiste de manière musclée, notamment sur la question du mariage pour tous, la gauche, elle, pendant 10 ans, est restée pratiquement atone, hormis quelques petits défilés sur la question des retraites. La gauche ne sait plus enflammer les facs, les lycées, les usines. Elle arrive à peine à organiser quelques petites manifestations vieillottes, qui ne font plus peur à personne, et qui donnent la mesure de la faiblesse tragique des forces progressistes dans le monde. La gauche ne se réveillera pas tant qu’elle n’aura pas réussi à remobiliser la jeunesse, tant qu’elle n’aura pas compris qu’elle doit s’appuyer sur l’extrême gauche comme la droite s’appuie sur l’extrême droite, tant qu’elle n’aura pas réhabilité le marxisme le plus extrémiste, tant qu’elle n’aura pas fait libérer par tous les moyens les cyber-otages de gauche qui doivent subir la haine pathologique des déchets fascistes.
Laisser des milliers de cyber-otages, en France, subir les persécutions policières et fascistes, c’est une peu comme se suicider politiquement, les résultats de ce suicide commençant à se faire sentir, la gauche n’ayant plus d’idéologie définie, plus de projet, plus de moralité. Elle se contente de collaborer avec la droite et les patrons, d’être complice des bourreaux fascistes, de reprendre à demi-mots la propagande islamophobe des racistes, de ridiculiser le progressisme par ses compromissions avec le racisme et les politique antisociales.
Ces compromissions finissent toujours par se traduire par des effondrements électoraux, les réactionnaires, les banquiers et les patrons n’ayant plus besoin d’hommes de paille, et finissant par régner directement sans partage. Le temps viendra où les fascistes finiront par menacer et agresser directement les politiciens de gauche, même modérés, profitant du fait que ceux-ci n’osent pas protester contre la cyber-répression. En intimidant, en harcelant, les fascistes prendront le pouvoir et ceux qui n’ont pas osé protester quand il en était encore temps devront alors se taire et subir le joug totalitaire en espérant juste être moins visés que la moyenne.
Il faut protester au moment opportun, quand c’est encore possible. Après l’heure c’est plus l’heure, c’est trop tard, ce n’est plus possible. Traduire les délinquants fascistes devant des tribunaux où ils devront expliquer leurs crimes et délits, c’est le minimum pour éviter de se faire écraser définitivement par ces voyous médiocres et fortunés. Ces réactionnaires sont des sales petits riches haineux, ivres de leur impunité qui leur accorde un pouvoir de vie et de mort sur d’honnêtes citoyens qui valent beaucoup mieux qu’eux.
En laissant les déchets fascistes persécuter quelques dizaines de milliers de citoyens, c’est toute la société qu’on met en danger. On laisse de cette façon la fachocratie intimider la société, la mettre peu à peu sous un joug implacable, la réduire à un silence terrifié, chacun voulant éviter de se faire repérer par les voyous de la réaction. Que d’honnêtes citoyens tremblent devant la spéculation, l’exploitation et la fraude fiscale organisées, c’est le résultat de décennies de complicité avec les forces du mal : fascisme, finance internationale, Mind Control. Bientôt, ces fascistes finiront par faire taire tous les internautes de gauche, et réserveront le Net aux nazis de diverses tendances. D’ores et déjà, d’après le quotidien Le Monde, 80% des contributions aux débats sont le fait de fascistes organisés. Qu’ils gagnent ou qu’ils perdent les élections, ce sont toujours eux qui sont aux manettes, à insulter, torturer, persécuter, comme s’il attendaient ce moment depuis des générations.
Fascisme
Les fascistes sont de plus en plus envahissants dans le débat public, en France et partout ailleurs dans le monde. Le Fasciste, c’est un peu le délinquant qui veut se faire passer pour le Français moyen. Si l’apparence physique est proche, la mentalité de ces nazis est elle opposée à celle du citoyen lambda. Ivres de jalousie, ces fascistes ne rêvent que de meurtre, de torture, de viol et de vol. Quand ils dénoncent les délinquants, c’est par envie, et non parce qu’ils sont contre le principe de la délinquance. Ils veulent pouvoir commettre des crimes et délits en bandes organisées, sans pour autant risquer la prison. Depuis l’arrivée de la surveillance par satellite, on comprend que ces nazis sont en fait le cœur et l’origine de la délinquance. Depuis des années, cachés derrière leurs écrans de surveillance, ils nuisent sans relâche aux honnêtes citoyens, profitant du fait que la loi du silence leur assure une impunité presque totale. Certains fascistes importants viennent violer de pauvres femmes qui avaient été mises sous surveillance en raison de délits commis par des membres de leur famille. Ils arrivent chez la dame, accompagnés de deux policiers, et violent sauvagement la pauvre femme, pendant que le corrompu lui fait comprendre qu’elle n’a vraiment pas intérêt à porter plainte. Si la femme porte néanmoins plainte, elle se fait violer une nouvelle fois dans le commissariat, et cette fois, elle comprend qu’il ne faut pas faire la maligne.
Les pourris fascistes de la politique pensent, depuis l’arrivée du MC, qu’ils ont enfin tous les droits. Ces gens n’ont fait de la politique que pour disposer d’un pouvoir le plus important possible sur leurs concitoyens. Ce sont des gens dont la motivation principale consiste à nuire à leur prochain tout en remplissant leurs comptes en Suisse. Ces gens sont le mêmes qui dénoncent la petite délinquance, alors qu’eux mêmes sont de grands délinquants, des gens qui protestent contre les « tournantes » (qu’ils manipulaient eux-mêmes) alors qu’eux mêmes organisent des tournantes de vieux. Ce sont ceux qui dénoncent le trafic de drogue, alors même que leurs partis profitent de ce trafic, la drogue venant d’Afghanistan ou du Maroc, sous contrôle de policiers ou militaires aux ordres des politiciens fascistes et stipendiés, dans le cadre de financements politiques occultes.
Bref, on l’a compris, la République est pourrie jusqu’à l’os, pourrie par ceux-là même qui dénoncent la corruption, les fascistes. Les fascistes ont intérêt à pourrir l’Etat, pour pouvoir profiter financièrement de cette corruption, des dividendes du trafic de drogue notamment, et pour bénéficier politiquement de cette même corruption tout en dénonçant ce qu’ils ont eux-mêmes mis en place et en jouant insolemment les innocents.
Ces fascistes sont des mafieux, infiltrés dans tous les partis, toutes les entreprises, tous les services de surveillance, qu’ils dirigent le plus souvent, toutes les banques, tous les réseaux de fraude fiscale, toutes les équipes de trafic de drogue. Leur tactique est de dénoncer les voleurs pour pouvoir voler tranquillement. Le Fasciste c’est celui qui crie au voleur, et profite de la confusion générale pour pouvoir s’éclipser discrètement. C’est le pourri qui hurle à la corruption, c’est le violeur qui crie au viol, c’est l’assassin qui joue les victimes, c’est l’incendiaire qui dénonce le pédophile qu’il est souvent lui même d’ailleurs.
Ces fascistes disposent de réseaux internationaux très puissants : les nazis américains et allemands, les Russes, les fascistes espagnols et italiens, l’argent arabe, les réseaux du Mossad, la mafia russe et italienne, les contributions plus ou moins obligatoires des dirigeants africains, les multinationales financières et pétrolières. Ces réseaux fascistes sont surpuissants : le néo-libéralisme qui opprime les peuples c’est eux, le chômage c’est eux, la délinquance c’est aux aussi, le Mind Control qui pourrit la planète c’est encore eux. Les fascistes sont à l’origine de la plupart des maux de la planète : derrière le semi-clochard de base, se cachent les banquiers, les politiciens corrompus, les gangsters, une partie de la police, de l’armée, des services secrets.
Le phénomène fasciste tel qu’il est apparu depuis les années 1980 ne peut se comprendre que par le Mind Control. C’est cette technologie d’espionnage, de répression et de manipulation, qui leur a permis de détruire tout ce qui faisait le bonheur de la société des années 1970 : libertés, prospérité, plein emploi, avenir radieux, lendemains qui chantent. Les serpents fascistes ont détruit tout ce qui faisait la joie de vivre des pays développés : ils ont créé un chômage permanent en refusant la RTT, de manière à terroriser les salariés et faire taire leur esprit revendicatif, ils ont développé la délinquance, en donnant des instructions pour que les enquêtes n’arrivent jamais à leur terme, ils ont manipulé des tueurs en série par satellite pour effrayer la population, ils ont assassiné les musiciens(Morrison, Lennon…) et philosophes(Gilles Deleuze) par le MC, ne laissant subsister que ceux qui pouvaient être compromis dans la répression par satellite, ils ont bloqué les salaires, car en période de crise « on n’a pas les moyens de faire plus », ils ont baissé les impôts des riches tout en augmentant ceux des pauvres. Aujourd’hui ils retardent l’âge de départ à la retraite, de manière à ce que les jeunes restent au chômage jusqu’à 35 ans pendant que la majorité des plus de 60 ans chôme elle aussi, les entreprises ne voulant pas de vieux dans leurs murs.
Dissocier néo-libéralisme et fascisme est une grave erreur : ce sont les deux faces d’un même complot réactionnaire. Pendant qu’une partie des fascistes bloque les salaires et fait travailler les vieux qui trouvent un emploi, l’autre partie hurle au libéralisme et tente de voler les voix d’une gauche qui est le plus souvent complice de la finance internationale. Quand on fait travailler les vieux, les jeunes se retrouvent au chômage et les fascistes n’ont plus qu’à dire que s’il y a du chômage, c’est parce qu’il y a trop d’étrangers. Tout est calculé dans diverses officines fascistes internationales, fondations et clubs divers, qui sont maintenant connus des internautes et qui continuent néanmoins de tisser leur toile sur la planète au détriment de milliards de citoyens du monde.
Islamophobie
Comme on l’a vu dans d’autres articles, l’islamophobie est une des causes principales de la faiblesse de la gauche mondiale. L’islamophobie est une synthèse de différents types de racismes et de colonialismes. L’islamophobie permet à la fois, d’aller agresser le Mali, d’organiser des massacres en Algérie, de fomenter des guerres civiles en Syrie ou en Irak et de supprimer les libertés en Occident, sous prétexte de lutte contre le terrorisme. L’islamophobie permet de diviser la société, de faire diversion, d’opérer une unité artificielle des non-musulmans contre les musulmans, le groupe des non-musulmans devant être bien entendu dirigé par les fascistes qui jouent alors aux défenseurs de la société. Surveiller les musulmans, c’est en réalité surveiller la société toute entière, les fascistes pouvant toujours prétendre lorsqu’il surveillent le citoyen lambda que c’est dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, même si l’individu en question n’a rien à voir avec le sujet et que les fascistes sont eux pleinement impliqués dans ce type de subversion. La lutte anti-terroriste, en réalité campagne de persécution islamophobe, a pour avantage de généraliser le secret-défense à toute la société : des employés de Carrefour, ou des Galeries Lafayette, peuvent être surveillés et harcelés à leur domicile, par les satellites de surveillance patronaux, même s’ils ne sont pas musulmans, même s’ils sont eux-mêmes fascistes, sans que personne n’en soit informé, en vertu du secret-défense mis en place pour lutter contre le terrorisme prétendu islamique. On comprend donc que l’islamophobie et la lutte anti-terroriste qui l’accompagne ont des répercussions gravissimes sur les citoyens ordinaires, qui se retrouvent persécutés impunément, parfois à mort, par des fascistes véreux, envieux et malfaisants, sans que personne ou presque n’en sache rien.
Quand l’islam n’existait pas en Europe et aux Etats-Unis, d’autres groupes étaient visés, les communistes, les juifs, les noirs, les Roms et autres. Pour pouvoir se développer, le fascisme a besoin d’un bouc émissaire utilisé pour faire diversion et mobiliser les masses derrière les réactionnaires, qui d’ordinaire sont haïs en tant que représentants des classes riches, les peuples sachant que ces richesses ont été accumulées par des siècles d’exploitation et d’oppression des classes laborieuses. Quand les masses se laissent abuser par le chauvinisme, elles n’obtiennent jamais rien, cette tendance étant une ruse utilisée par les classes dirigeantes pour enrôler le peuple derrière ses exploiteurs. Tous ces patriotes sont partisans de l’unité nationale, sauf quand il s’agit de partager les richesses, qu’ils accaparent généralement totalement, ne laissant que les miettes au patriotes prolétaires.
Cette analyse marxiste n’a jamais été aussi vraie qu’aujourd’hui : les réactionnaires racistes et fascistes qui dirigent le monde n’ont jamais assez d’argent pour rémunérer correctement les salariés, retraités ou chômeurs. Chaque mesure qu’ils prennent consiste à exonérer les riches et les patrons de la plupart des impôts et des charges, pour ensuite faire payer la facture aux classes pauvres et moyennes, sous forme de hausse de la TVA ou de baisse des prestations sociales. Alors que les dépenses militaires et de sécurité ont augmenté de manière vertigineuse aux Etats-Unis depuis le 11/09/2001, le salaire minimum est lui pratiquement bloqué depuis 30 ans. En Europe, et en l’occurrence en France, on semble suivre le même chemin : le salaire minimum est bloqué depuis plus de 5 ans, pendant que les dépenses de sécurité de cessent d’augmenter. Les fascistes surveillent de simples chauffeurs de bus, qu’ils étouffent ou font grossir, de simples plombiers à qui ils cassent les dents, de simples informaticiens qu’ils empêchent de travailler, de simples mères de famille qu’ils finissent par mettre sur le trottoir, et par contre, ils n’ont pas d’argent pour augmenter le RSA. On peut constater que ces braves patriotes ne sont qu’un ramassis de délinquants nuisibles qu’il faut mettre hors d’état de nuire pendant qu’il en est encore temps. Pour combattre cette force mafieuse organisée et infiltrée dans toutes les administrations, une union très large s’impose, nationale et internationale, union qui ne peut être limitée par les questions ethniques ou religieuses. Toute dérive islamophobe ou xénophobe profite aux oppresseurs fascistes, qui sont en passe de prendre le pouvoir grâce à l’utilisation du Mind Control et risquent d’imposer leur esprit vulgaire, haineux et criminel à l’ensemble de la planète, pendant des décennies, si le combat contre ces monstres est perdu.
Politiques économiques
Les politiques économiques des gauches dans le monde, se traduisent en général par des échecs, depuis les années 1980, hormis quelques exceptions, telle la politique menée en France entre 1998 et 2002 ou celle suivie aux Etats-Unis entre 1992 et 2000. En réalité, les politiques économiques de gauche ne sont, la plupart du temps plus de gauche : elle sont néo-libérales atténuées, et donc inefficaces comme toutes les politiques économiques de droite.
Pour sortir de la crise, quelques mesures simples et incontournables doivent être prises : la hausse des impôts des riches et des multinationales, la hausse des salaires, l’avancement de l’âge de départ à la retraite, la RTT et le passage aux 32 heures, le rachat par l’Etat des industries stratégiques, l’implication des collectivités publiques (communes, régions) dans la vie économique par investissements directs dans les entreprises, la retour de la planification indicative, la baisse de la valeur de l’euro, le contrôle plus poussé du libre-échange et l’établissement de droits de douane au niveau européen, d’au moins 10%. C’est à peu près le contraire de ce qui est fait par les gouvernements de droite ou de gauche. C’est aussi le contraire des programmes d’extrême droite sauf sur la question du protectionnisme.
Actuellement, la politique suivie se concrétise par le blocage du smic et des salaires des fonctionnaires. C’est une grave erreur, dans la mesure où ce sont les hausses de salaires qui font la croissance et non le contraire, et, dans un contexte de blocage des salaires, il est probable qu’il n’y aura ni retour à la croissance, ni équilibrage du solde budgétaire avant très longtemps. Certains considèrent que une hausse des salaires profiteraient surtout aux importations. Il ne faut pas oublier qu’une grande partie de l’économie est interne et qu’il ne faut pas détruire l’économie intérieure pour limiter éventuellement les importations, sachant que la paupérisation généralisée favorise les importations de produits bon marché. Il faut au contraire accroitre les exportations, ce qui peut être rendu possible par la baisse de l’euro et la mise en place d’une politique étrangère axée sur la coopération et non sur le néo-colonialisme. Toute politique néocoloniale ou islamophobe a des conséquences néfastes directes sur les exportations, il n’y a pas besoin d’avoir fait l’ENA pour le comprendre. Les pays néocoloniaux comme la France, les Etats-Unis, le Royaume-Unis ont tous des soldes commerciaux déficitaires alors que des pays comme l’Allemagne ou l’Italie sont eux excédentaires. Il ne faut donc pas que des déficits commerciaux dus à une diplomatie non adaptée au monde actuel soient de plus payés par les salariés qui n’y sont pour rien et dont la limitation des revenus est la cause principale de la crise de la demande. Récemment, en mars 2013, les Allemands ont vendu une centaine de chars au Qatar. Cette vente aurait pu être réalisée par la France, sans la campagne qatarophobe qui est menée depuis quelques temps. Une bonne diplomatie exportatrice se constitue à base de politesse, de ruse, de calcul géostratégique, et non sur la nostalgie d’un empire colonial que tout le tiers monde a subi et dont il ne veut plus entendre parler. Cette incapacité à exporter suffisamment est la base de la rhétorique austéritaire, qui prétend que, puisque nous sommes en déficit, en raison de l’incompétence de nos exportateurs, il faudrait que les salariés se serrent la ceinture à perpétuité.
En plus de la diplomatie, il paraît raisonnable d’exiger du médef des résultats en matière d’exportations et de solde commercial, puisque qu’il semble qu’à présent ce sont les patrons qui dirigent la France. Si ce sont eux qui commandent, alors c’est à eux d’assumer les bilans, et notamment le bilan des exportations, et à eux de prendre les mesures qui pourraient améliorer les résultats à l’export.
La théorie qui consiste à considérer que tout le déficit commercial est dû à un trop haut niveau des salaires est une escroquerie patronale qui vise à augmenter encore les profits des grandes entreprises. Bloquer les salaires, c’est bloquer la croissance, c’est perdre son avance face aux émergents, c’est maintenir une frange importante de la population dans la gêne ou la misère, c’est créer du chômage dans la mesure où des milliers d’entreprise font faillite faute de clients, eux-mêmes au chômage, en passe de l’être, ou dotés de revenus bloqués ou en diminution. Si c’étaient les salaires qui déterminaient le niveau des exportations, alors les plus grands exportateurs de la planète seraient la Roumanie, la Biélorussie ou le Libéria ! Ce qui détermine les exportations, ce sont la qualité des produits et leur adaptation aux divers marchés, la qualité des réseaux de vente et des structures administratives de soutient, et la qualité de la diplomatie qui doit être axée sur la vente et non sur des objectifs ridicules, racistes, colonialistes, hégémonistes ou enfantins.
Il faut de plus une politique européenne des revenus basée notamment sur la hausse du salaire minimum dans toute l’Europe. Cette hausse devra être d’au moins 50% en Europe de l’Est, et de 10% à l’Ouest. Cette hausse est le moyen le plus sûr de relancer l’économie européenne. Une hausse de salaire minimum pourrait aussi se négocier au niveau mondial, ce qui permettrait une relance mondiale, planifiée au plan international. Il semble que malheureusement, l’idéologie libérale-fasciste s’oppose à ce type de mesures. En effet, s’il n’y avait plus de crise économique, il n’y aurait plus non plus de montée du fascisme, aucun peuple n’ayant envie de perdre ses libertés et de plonger dans la guerre, prolongement inévitable de toute politique d’extrême droite.
Certains voudraient éviter le fascisme, sans pour autant augmenter les salaires. Il espèrent rester dans le cadre du libéral-fascisme actuel, sans aller plus loin dans le projet nazi. Ils se trompent lourdement : les politiques qui sont menées en Occident depuis une trentaine d’années mènent directement au nazisme et à la guerre mondiale. Ceux qui ont voulu lésiner sur les salaires, les allocations des pauvres et les libertés ne devront pas s’étonner d’avoir créé eux-mêmes le monstre qui va les détruire. En cas d’avènement d’un régime fasciste, personne ne sait qui sera épargné. Ceux qui pensent qu’ils ne risquent rien parce qu’eux mêmes fascistes risquent d’être douloureusement surpris. Le fascisme c’est l’arbitraire. Personne ne sera à l’abri de la démence et de la jalousie de ces gens.
La question des retraites est une illustration parfaite du plan fasciste : il s’agit de faire travailler les vieux en maintenant les autres au chômage, de manière à provoquer un mécontentement important qui profitera in fine aux nazis. Les fascistes pourront dire que s’il y a du chômage c’est parce qu’il y trop d’étrangers, et qu’il faut donc voter pour eux de manière à expulser les immigrés pour laisser le travail au Français de souche. Si on mettait les vieux à la retraite et qu’on permettait aux autres de travailler, cette argumentation ne tiendrait plus. C’est pour cela que les fascistes de tous les pays et de tous les partis insistent tant pour retarder l’âge de départ à la retraite.
Dire que la retraite ça coûte cher, en oubliant de rappeler que le chômage ça coûte cher aussi, c’est se moquer du monde, c’est tromper volontairement l’opinion. Si on met un million de vieux supplémentaires à la retraite, cela fera 1 million de chômeurs et de rmiste au travail en plus, qu’il ne sera plus nécessaire de rémunérer. Certains chômeurs ne sont pas rémunérés, mais, globalement, les comptes s’équilibreront, l’argent utilisé à la rémunération du chômage étant transféré en direction des nouveaux retraités. Si la gauche ne fait pas cela, elle mécontentera ses électeurs tout en bloquant l’économie. Et tout ça profitera à la droite et l’extrême droite, sauf bien sûr si le FDG réussi à s’imposer sur la scène politique.
Hausse du salaire minimum dans toute l’Europe
La question de la hausse du salaire minimum dans toute l’Europe n’est évoquée par aucun parti ni aucun syndicat. Alors que des politiques monétaires et financières sont décidées au niveau européen, rien n’est fait sur le plan social, alors que la politique sociale est une partie importante de la politique économique. Tout se passe comme si les eurocrates avaient pour objectif secret de livrer le pouvoir aux fascistes. Depuis longtemps, les économistes savent qu’une hausse des salaires est la meilleure solution pour relancer la croissance. Et pourtant cette mesure est systématiquement ignorée par tous les spécialistes médiatisés, fussent-ils de gauche. Les divers partis gauchistes français, FDG, LO, NPA, n’évoquent jamais publiquement la question de la hausse du smic dans toute l’Europe. Cette hausse est possible même sans harmonisation sociale totale. Il suffit de décréter un certain taux de hausse du salaire minimum par groupe de pays. Ce sujet de la hausse du salaire minimum en Europe est aussi tabou que la hausse du salaire minimum américain. Les sociétés européennes semblent être passées sous le contrôle fasciste, financier et patronal depuis plusieurs décennies. Il faut rappeler que si la crise s’aggrave, les entreprises y compris importantes feront faillite en masse, que les bourses finiront par s’effondrer ruinant au passage les banquiers, les actionnaires, les millionnaires et les milliardaires. Les seuls bénéficiaires d’une crise économique mondiale fatale seraient les fascistes, qui généralement profitent de ce genre d’occasion pour prendre le pouvoir et régler leurs comptes. Ceux qui refusent une relance par la hausse du salaire minimum sont des fascistes ; ce sont les mêmes que ceux qui imposent un recul de l’âge de départ à la retraite pour faire monter le chômage. Ces fascistes prospèrent sur le malheur des gens : à mesure qu’ils se développent, les peuples dépérissent. Ils provoquent toujours des guerres mondiales dès qu’ils le peuvent, et profitent de ces guerres pour anéantir leurs ennemis intérieurs, ceux qui refusent leur domination.
Il n’y a aura pas de hausse de salaire minimum en Europe, tant que la question du Mind Control n’aura pas été réglée. On ne peut pas livrer la population aux chiens de garde fascistes et ensuite s’étonner ensuite que ceux-ci prennent le pouvoir en imposant un blocage total des droits des salariés et une limitation drastique des libertés. Il faut braver la censure fasciste et dénoncer les atteintes aux droits de l’Homme en France, et notamment les agressions de citoyens par les cyber-chiens fascistes, surveillant par satellite les internautes, salariés et dissidents divers. Laisser les fascistes persécuter des citoyens honnêtes, alors qu’eux-mêmes sont pour la plupart des voleurs, des violeurs, des fraudeurs et des assassins, c’est un peu comme leur laisser les clés du pouvoir, c’est condamner la France à la dictature et la guerre mondiale, car c’est toujours ainsi que se terminent les tristes aventures fascistes.
Que la gauche accepte de laisser les fascistes espionner et agresser les gens à domicile par satellite est une erreur fatale et incompréhensible, même compte tenu du fait que tous les partis sont infiltrés par les forces totalitaires. Si la gauche ne fait pas respecter les droits des citoyens, elle sera elle même détruite et prise en otage par les nazillons qui progressent partout dans le monde. Les divers groupes gauchistes devraient faire de la lutte anti-mind-control le centre de leur action. Ignorer le Mind Control aujourd’hui , c’est comme ignorer les camps de concentration à l’époque nazie ou l’esclavage en Amérique au 19 ème siècle. En dehors même du fait que, moralement, tolérer la persécution des innocents est une position ignoble et criminelle, stratégiquement, laisser les fascistes détruire peu à peu les fondements de notre ex-démocratie, c’est une erreur mortelle qui aura des conséquences tragiques pour l’ensemble de la planète. Est-ce donc si difficile à comprendre qu’il faut respecter les lois, les droits de l’Homme, éviter les persécutions et répartir équitablement les richesses ? Ceux qui ne veulent pas partager perdront tout, au cours de crises boursières, de coups d’Etat, ou de spoliations fascistes, et ceux qui veulent limiter les libertés à une élite perdront eux-mêmes tous leurs droits. C’est maintenant qu’il faut dénoncer le complot fasciste, pendant qu’il est encore temps. Demain il sera trop tard et les rieurs et collabos d’aujourd’hui se retrouveront dans les futurs Dachaus, Goulags, Auschwitzs, ou encore pire. Les camps du futur, administrés par le Mind Control, feront paraître tout ce qu’on a connu jusqu’à présent comme des centres de vacance. Les fascistes peuvent maintenant torturer sans tuer. Le supplice peut se prolonger pendant des dizaines d’années, sans que l’organisme ne soit atteint. Si on ne neutralise pas le complot fasciste aujourd’hui, il faudra se résigner à un avenir infernal.
Sans rétablissement des libertés, il n’y aura pas de hausses de salaires, pas de sortie de crise, pas de diminution du chômage, pas d’amélioration des conditions de vie. Ceux qui ont préféré la collaboration à la protestation, pour préserver leurs avantages, perdront à la fois leurs privilèges et leurs libertés. Ils seront condamnés à subir des hordes de fascistes stupides à leur domicile, qui viendront détruire leurs familles en se remplissant les poches. Les fascistes sont déjà dans nos foyers, incrustés par les satellites du Mind Control, à nuire jour et nuit aux cibles choisies de manière plus ou moins arbitraires, sans que personne ne puisse les arrêter. Ne pas libérer les cyber-otages, c’est condamner toute la société, pour une longue période. Seuls des fous profiteront de la dictature qui s’annonce ; pour les autres, elle constituera un enfer.
Avancer l’âge de la retraite et réduire le nombre d’annuités de cotisation
Alors que l’ensemble de la classe politique fascisante veut allonger la durée de cotisation et retarder l’âge de départ à la retraite, tous les citoyens raisonnables savent qu’il faut au contraire laisser partir les vieux à la retraite pour faire travailler les autres, et ce au moins jusqu’à ce que la question du chômage soit réglée. Maintenir les plus de 60 ans sur le marché du travail alors même que les entreprises n’en veulent pas, c’est un peu se moquer du monde. C’est créer un chômage artificiel qui ne profite qu’aux escrocs fascistes. Le prétendu déficit des caisses de retraites ne provient que des baisses de cotisations patronales. Il suffit d’annuler ces exonérations, et d’augmenter les taux de cotisations patronales et salariées pour résoudre le problème du financement. De plus divers impôts sur les riches et la spéculation seraient largement suffisants pour sécuriser définitivement le financement des retraites.
Les fascistes ne veulent pas régler les problèmes de retraite et de chômage parce qu’ils savent historiquement, qu’ils ne peuvent prendre le pouvoir qu’en période de crise. Sans crise, plus de fascisme possible. Tous ceux qui refusent de laisser les vieux partir à la retraite et de diminuer les durées de cotisation sont des complices objectifs du fascisme. Certains sont des alliés conscients du complot fasciste. Il faut bien comprendre que mettre plus de personnes à la retraite, c’est libérer des emplois pour les chômeurs. Le coût des retraités supplémentaires serait payé en grande partie par l’économie d’indemnisation du chômage, du RSA et des diverses aides sociales. Tout le monde peu comprendre ça ; tous les décideurs ont compris ce raisonnement. S’ils insistent pour retarder l’âge de la retraite, c’est parce qu’ils travaillent pour les fascistes.
De même, ceux qui insistent pour surévaluer l’euro comme ils avaient surévalué le franc, font partie de la conspiration fasciste. Ils veulent tuer l’économie pour faciliter l’accession des nazis au pouvoir. Avec un euro fort, les entreprises ne peuvent plus exporter, elle doivent délocaliser pour bénéficier de coûts moindres, et alors, les cancres fascistes accourent pour exiger la mise en place d’un système protectionniste qui nuira aux plus pauvres des Français, qui ne trouveront toujours pas d’emploi mais qui paieront leurs achats beaucoup plus cher. Si la mise en place d’un protectionnisme limité à la France créait 1 million d’emplois, elle laisserait encore au moins 4 millions de chômeurs qui ne pourraient plus vivre de leurs allocations en raison de la hausse des prix. De plus, ce protectionnisme gênerait les exportations. Il profiterait par contre à certains patrons locaux qui pourraient fortement augmenter leurs prix au détriment des consommateurs. La bonne solution consiste à mettre en place des droits de douane aux frontières de l’Europe, de 10 à 20%, ce qui permettrait d’aider les entreprises locales sans perdre pour autant les bénéfices apportés par les importations.
L’âge de la retraite pourrait lui être avancé à 55 ans pour les professions physiques et les durées de cotisation être limitées à 30 annuités pour tous, comme ça se fait dans certains pays, compte tenu du fait que les gens entrent de plus en plus tard dans la vie active, qu’ils restent souvent des années au chômage, et que le marché du travail est saturé et n’a pas besoin de main d’oeuvre excédentaire. Il n’est pas besoin de faire travailler les vieux, si les jeunes ne peuvent pas obtenir un emploi fixe avant l’âge de 35 ans. Plus de dépenses de retraites et moins de coûts d’indemnisation du chômage, ça parait être la solution la plus rationnelle à la question du chômage et des retraites. Sans la pression des clochards fascistes et de leurs complices, c’est la solution qui aurait été adoptée depuis longtemps.
Faire payer les riches
La vraie rigueur consiste à faire payer les riches et grandes entreprises et non les pauvres et petites entreprises. Depuis une vingtaine d’années, ce sont près de 200 milliards de baisses d’impôts et de charges qui ont été imposées à l’économie. Baisses des charges sociales pour les entreprises, baisses de l’impôt sur les société, baisse de l’impôt sur le revenu, exonération de certains produits financiers. L’annulation de ces baisses de taux et de ces exonérations permettra de passer d’un budget en déficit à un budget en excédent, ce qui permettra la redistribution, les grands projets, le remboursement de la dette. La gauche ne pourra réussir sans faire payer les riches et les multinationales, tout le monde peut le comprendre. Les hausses d’impôts permettront d’empêcher les milliardaires de continuer à s’enrichir et de constituer un Etat dans l’Etat. La bourgeoisie s’est tellement enrichie au cours des décennies précédentes que sa puissance est devenue incoercible. Les vieux riches nuisibles qui dirigent le monde ont les moyens de se payer tout l’appareil d’Etat : les politiciens, les préfets, les administrations diverses, les services de sécurité. Limiter l’enrichissement des riches constitue une politique de souveraineté minimale. Si la concentration de richesse aux mains de le bourgeoisie continue, les marges de manœuvres des dirigeants politiques deviendront nulles. Ils deviendront alors les employés des milliardaires nationaux et internationaux, et seront condamnés à détruire progressivement l’appareil d’Etat pour laisser tout le pouvoir aux bourgeois.
D’ores et déjà, la bourgeoisie ne respecte plus les lois : elle se croit autorisée à espionner les gens à domicile, à persécuter ses employés ou de simples internautes, à surveiller les élus du peuple, à imposer des politiques économiques suicidaires. Bourgeoisie et fascisme sont les deux faces de la même médaille, l’objectif poursuivi est le même, la suppression des libertés pour les citoyens et l’instauration d’une ploutocratie totalitaire.
Les taux maximum d’impôts sur le revenu doivent atteindre au moins 90% pour ceux qui gagnent plus de 200.000 euros par an, l’impôt sur les société doit être modulé en fonction du bénéfice, allant de 50% pour les PME à 80% pour ceux dont le résultat dépasse 1 milliard, l’impôt sur la fortune doit être augmenté, une taxe sur les transactions financières adoptée… Ce sont au moins 100 milliards d’euros annuels qui doivent être récupérés en faisant payer les riches et grandes entreprises. C’est le seul moyen d’éviter une faillite annoncée.
Dévaluer l’euro
L’euro fort détruit l’économie comme le faisait le franc fort. La monnaie surévaluée gêne les exportations et bloque l’économie. Les périodes correspondant au franc fort ou à l’euro fort sont des périodes de stagnation économique. Lorsque la monnaie est dévaluée, la croissance repart. Le Japon par exemple connait un regain d’exportations depuis qu’il a dévalué le yen, l’Europe de la fin des années 1990 connaissait une croissance importante. Toutes les périodes où la monnaie est surévaluée sont par contre des périodes de stagnation économique.
Pourquoi alors l’Europe s’acharne-t-elle à surévaluer l’euro ? Les points positifs de l’euro surévalué sont la baisse du coût des importations et notamment des importations énergétiques et la lutte contre l’inflation. Le problème est que le remède de la surévaluation est pire que le mal du renchérissement des importations. Pour payer le pétrole moins cher, on détruit l’industrie, on pousse à la délocalisation vers des zones où les salaires sont moins chers, on favorise les rentiers et on détruite les entreprises. Quant à l’inflation elle ne constitue pas un problème en Europe pour l’instant.
Cette surévaluation de la monnaie est une partie du complot fasciste. L’euro fort détruit l’industrie, provoque faillites et chômage, désespère les peuples et crée une atmosphère favorable au retour du fascisme. C’est la raison pour laquelle les comploteurs nazis insistent tant sur cette mesure. Pourquoi faudrait-il continuer cette politique suicidaire qui ne profite qu’aux fascistes ? Dévaluer l’euro de manière importante est une condition sine qua non de la reprise économique européenne. Faute de dévaluation, l’Europe finira par éclater, et les vieux démons seront de retour : paupérisation, guerres, massacres et autres atrocités. Maintenir l’euro surévalué, c’est organiser les guerres à venir, c’est détruire l’Europe, c’est pourrir la vie de millions d’européens, c’est prendre du retard par rapport au reste du monde. Exiger une baisse immédiate de la valeur de l’euro, c’est le minimum pour un politicien conscient des atrocités qu’impliquent la politique de surévaluation à moyen terme.
Réduire le temps de travail
Passer des 35 heures actuelles à 30 heures hebdomadaires est une mesure qui s’impose absolument pour tout économiste sérieux. Cette diminution du temps de travail d’à peu près 15% permettrait de créer au moins un million d’emplois tout en laissant plus de temps libre aux salariés pour s’occuper de leurs enfants, pour faire du sport ou pour partir en week-end. Pourquoi faudrait-il que certains se tuent à la tâche pendant que d’autres sont condamnés au chômage, à l’exclusion sociale et à la pauvreté ? Tout le monde l’a compris, le refus acharné de la RTT est dû au complot fasciste plus encore qu’au patronat. En effet, pour les patrons, payer un peu plus cher l’heure de travail suite à la RTT permet de payer moins de cotisation pour indemniser les chômeurs. Ca permet de plus d’avoir des employés moins fatigués et plus concentrés. Par contre, effectivement, la baisse du chômage donne la possibilité aux salariés de relever la tête et de changer d’employeur en cas de désaccord ou de trop faible rémunération. Ce qui n’arrange pas certains patrons. Néanmoins, la baisse du chômage engendrée par la RTT a pour conséquence de relancer la consommation et donc d’éviter des milliers de faillites et d’améliorer les profits.
Pour les fascistes par contre, la RTT et la baisse du chômage qui en est la conséquence obligée est une catastrophe : si le chômage diminue, si le pessimisme cesse, si les salaires augmentent, si les salariés ne sont plus en permanence menacés de chômage, toute la rhétorique fasciste perd sa pertinence. Sans crise économique personne n’est plus intéressé par la fin des libertés, les massacres divers, la torture, la destruction de l’Europe politique et économique et la guerre mondiale. Réduire le temps de travail devrait par conséquent être une revendication prioritaire des syndicats, partis de gauche et antifascistes. Le refus de partager le travail conduira au fascisme et à la guerre mondiale tout comme l’euro fort ou le recul de l’âge de la retraite. Quand on refuse aux gens le droit de vivre dignement d’un travail stable et bien rémunéré, on prépare l’avènement d’une barbarie fasciste qui est une réponse suicidaire à la barbarie néo-libérale. On ne combattra pas le fascisme sans partager le travail entre tous et garantir les droits au travail, logement et vie privée qui sont prévus par la constitution.
Rétablir toutes les libertés pour tous
Pratiquer la politique de l’autruche sur la question des libertés est extrêmement préjudiciable pour la démocratie. Des milliers d’honnêtes citoyens sont les livrés aux milices fascistes et aux mafias. Par le biais des satellites, les gangsters de la bourgeoisie harcèlent nuit et jour de pauvres internautes qui ont osé contredire la propagande officielle de la dictature. Sans libération de tous les internautes harcelés par le Mind Control et une protestation efficace contre les méthodes totalitaires de la cyber-répression, tout citoyen pourra un jour se retrouver la cible des milices fascistes et chacun sera obligé de se taire sur tous les sujets, en laissant le monopole de la parole aux corrompus fascistes qui infestent les médias.
Accepter que de simples internautes soient pourchassés, harcelés et torturés par la surveillance satellite dans le monde entier pendant 10 ans sous le simple prétexte que la nomenklatura fasciste dirigeante ne supporte pas la critique, c’est mettre en danger la tranquillité de l’ensemble des citoyens, les réduire au silence et instaurer une dictature qui ne dit pas son nom. D’ailleurs c’est bien l’ensemble de la société qui est menacée par la tyrannie : on peut faire surveiller les gens parce qu’ils sont actifs sur le Net, parce qu’ils sont syndiqués, membres d’un parti politique, parce qu’ils écrivent des livres, font de la musique, participent à des réunions libertines, sont considérés comme trop à gauche, voire trop à droite, parce qu’ils ont des ennemis puissants qui les ont retrouvés en utilisant des fichiers publics… Personne, absolument personne n’est à l’abri du cyber-totalitarisme qui est en train de s’installer dans le monde. La France n’est déjà plus une démocratie et ce depuis longtemps. Ceux qui répètent inlassablement sur les ondes que nous vivons en démocratie sont le plus souvent des fascistes convaincus qui se moquent volontairement des citoyens.
Il n’y aura pas de retour de la justice sociale sans récupération préalable de toutes les libertés politiques et de tous les droits civiques qui ont été perdus depuis l’arrivée de la surveillance satellite il y a une trentaine d’années. Aucun salarié ne peut revendiquer ses droits légitimes s’il est en permanence surveillé par son patron, la police, et les milices privées, sur son lieu de travail et hors de son lieu de travail. Le premier devoir des syndicats doit être de faire respecter les droits de l’Homme dans l’entreprise, et d’empêcher les directions de surveiller leurs salariés à leur insu. Aucune entreprise ne devrait avoir le droit de surveiller ses salariés sans l’autorisation de la Justice. Aucun syndicaliste ou militant de gauche ne devrait passer dans les médias sans dénoncer la surveillance des satellites. Tous les dirigeants syndicaux sont bien entendu informés des possibilités du Mind Control et de l’utilisation de cette technologie contre les salariés.
Il faut donc interdire aux entreprises de lire les pensées de leurs salariés ; leur interdire l’espionnage des salariés hors des entreprise ; leur interdire toutes représailles satellitaire contre leurs employés. Le Mind Control satellite peut faire divorcer, rendre malade et tuer, comme le savent les personnes bien informées. Beaucoup de grévistes finissent par divorcer, et sont empêchés de retravailler par la surveillance satellite patronale. Rétablir les libertés dans les entreprises est donc une mesure minimale à prendre pour un gouvernement de gauche. Dénoncer les atteintes actuelles aux droits des travailleurs dues à la surveillance par satellite, c’est le minimum de ce que doit faire un syndicat ouvrier même modéré.
Guerre PS-FDG
Le PS semble considérer que le FDG est son ennemi principal. Les propositions du FDG ne sont pas prises en compte, les membres du FDG ne sont pas invités pour discuter des mesures à prendre, la politique mise en place par le PS est plus proche de celle préconisée par le Modem que du programme du FDG. Cette stratégie se révèle désastreuse, d’après les sondages d’avril 2013 : en cas d’élection présidentielle à cette date, le candidat du parti socialiste serait éliminé par ceux de l’UMP et du FN. Visiblement, quelque chose ne fonctionne pas dans la stratégie du PS.
Une règle de base à suivre pour un parti de gauche, c’est de faire preuve d’une sorte de solidarité gauchiste qui consiste à faire participer d’une manière ou d’une autre tous les mouvements de gauche à l’exercice du pouvoir. Au lieu de cela, on a souvent assisté à une lutte acharnée entre le PS et les autres partis de gauche, que ce soit le PCF à l’époque de François Mitterrand ou le FDG sous la présidence de François Hollande. Tout se passe comme si le parti de la rue de Solferino préférait traiter avec la droite, le centre et voire même l’extrême droite, plutôt que de négocier avec des gens plus à gauche qu’eux.
Cette stratégie est totalement inefficiente, aujourd’hui comme hier. La lutte menée contre le PCF dans les années 1980 a effectivement abouti à un très grand affaiblissement de ce parti, sans pour autant avoir renforcé le PS ou la gauche dans son ensemble. La gauche a perdu les élections législatives de 1986, celles de 1993 et n’a dû sa réélection aux présidentielles de 1988 qu’aux 2 ans d’alternance de droite qui ont fortement déçu. En 1995 et 2002 le PCF a fait un score inférieur à 10% lors des élections présidentielles et ces élections ont été perdues par la gauche. Aux présidentielles de 1981 le PCF a dépassé les 15% et en 2012 le FDG a réalisé le score de 11,1%. Ces deux élections présidentielles ont été gagnées par la gauche et en l’occurrence le PS. Ces éléments nous permettent de supposer que pour que le PS puisse gagner des élections, il faut que les communistes et leurs alliés soient suffisamment puissants, c’est à dire qu’ils réalisent des résultats supérieurs à 10%. Ce n’est pas en favorisant le FN, prétendument pour affaiblir la droite, que le PS réussira sur le long terme. Quand le FN monte, c’est le PS qui est éliminé, pas la droite.
Par conséquent, il paraît logique pour les socialistes de collaborer de manière intensive avec le FDG et l’extrême gauche, de manière à constituer un bloc puissant et uni, qui pourra s’opposer à la droite et le l’extrême droite de manière victorieuse. Compte tenu de la force de la droite et du patronat, il ne saurait exister de possibilité de réussite pour les socialistes sans un minimum de stratégie unitaire à gauche.
On a souvent l’impression que le PS est manipulé par la droite, qui dirigerait en sous-main sa stratégie. On sait que la technologie du Mind Control permet de manipuler mentalement les personnalités, et cette technologie est intensément appliquée dans la politique, secteur stratégique par excellence. Les maîtres du Mind Control sont les grandes entreprises, les services secrets, les Etats-Unis, les sociétés de surveillance privées, bref tout un ensemble de joyeux réactionnaires pour ne pas dire plus…
Il faut donc se méfier des stratégie imposées par le Mind Control, le plus souvent à l’insu des intéressés, dirigeants politiques en général et de gauche en particulier.
Pour le PS, la stratégie gagnante, c’est la stratégie de gauche : elle consiste à s’allier de manière plus ou moins affirmée avec les autres partis de gauche, FDG, NPA ou autres, et à élaborer un programme modérément de gauche mais quand même de gauche, à base de hausse de smic, de RTT, d’avancement de l’âge de la retraite, de redistribution. Tout virage à droite fait perdre des électeurs, perte qui n’est pas totalement compensée par l’arrivée d’électeurs centristes qui préfèrent le plus souvent voter à droite. Toute stratégie droitiste est vouée à l’échec, comme le prouvent les débâcles électorales du passé. Les électeurs préférant l’original à la copie, quand le PS vire à droite, ils virent à droite aussi, mais sans lui.
La seule stratégie possible pour le PS consiste donc à s’allier avec les autres partis de gauche, à maintenir le cap à gauche, et à appuyer ses électeurs par tous les moyens, y compris au niveau de l’emploi. En effet, les patrons disposent de bases de données importantes dans lesquelles sont fichés les électeurs de gauche. Nos chefs d’entreprise cherchent en général à donner le moins de travail possible à ceux qui votent contre leurs intérêts à court terme. C’est à l’Etat et en l’occurrence au PS de corriger cette situation et de veiller à ce que les électeurs de gauche puissent travailler dans toutes les entreprises sans être pénalisés par leur vote. Il serait même utile pour la gauche et le PS, que les électeurs de gauche soient fortement favorisés dans toutes les entreprises, de manière à ce qu’ils profitent de leur vote à gauche et le réitèrent. C’est avec ce genre d’action qu’on fidélise l’électorat et qu’on se maintient au pouvoir.
De même, des milliers d’électeurs de gauche sont harcelés par les satellites des fascistes du Mind Control. Tant que ces gens n’auront pas été totalement libérés et leur tranquillité assurée, le PS et la gauche ne recouvreront pas leur crédibilité et ne remonteront pas dans l’opinion. On ne peut pas prétendre vivre en démocratie alors que n’importe quel citoyen peut subir les persécutions des nazis de la surveillance qui eux devraient être en prison au minimum. On ne doit tolérer aucune exaction contre les électeurs de gauche, quelle que soit sa tendance. La base de la réussite politique, c’est d’essayer de satisfaire un minimum sa clientèle. Les gens n’ont pas voté à gauche pour perdre leur travail et être harcelés par les satellites patronaux ou droitistes. Il faut étudier le cas de chaque personne harcelée par les patrons, la police ou des services secrets étrangers. Tous ceux qui ont voté à gauche doivent être libérés sans exception ; quelle que soit leur origine, religion, tendance politique. Faute de quoi, la droite reviendra au pouvoir, en collaboration avec l’extrême droite et ce sera la fin de la gauche, de la démocratie et des libertés. Si le régime du maréchal Pétain n’a duré que 4 ans, c’est en raison des circonstances exceptionnelles de l’époque (guerre mondiale, puissance soviétique…). Si les fascistes revenaient au pouvoir aujourd’hui, la dictature ne durerait pas 4 ans mais au moins 40 ans. La torture et l’espionnage à domicile seraient généralisés, la vie deviendrait un enfer pire que celui mis en place par Staline qui lui ne disposait pas du Mind Control. Dire à notre époque que nous vivons en démocratie, comme le font certains politiciens, journalistes et philosophes, c’est être complice du coup d’Etat permanent, c’est appuyer les putschistes et les fascistes qui sont en train de comploter contre nos libertés, c’est insulter les milliers d’otages en France.
Médias
Une des causes de la faiblesse structurelle de la gauche en France ces dernières années, ce sont les médias qui semblent sous contrôle raciste et fasciste. Par exemple, depuis la victoire de la gauche en 2012 et surtout l’intervention au Mali, les médias ont repris leurs vieilles habitudes de diffamation raciste, brocardant les « islamistes », « jihadistes », « salafistes » coupables de tous les maux et rendant obligatoire la mise en place ou le maintient de mesures liberticides. Cette propagande islamophobe et coloniale profite visiblement à la droite et l’extrême droite, si on en croit les sondages d’avril et mai 2013. Dans tous ces sondages, en cas d’élection présidentielle à la date de leur confection, la gauche serait éliminé dès le premier tour. Visiblement, les électeurs votent comme les médias : lorsque les médias sont islamophobes et néo-libéraux, ils choisissent des candidats de droite et d’extrême droite. Il parait donc raisonnable pour la gauche de cesser toute propagande islamophobe, arabophobe, sinophobe, xénophobe en général, de même que tout discours prolétarophobe, qui affirme que la crise c’est de la faute des salaires et de la rigidité du travail, et qu’il faut donc bloquer les salaires, flexibiliser l’emploi, faire travailler les vieux, exonérer les patrons de tout ou presque.
N’oublions pas, les électeurs votent en partie comme les médias. Si on veut du vote à gauche, il faut des infos de gauche, des émissions de gauche, des commentaires de gauche. Le discours de la gauche et de ses médias doit donc être ouvertement islamophile, et pas seulement neutre, arabophile de manière à combattre des préjugés qui datent au moins de la guerre d’Algérie et qui profitent aux droites, prolétarophile, de façon à ce que ceux-ci se reconnaissent dans le discours médiatique et politique de gauche et recommencent à voter à gauche. Toute propagande de gauche dans les médias finira par avoir un impact sur les sondages. Cette propagande n’est visiblement pas effectuée, les médias semblant être sous nette influence raciste et coloniale, ce qui se traduit par une augmentation des intentions de vote en faveur de l’extrême droite.
Internet
Sur le Net, la gauche est très peu présente, alors que les racistes sont pratiquement majoritaires. Il faut donc former des brigades d’internautes de gauche et d’extrême gauche, éventuellement payés, et ayant pour mission de développer les idées de gauche sur le Net tels la hausse du Smic, la retraite à 37,5 annuités, les hausses de salaires pour les fonctionnaires, le referendum d’initiative populaire, idée écologiste à la base, la lutte contre la surveillance satellite qui ne profite qu’aux diverses catégories de fascistes.
D’autre part, il ne faut plus que le Web soit surveillé par des fascistes, comme c’est le cas actuellement. Donner aux fasciste le contrôle du Net, c’est leur donner le pouvoir politique à moyen terme. Ces fascistes doivent être exclus de la surveillance du réseau, comme il doivent être éliminés de la surveillance par satellite. Ceci est évidemment beaucoup plus facile à dire qu’à faire dans la mesure où ce sont en réalité les fascistes qui dirigent le monde en général et la France en particulier.
Les sites de gauche comme par exemple Mindcontrolfrance doivent être appuyés par les autorités, de manière à contrebalancer la propagande fasciste qui est omniprésente sur l’Internet. Ces sites de gauche doivent être référencés le plus possible, de manière à informer la population du complot fasciste et de ce qui arriverait en cas de prise de pouvoir par ces gens. Maintenir les citoyens dans l’ignorance de la puissance et la nocivité du Mind Control et les livrer ainsi pieds et poings liés au fascisme est une attitude criminelle que tous regretteront y compris ceux qui profitent provisoirement de cet instrument totalitaire. Le Mind Control est un outil fasciste et nazi qui profitera in fine aux fascistes et aux nazis. La dernière expérience nazie au cœur du 20 ème siècle a duré un peu plus d’une dizaine d’années. Si l’expérience se reproduisait, il est probable qu’elle durerait plusieurs décennies et voire même plusieurs siècles. Il est donc extrêmement risqué de laisser ces fascistes aux manettes du Mind Control. Il ne faut pas non plus les laisser surveiller le Net et encore moins respecter l’omerta sur le MC sachant que cette loi du silence ne profite qu’aux fascistes. Ceux qui prétendent que nous vivons en démocratie, qui respectent la loi du silence sur le sujet du MC, qui collaborent avec la répression, ne devront pas s’étonner que les fascistes prennent le pouvoir pour l’unique raison que la gauche et les forces démocratique n’ont pas cru nécessaire de protester contre ces méthodes de répression satellitaire quand elles le pouvaient encore.
Le Mind Control est un moyen est aussi une fin : c’est un moyen de prendre le pouvoir, de supprimer toutes les libertés d’habituer progressivement la société à la torture et l’humiliation, mais, le MC constitue aussi le modèle de société dont les fascistes rêvent pour le monde : une société hiérarchisée à l’extrême, cruelle, injuste, criminelle où la caste dirigeante aura tous les droits et le peuple aucun. Chaque membre de la caste des maîtres aura une armée de chiens à son service qu’il utilisera pour harceler son troupeau d’esclaves car, il ne faut pas en douter, le programme des fascistes du Mind Control c’est d’établir l’esclavage pour tous, avec droit de cuissage, de torture, droit d’humilier, d’exploiter sans limite les animaux du cheptel. Ce système est déjà partiellement mis en place et les conditions de vie des premiers cyber-otages de la dictature permettent de donner une idée de ce qui attend l’humanité dans un proche avenir si le péril fasciste n’est pas jugulé.
On ne combattra pas le fascisme sans libérer les milliers de cyber-otage en France et les centaines de milliers d’autres dans le monde. De même, les nouveaux prisonniers politiques et notamment ceux de Guantanamo doivent être libérés ou soumis à un régime carcéral habituel, de manière à faire cesser cette ambiance pré-nazie qui prévaut actuellement dans le monde.
Fermer Guantanamo serait un symbole de recul fasciste. Dans ce camp, des milliers de prisonniers subissent la torture et le harcèlement alors que la majeure partie d’entre eux et totalement innocente. Il est temps de fermer le camps, de libérer les innocents et de mettre les coupables dans des prisons classiques. Ce camp menace non seulement les musulmans, sa fonction de base, dans la mesure où tout musulman peut être emprisonné sans raison pour une durée indéterminée, de manière à terroriser tous les autres, mais il menace aussi l’ensemble de la société américaine, ce camp pouvant être redirigé vers le traitement des gauchistes, écologistes, fascistes dissidents, syndicalistes, minorités. Fermer ce camp et indemniser les victimes de l’arbitraire fasciste, c’est rendre un peu de liberté au peuple américain et au reste du monde.
D’autre part, pour défendre la démocratie, il faut rétablir la liberté et la sécurité pour tous les internautes : en effet, des dizaines de milliers d’internautes sont surveillés et harcelés par satellite, pour le seul crime d’utilisation de la liberté d’expression, et de dénonciation du système. Tant qu’il restera un seul internaute victime de la cyber-répression ce sont tous les internautes qui pourront être considérés comme vivant sous un régime de liberté conditionnelle et par delà les internautes tous les citoyens qui pourront se considérer comme menacés par le fascisme planétaire actuel, même s’ils n’ont aucune activité politique et consacrent leurs loisirs au jeu, au sexe, à la philatélie ou toute autre pratique.