22 mai 2013

Stratégie des gauchistes

Classé dans : Gauche — mindcontrolfrance @ 10 h 59 min

 

En France et ailleurs dans le monde, les gauchistes ne décollent pas. Alors qu’ils proposent des hausses de salaires, la réduction du temps de travail, l’avancement de l’âge de départ à la retraite, ils ne dépassent jamais les 10% des scrutins. La plupart du temps, ils stagnent au dessous de 5%, les électeurs préférant voter pour des partis qui ne leur proposent que des blocages de salaires, des suppressions de libertés, des allongements de durée de cotisation pour la retraite. Les électeurs sont-ils stupides ou sont-ce les gauchistes qui ne savent pas présenter leur programme ?

Les gauchistes manquent d’une stratégie efficace. Ils ne savent pas passer d’alliances avec des forces nationales et internationales  comme avait su le faire Lénine. Ils ne savent pas organiser de campagnes d’opinions importantes par exemple pour la hausse du Smic, la lutte contre le Mind Control,  ou le retour aux 37,5 annuités de cotisations retraites.

Leurs apparitions médiatiques sont consacrées à de la politique politicienne et non à la présentation de leurs programme. Personne ne sait exactement quel est le contenu des programmes de LO ou du NPA. Personne ne sait quelle est leur position sur la question des retraites. Leurs apparitions télévisées sont généralement consacrées à la critique des gouvernements en place, ce qui fait partie de leur travail, mais pas à la présentation de leurs programmes, ce qui est pourtant la base de la politique.

Leur implantation en milieu étudiant est assez faible, alors même que ce milieu est très réceptif aux idées de gauche. Aucune stratégie globale n’est pensée par la mouvance gauchiste et depuis Trotski rien à été fait à ce niveau.

Aucun grand mouvement de révolte n’a été lancé par les gauchistes depuis Mai 68, alors que la situation actuelle est de très loin pire que celle qui prévalait à l’époque.

La raison de cet état de fait est le Mind Control, le système de répression par satellite qui est chargé de combattre la gauche internationale et d’assurer l’évènement du fascisme dans le monde. Tout ce qui est de gauche sur la planète est surveillé, harcelé et manipulé par le fascisme du Mind Control. C’est à ceux qui sont visés les premiers par ce système de protester les premiers et de s’unir aux autres groupes concernés pour combattre la tyrannie satellitaire. Ignorer la question du Mind Control est une erreur énorme que n’auraient jamais commise ni Lénine, ni Mao, ni Trotski, ni Staline, ni Robespierre, ni Voltaire, ni Rousseau, ni Diderot, ni Sartre, ni personne d’un niveau politique ne serait-ce que moyen. Cette loi du silence sur la répression des satellites est mortelle pour la gauche et l’extrême gauche.

La gauche ne renaîtra que lorsque l’omerta sur la répression du Mind Control fasciste sera levée.

 

Lutte contre le Mind Control

La lutte contre le Mind Control devrait être l’activité principale de l’extrême gauche. Cette lutte serait pour elle un moyen de récupérer de la crédibilité, des électeurs, des financements, des appuis divers. Cette lutte serait aussi l’occasion de nouer des contacts internationaux qui pourront se révéler utiles par la suite.

Pour commencer la lutte contre la surveillance satellitaire il faut d’abord informer le grand public des atrocités commises par les fous de la manette. La création de sites internet spécialisés et d’associations dédiées à la question du Mind Control pourrait-être opérée. Des affiches et des tracts informant les citoyens sur le sujet pourraient être éditées et chaque intervention publique ou médiatique devrait être utilisée pour dénoncer ces méthodes de répression illégales et criminelles.

Ensuite, des actions en Justice pourraient être diligentées et des manifestations régulièrement organisées jusqu’au moment où les pouvoirs publics se décideraient enfin à limiter ces pratiques répressives à des cas vraiment particuliers et ce sous le contrôle de la Justice.

Sans lutte contre le Mind Control, l’Europe sera condamnée à stagner et à tomber sous la coupes de criminels fascistes médiocres comme c’est déjà le cas dans certains pays de l’Est.

Il faudra persuader l’opinion que c’est toute la société qui est menacée par ces ordures satellitaires et que c’est donc toute la société qui doit se mobiliser pour faire respecter ses droits. Alors que les fascistes feignent de dénoncer une délinquance qu’ils organisent eux-mêmes, il faudra expliquer au public la réalité de l’activité criminelle en France, et la responsabilité de la surveillance satellitaire dans son développement.

Sans dénonciation publique de la surveillance satellitaire, la prise de pouvoir par les fascistes sera rapide et inéluctable.

Complotisme

Les gauchistes combattent le conspirationnisme  car ils croient que cette dénonciation des complots profite aux fascistes. Ils n’ont pas compris que ce sont les fascistes les comploteurs. Les fascistes dénoncent divers complots pour cacher le leur. Leur complotisme fait partie du complot. En accusant les « Illuminatis », les judéo-maçons et autres ils détournent l’attention du complot fasciste mondial. Ces illuminés sont en fait des fascistes qui ne veulent pas dire leur nom. Ce sont des gens ennemis des libertés, racistes et fascistes, partisans des inégalités raciales, religieuses et sociales. Ces fascistes subissent la démocratie plus qu’ils ne la désirent. Ils feignent d’être des légalistes alors qu’en réalité ils violent toutes les lois par le biais de la surveillance satellitaire.

Les fascistes sont très influents dans la finance internationale, les armées, les polices, les sociétés de sécurité privées, le monde politique.  Ne pas dénoncer le complot fasciste est une erreur majeure qui risque de permettre aux ennemis de la liberté de prendre le pouvoir. Au lieu de collaborer avec le Mind Control, les gauchistes devraient comprendre que tout le système est dirigé contre eux et qu’ils seront rejetés comme un noyau de cerise dès que les fascistes se sentiront assez forts pour gérer la dictature seuls.

Le complotisme est très populaire à droite et à l’extrême droite alors même que ce sont ces tendances qui sont au pouvoir dans le monde. Face à ce complotisme de droite, la gauche et l’extrême gauche n’ont pas réussi à mettre en place un complotisme de gauche qui dénoncerait la conspiration fasciste contre la démocratie, les Droits de L’Homme, la justice sociale.

Le complotisme, même sous-jacent, est un instrument électoral très efficace. La droite, par exemple, donne l’impression de combattre le système, alors qu’elle profite du système, qu’elle est le système. Tous les citoyens savent qu’on ne leur dit pas tout. Ceux qui s’acharnent à dire qu’il n’y a pas de complot, alors que tous se doutent que le pire est caché, perdent toute leur crédibilité. Il y a bien un complot capitalo-fasciste qui vise à supprimer toutes les libertés et à revenir à une dictature bourgeoise où les richesses et les pouvoirs seraient concentrés entre les mais de 10% des gens au maximum et où le reste de la population serait condamné à vivre dans le servage.

Pourquoi donc, depuis 30 ans, toutes les mesures économiques qui sont adoptées ou presque, vont dans le sens des intérêts de la grande bourgeoisie ? Il faut travailler plus longtemps et mettre le reste de la population active au chômage, il faut bloquer les salaires « pour être compétitifs », il faut privatiser pour permettre à quelques pourris de se remplir les poches, il faut flexibiliser le travail, il faut lutter contre un terrorisme issu de la dictature et donc accepter la suppression de pratiquement toutes les libertés.  Les rares mesures en faveur des travailleurs (les 35 heures) sont généralement immédiatement compensée par d’autres tel l’allongement de la durée de cotisation pour les retraites. Nous vivons dans une dictature bourgeoise cryptofasciste qui s’achemine lentement vers la mise en place de régimes authentiquement nazis dans tout le monde développé. L’arme secrète du fascisme, c’est le Mind Control.  Tant que cet instrument de répression n’aura pas été dénoncé, aucune société ne pourra revenir sur le chemin du progrès.

 Communication

Comme le FDG, l’extrême gauche souffre de problèmes de communication, et notamment de son incapacité à présenter un programme crédible et chiffré. Certains gauchistes pensent que les élections servent juste à s’occuper en attendant la révolution. En réalité, ils sont incapables d’organiser la moindre révolution, et, à notre époque, la lutte révolutionnaire, ce sont les élections. Il faut préparer les élections comme Lénine préparait son coup d’Etat. Ceci nécessite un programme chiffré, précis, travaillé, et présenté de manière convaincante.

Il faut expliquer pourquoi il faut monter le Smic (pour relancer la consommation), pourquoi il faut réduire le temps de travail (pour créer des emplois), pourquoi il faut avancer l’âge de la retraite (pour créer des emplois), pourquoi il faut renationaliser ( pour éviter la destruction de l’industrie), pourquoi il faut augmenter les impôts des riches ( pour se désendetter, redistribuer, effectuer des grands travaux, relancer l’économie), pourquoi il faut dévaluer la monnaie ( pour relancer les exportations), pourquoi il faut combattre le racisme, l’antisémitisme et l’islamophobie (pour unifier les travailleurs en France et dans le monde, nouer des alliances internationales et refonder une organisation mondiale contre le libéral-fascisme seuls moyens d’obtenir des résultats concrets positifs), pourquoi il faut dénoncer le complot fasciste (dénoncer l’ennemi c’est le meilleur moyen de le neutraliser), pourquoi il faut combattre le Mind Control ( c’est l’arme suprême du libéral-fascisme et un monstre technologique qui détruit toutes les libertés).

1 mai 2013

FDG : pourquoi il ne décolle pas

Classé dans : Gauche — mindcontrolfrance @ 10 h 10 min

 

 

Le FDG ne décolle pas, malgré les nombreux passages de Jean-Luc Mélenchon dans les médias. Les interventions de JLM manquent singulièrement de précision et n’emportent généralement pas la conviction du public, bien que fondamentalement plus de la moitié des Français approuvent sa position de lutte contre le ploutocratie capitaliste qui mine actuellement notre continent.

Alors que les autres partis ne proposent rien d’autre que du sang et des larmes pour le peuple et des baisses d’impôts pour la caste dirigeante fortunée, le FDG stagne à 12% des intentions de vote au premier tour là où il devrait dépasser les 20%.

Tout le monde sait que JLM est gêné par le Mind Control. C’est visible dans ses sautes d’humeur intempestives, que ce soit contre un étudiant en journalisme qui lui parle des maisons closes ou en direction de divers journalistes qui ne cessent pourtant de l’inviter partout. Ces sautes d’humeur ne sont pas le cœur du problème, les électeurs préférant généralement un politicien gauchiste énervé à un agent du Médef détendu. Le problème du FDG est ailleurs : stratégique et médiatique.

La communication

Les interventions de JLM et du reste du FDG se caractérisent par une absence systématique de propositions concrètes. Si on ne lit pas les ouvrages de JLM ou les brochures du mouvement, on ne sait pas quelles sont les mesures préconisées par le FDG.  Des propositions telle la hausse du smic ou des impôts des riches sont peu présentées,  d’autres éléments du programme du FDG sont inconnus de ceux qui n’ont pas acheté la brochure du mouvement comme par exemple  le RSA à 800 euros, aucune retraite inférieure au smic, le remboursement à 100% des dépenses de santé. Ces propositions font la différence entre un programme correspondant aux intérêts de la majorité de la population, et ceux des autres partis à base de baisse d’impôts pour les riches, de suppression des libertés, d’austérité pour les salariés et d’allocations pour les patrons, de suppression des droits syndicaux et salariés, et d’encensement de l’entreprenariat alors que la majorité de la population est salariée.

Par conséquent, participer à une émission politique sans mettre en évidence ses points forts (le programme) c’est une erreur de communication majeure, qui condamne le FDG à stagner loin derrière les autres partis. Toute intervention médiatique qui n’expose pas tous les points du programme FDG en détail est une intervention perdue. C’est une perte de temps. On ne peut pas rester une heure à parler pour ne rien dire dans une émission, et ensuite se demander pourquoi on ne monte pas dans les sondages, alors même  que tous les autres partis sont discrédités et présentent des programmes contraires aux intérêts de la majorité de la population.

Chaque mesure du programme doit être présentée, expliquée, répétée jusqu’à ce que le public et les journalistes aient compris cette mesure et la discutent. Le but d’un passage télé ce n’est pas de répondre aux questions plus ou moins biaisées des journalistes mais d’imposer sa propre logique dans l’intérêt de son parti et des électeurs. Quand on a un bon programme on le présente, et on fait la différence avec tous ceux qui n’ont pas de projet avouable et conforme aux intérêts de la majorité de l’électorat.  Au lieu de ne présenter aucune mesure, il faut en présenter le plus possible et diriger la polémique sur ces mesures et non sur les sujets imposés par les médias. Pourquoi un mouvement qui propose un smic à 1700 euros devrait-il faire moins de voix que ceux qui sont partisan d’un blocage du salaire minimum à perpétuité ? Une hausse du smic de cette ampleur aurait pourtant une incidence sur les revenus d’un grand nombre de Français !  Le FDG fait moins de voix parce que la majorité des électeurs ne connaissent pas ses propositions. Il ne connaissent pas ses propositions parce que ces propositions ne sont jamais présentées ou presque. Qu’il y -t-il de si difficile à présenter son programme ? Un politicien de vient pas dans les médias pour répondre aux questions des journalistes mais pour présenter ses propositions. Les seuls qui ont intérêt à parler pour ne rien dire sont ceux qui n’ont pas de programme avouable, ceux qui veulent prendre l’argent des pauvres pour le donner aux riches, ceux qui veulent limiter ou supprimer les droits des citoyens, ceux qui veulent ruiner l’économie au profit de la finance internationale. Par contre, quand on a un bon programme, conforme aux intérêts des Français, on le présente, on le rabâche, on le martèle. C’est la base de toute bonne propagande, de toute campagne efficace. La pédagogie, c’est l’art de la répétition, tout le monde le sait.

Chaque passage médiatique doit être utilisé à faire une étude comparative des programmes. D’un côté on augmente le smic, les retraites et le RSA, de l’autre on les bloque ou les diminue. Tant que la comparaison entre programmes ne sera pas faite de manière systématique, le FDG ne décollera pas.

Chaque mesure doit être explicitée et son utilité pour l’ensemble de la société doit démontrée. Par exemple, la hausse du salaire minimum permettrait aux salariés de vivre de manière plus décente mais surtout, elle rendrait possible une sortie de la crise économique qui ravage l’Europe depuis 5 ans. Une hausse du smic augmenterait les revenus d’une partie des salariés gagnant actuellement moins de 1700 euros par mois, de même que ceux des autres salariés, de manière à maintenir la hiérarchie des salaires dans les entreprises. Beaucoup de gens bénéficieraient de cette hausse. L’augmentation des salaires générerait alors une hausse de la consommation qui permettrait d’éviter des faillites, et donc limiterait le développement du chômage. La hausse du smic ne détruit pas d’emplois mais au contraire en crée. C’est ce que n’ont pas compris les politiques. A moins bien sûr qu’ils ne travaillent tous pour le lobby fasciste, qui a intérêt à aggraver la crise pour prendre le pouvoir.

Politiquement, la hausse du smic, qui concernerait, compte tenu de l’effet d’entrainement sur les autres salaires, plus de 50% de la population, devrait rapporter au moins 20% d’électeurs.

De même la hausse du RSA et autres allocations pour pauvres crée des emplois contrairement à ce que prétendent les néo-libéraux. Les bourgeois fascistes prétendent que la hausse des allocations diverses rend les ouvriers paresseux, alors qu’eux-mêmes sont pour la plupart des pistonnés, des rentiers et des fraudeurs fiscaux. En terme de paresse, le bourgeois rentier parasite et fasciste dépasse tout le monde. En réalité, la hausse du RSA permet de relancer la consommation et donc de créer des emplois. Plus il y a de clients dans un magasin et plus la direction recrute d’employés ; c’est une évidence. Augmenter les RSA c’est donc créer des emplois et non pas en détruire comme le prétendent les nantis fascistes et ceux qu’ils manipulent. Les gens qui vivent du RSA et leur entourage représentent au moins 5% de l’électorat en France. La plupart ne votent jamais. Recruter ce type de clientèle peut être très intéressant pour le FDG. Pourquoi tous les partis défendraient-ils les intérêts des bourgeois, des patrons, des riches qui ne veulent pas payer d’impôts alors qu’ils sont archi-privilégiés, pendant que personne ne représenteraient les intérêts des hyper-défavorisés, qui sont de plus accusés d’être des « assistés » par des fils à papa sans valeur.

Pour la hausse et l’allongement des allocations chômage, le principe est le même : les chômeurs doivent être mieux indemnisés et plus longtemps. La durée d’indemnisation par les ASSEDIC devrait être d’au moins 5 ans, compte tenu de la fréquence et de la gravité des crises économiques contemporaines et des pertes d’emplois qui les accompagnent. Augmenter les allocations chômage ne détruit pas d’emplois mais en crée au contraire, comme c’est le cas avec la hausse du RSA, du smic, des retraites et autres. Plus les chômeurs seront rémunérés et plus ils consommeront et donc créeront des emplois, du chiffre d’affaire, des bénéfices, ce qui permettra ensuite à l’Etat de prélever plus d’impôts.

Les bourgeois parasites nous disent qu’augmenter les allocations chômage et le RSA encouragerait les chômeurs à l’inactivité. Si certains profitaient des allocations pour ne pas travailler et se contenter de vivoter tant mieux ! Ils laisseraient ainsi la place aux autres qui sont eux vraiment motivés. Dans la pratique, on constate que personne n’a pour objectif dans la vie de se contenter du RSA. Ceux qui vivent de cette allocation y sont contraints en raison du manque d’emplois dû aux politiques menées par les fascistes depuis 30 ans. Ceux qui disent que les chômeurs refusent de travailler sont en général des bourgeois pistonnés par leur famille qui n’ont absolument aucune qualité ou compétence particulière et qui, s’ils n’avaient pas été appuyés par leur caste, seraient eux-mêmes hors du marché du travail. Le nombre de chômeurs dépassant les 10% de la population active, des mesures bien expliquées en leur faveur pourrait apporter au moins 5% de voix au FDG.

Si on effectue un rapide calcul, bien expliquer des mesures sociales qui profiteraient à la fois aux couches défavorisées et à l’économie, rapporterait électoralement 20 % de salariés, 5% de érémistes et 5% de chômeurs, ce qui nous amène à 30% d’électeurs, ce qui est déjà mieux que 11%. Par contre, parler pour ne rien dire ne rapportera aucune voix, mais en fera perdre, les autres candidats, qui eux n’ont pas de programme, sont par contre spécialisés dans l’action psychologique et le discours manipulateur. Il disposent de surcroît de l’appui des satellites du Mind Control. Pour les vaincre, ils faut des propositions concrètes, bien expliquées, martelées systématiquement.

Comportement

Les apparitions de JLM à la télévision se caractérisent par un certain emportement, probablement dû à l’action des satellites du Mind Control. Le but des fascistes de la surveillance est de le discréditer et de le folkloriser un peu comme ça avait été fait avec Georges Marchais. Agresser un leader politique par le Mind Control est évidemment interdit par la loi et c’est de plus une atteinte grave à la démocratie. Si, tous ceux qui défendent les intérêts du peuple sont systématiquement gênés lorsqu’ils expliquent leur projet, alors, les gagnants du système seront ceux qui défendent les intérêts de la finance internationale, du patronat et du fascisme ploutocratique, qui eux ne sont pas gênés. Les mouvements partisans du blocage indéfini des salaires et de la baisse des prélèvements obligatoires, tels l’UMP, le Modem, le FN et le PS, peuvent ainsi développer leurs arguments ineptes en toute quiétude, empreints de la sérénité du juste, pendant que ceux qui cherchent à redresser l’économie par le partage des richesses et la relance de la consommation sont systématiquement la cible des interférences satellitaires destinées à nuire à la clarté de leur discours.

Dans ces conditions, les partis défendant la justice sociale et travaillant pour les intérêts de la grande majorité de la population sont réduits à obtenir systématiquement des scores électoraux médiocres ou faibles, pendant que ceux qui roulent pour le grand capital, la finance et le fascisme disposent de toutes les facilités d’expression et de communication. Qui peut avoir envie de voter pour un personnage qui explose de rage toutes les 5 minutes sans proposer la moindre solution, alors que ces solutions sont présentes dans son programme ? Pas plus de 11% des électeurs dans le meilleur des cas.

Quand on est l’objet d’attaques de satellites fascistes, la moindre des choses est de dénoncer le phénomène, faute de quoi, il faut se résoudre à être l’éternel perdant des consultations électorales. La gauche radicale ne gagne jamais aucune élection parce que ces élections sont truquées dans toutes nos  »démocraties  » occidentales. Il n’est point besoin d’avoir fait l’ENA pour comprendre que si les électeurs votent systématiquement pour des partis qui agissent contre leurs intérêts, c’est parce que les élections sont truquées. Les leaders qui défendent le peuple et proposent des hausses de salaires sont systématiquement entravés illégalement dans leurs efforts, pendant que ceux qui n’ont d’autre objectif  que d’instaurer l’austérité pour le peuple et les baisses d’impôts et de charges pour les patrons sont eux élus, qu’il appartiennent à la droite, à l’extrême droite ou à la gauche sociale-libérale.

Lever la loi du silence sur les questions de Mind Control est une condition nécessaire pour rétablir l’équité dans les élections en France comme dans le reste du monde.

Ceci étant dit, les excentricités de JLM sont néanmoins beaucoup plus productives que l’attitude effacée et conformiste d’autres leaders de gauche, notamment ceux du PCF, qui, malgré leur programme conforme aux attentes des classes populaires, sont tombés à moins de 2% des suffrages aux dernières élections présidentielles où ils se sont présentés de manière indépendante.

Il faut donc dans les faits combiner sautes d’humeur et  indignations calculées avec des propositions économiques et sociétales calmement et précisément argumentées, qui permettent de faire la différence avec les partis patronaux. Pour pouvoir réaliser cela, il ne faut pas être dérangé par les manipulateurs du Mind Control qui travaillent dans l’ombre pour le grand capital et le fascisme. Sans levée de l’omerta sur la question de la surveillance satellitaire, il est probable qu’aucun parti vraiment de gauche ne gagnera d’élection en Europe. A moins bien sûr qu’ils ne vendent leur âme au diable et qu’ils rejoignent ainsi leurs collègues des autres tendances politiques.

Démocratie

Prétendre que nous vivons en démocratie alors que tout le monde sait bien que notre régime politique est une dictature ou au mieux une semi-dictature, est une erreur très grave. Le public se doute que notre système est une dictature, sinon pourquoi les salaires seraient-ils bloqués, pourquoi les gouvernements de gauche comme de droite baisseraient-ils les impôts des riches et multinationales pour ensuite faire travailler les gens jusqu’à plus de 60 ans, pourquoi chaque mesure prise par les hommes de l’Etat va-t-telle à l’encontre des intérêts de la majorité de la population ? Prétendre que nous sommes en démocratie alors que la dictature occidentale se renforce de jours en jours, c’est équivalent à affirmer que l’Union soviétique était une démocratie, ce qu’elle n’était pas. Déclarer que nous vivons en démocratie a pour conséquence de renforcer la tyrannie et de rendre la possibilité de retour à la véritable démocratie de plus en plus aléatoire. A l’heure où les internautes sont surveillés et harcelés, où les grévistes les plus virulents des entreprises en lutte sont condamnés au contrôle satellite à vie, on ne peut plus affirmer que la dictature patronale dans laquelle nous vivons est un régime démocratique, sous peine de perdre définitivement toute crédibilité.

La stratégie

Le FDG ne décolle pas en raison de ses erreurs stratégiques multiples.

1) Il faudrait s’ouvrir aux diverses communautés. La position du FDG à l’égard des minorités est trop timorée. Il y a dans ce parti peu de représentants des minorités arabe, antillaise, africaine, juive, asiatique, ce qui enlève une grande énergie au mouvement. Un mouvement ouvrier et salarié doit prendre en compte la réalité du prolétariat actuel, constitué pour une part non négligeable par des Maghrébins, des Africains, des Antillais. Ne pas représenter ces communautés au sein de la direction du FDG limite la puissance du mouvement et le prive de soutiens internationaux plus importants. Le FDG étant, comme son nom l’indique, un front, il pourrait incorporer des associations musulmanes, antillaises, africaines en son sein, de manière à renforcer sa base électorale et augmenter ainsi ses résultats.

2) Une incorporation de tous les partis d’extrême gauche au sein du FDG permettrait de limiter la dispersion des voix lors des élections et de former ainsi une force plus conséquente.

3) La création d’un mouvement étudiant lié au FDG, qui exigerait un salaire étudiant, des logements universitaires et l’amélioration des conditions de vie des étudiants serait un point important pour dynamiser le mouvement. Faute d’étudiants, les manifestations de protestation du FDG se limitent à un défilé de personnes d’un certain âge qui ne font plus peur à personne et n’obtiennent donc aucun résultat. Encadrer étudiants et lycéens, organiser des grèves étudiantes, sachant que les jeunes non pistonnés risquent d’avoir une vie professionnelle difficile et qu’ils ont donc intérêt à se faire entendre, c’est le minimum pour un parti d’opposition de gauche. Un mouvement étudiant pour l’obtention d’une allocation d’étude serait un bon moyen de s’implanter dans les facultés.

4) Lutter contre la surveillance par satellite et le Mind Control, instrument de répression surpuissant qui détruit la vie des citoyens, ça doit être aussi un des axes principaux de l’action d’un mouvement vraiment de gauche.

Le patronat et les fascistes ont lancé depuis les années 1980 une guerre sociale acharnée contre les peuples qui se traduit par un blocage systématique des salaires et avantages sociaux et une répression acharnée et secrète contre les internautes et les militants de gauche, avec la complicité de la gauche et de l’extrême gauche, cette collaboration étant une des causes de leur faiblesse. La grande régression qui date des années 1980 n’a été possible que grâce à la grande répression qui date de l’arrivée et du développement de la surveillance par satellite et de l’abolition de toutes les lois démocratiques par les législations anti-terroristes, destinée à combattre un terrorisme issu des hommes de l’Etat fortement infiltrés par les fascistes.  Face à cette situation, il faudra que toute la gauche et l’ensemble des forces démocratiques comprennent qu’il n’est plus temps de collaborer et qu’il faut maintenant protester. Le développement du libéral-fascisme se traduira irrémédiablement par l’accession d’une forme de nazisme technologique au pouvoir dans tous les pays du monde, et les véritables coupables de cette catastrophe seront les imbéciles et les lâches qui ont collaboré avec le fascisme à une époque où il était encore possible de protester.

5) Développer une politique internationale antiimpérialiste et anticoloniale est une nécessité absolue pour asseoir sa base électorale de gauche. La gauche ne peut se renforcer que dans l’anticolonialisme : approuver l’agression coloniale contre le Mali est une grave erreur qui a fait perdre bon nombre de sympathisants à la gauche et à l’extrême gauche. Quand la gauche s’est lancé dans des aventures coloniales, comme par exemple dans les années 1950, elle a fini par se faire éjecter du pouvoir, l’électorat de gauche ne voulant par définition pas de guerres coloniales.  Le colonialisme est un des tremplins de la droite ; c’est par ce biais qu’elle développe le racisme et la dictature en France. Les méthodes coloniales finissent par s’appliquer en métropole, et le pouvoir que les fascistes ont acquis à l’extérieur a des conséquences liberticides en France même. Il ne faut laisser aux fascistes aucun moyen de se renforcer. Tout fasciste qui tente de limiter la liberté d’expression des internautes doit être emprisonné le jour même. Le fascisme c’est la torture et la guerre, c’est l’idiot du village qui se voit investi de tous les pouvoirs alors qu’il ne vaut rien. Tolérer des opérations coloniales, c’est renforcer le fascisme en France, c’est accepter de voir nos libertés se réduire encore un peu plus.  Avec le fascisme, se développe inévitablement la censure, tout opposant aux guerres coloniales devenant un suspect à surveiller. La surveillance s’élargit ensuite à toute la société, aux journalistes, syndicalistes, salariés, internautes, simples citoyens. La moindre ordure fasciste est alors en droit de s’incruster dans nos chaumières et d’y imposer alors son esprit malfaisant.

Personne ne pourra prétendre lutter contre le fascisme s’il ne s’oppose pas à toutes les opérations coloniales, qui ont pour but de nuire aux pays visés tout en renforçant la tyrannie en métropole.

6) Lancer de grandes campagnes sur des sujets économiques est une des méthodes de base de tous les partis et mouvements de gauche. Quand on enlève les propositions économiques et sociales concrètes martelées pendant des années, il ne reste pratiquement plus rien qui intéresse les électeurs. Actuellement le FDG ne présente aucune de ses propositions lors de ses apparitions médiatiques. La hausse du smic et des impôts pour riches, la retraite à 60 ans,  les hausses des salaires des fonctionnaires, du RSA et des allocations chômage, toutes ces mesures doivent être rappelées à chaque passage et non pas distillées au compte-gouttes, de temps à autres. Sans répétition systématique des points économiques du programme, il n’y aura pas de décollage du FDG, le public n’étant pas intéressé par les discours creux politiciens, qui sont l’apanage de l’ensemble de la classe politique et qui cachent généralement des mesures antisociales appliquées avec une rare constance depuis 3 décennies.

Une campagne pour le retour aux 37,5annuités, la hausse du smic ou du RSA, serait le meilleur moyen de gagner des sympathisants, tout en popularisant des notions de relance par la consommation qui sont utiles à tous les salariés.

7) Organiser les chômeurs et les titulaires du RSA pour les pousser à exiger des hausses de leurs allocations, permettrait de récupérer des électeurs tout en rendant possible aux défavorisés de vivre dans de meilleures conditions. Mettre en place des manifestations de chômeurs ou de érémistes pour exiger une revalorisation de leurs droits serait un bon moyen de s’implanter dans les classes populaires et les banlieues.

8) Une plus grandes ouverture aux Eglises chrétiennes et aux communautés musulmane, juive et autres, serait le meilleur moyen d’élargir son audience. L’anticléricalisme petit-bourgeois actuel ne correspond plus du tout à la réalité des masses populaires. Beaucoup de pauvres sont regroupés dans des Eglises évangéliques ou des groupes musulmans défavorisés, et, ces gens sont souvent récupérés par la droite  et pratiquent parfois l’abstention systématique à toutes les élections, alors que les vieux riches eux, ne loupent jamais une occasion de voter à droite. L’athéisme devient, à notre époque impitoyable, un luxe que ne peuvent  pas se permettre les plus défavorisés qui s’en, remettent à la providence divine pour survivre. L’athéisme petit-bourgeois qui était autrefois un élément révolutionnaire, est en train de devenir actuellement un des piliers du fascisme et de la réaction. Alors que les religions regroupent des gens de différentes races et nationalités, le nationalisme ne s’occupe (ou feint de s’occuper) que des intérêts de son propre pays et plus précisément de ceux de la bourgeoisie de son pays. Le FN, par exemple, revendique une laïcité agressive et un nationalisme revanchard porteur de guerres et de catastrophes. La plupart du temps, les fascistes perdent les guerres qu’ils déclenchent, mais en attendant, ils se seront bien marrés. D’ailleurs, le fascisme lui-même est international, à l’intérieur de certaines limites imposées par le racisme de ce mouvement.

Si l’athéisme est respectable, les diverses pratiques religieuses aussi et un anticléricalisme trop affirmé a pour conséquence de faire perdre des voix à la gauche et de limiter l’énergie revendicatrice des masses, une partie de ces masses refusant d’associer l’anticléricalisme petit-bourgeois au combat social. Une agrégation des tendances rationaliste et religieuses doit être opérée, de manière à fédérer la résistance au fascisme néo-libéral.

9) Recruter des personnalités atypique tels Jacques Cheminade, Pierre Larouturrou, Dieudonné Mbala Mbala,  Horia Boutelja ou Tariq Ramadan permettrait d’améliorer le périmètre médiatique du FDG. Un parti important est toujours formé de plusieurs fortes personnalités. L’incorporation de leaders d’opinion au sein du FDG ou dans des structures parallèles aurait pour conséquence un accroissement certain des résultats électoraux de ce mouvement. Un parti d’avenir ne peut être composé uniquement de fonctionnaires à la retraite. Un peu de sang neuf ne serait  pas forcément inutile.

10)  Lutter contre l’islamophobie, fer de lance de la réaction en Occident, doit être un des axes stratégiques majeurs de la gauche en général et du FDG en particulier. Sans ce combat antiraciste et anti-islamophobe, les fascistes peuvent s’infiltrer à gauche, récupérer des électeurs, inventer des prétextes pour surveiller et harceler tous les citoyens. Les fascistes n’avouent jamais qu’ils ont pour objectif de persécuter leurs concitoyens : c’est toujours pour combattre la délinquance, la subversion, les étrangers qu’ils se mettent à harceler d’honnêtes citoyens sans défense. L’objectif de ces fascistes est tout simplement de prendre le pouvoir pour ensuite avoir la possibilité de harceler leur prochain. Ces fascistes sont une bande de minable haineux, le genre qu’on évite quand on peut, et qui utilisent la politique pour obtenir un rang social qu’ils ne méritent pas. Ces nazillons ont une intelligence très faible mais une volonté de puissance énorme. Aujourd’hui ils jouent les innocents en attendant d’obtenir le pouvoir absolu mais demain ils présenteront leurs vrai visage, celui de déchets de la société criminels et vindicatifs dont le seul plaisir dans la vie est de nuire aux autres. D’ores et déjà ces fascistes ont infiltrés tous les partis et syndicats et ils tissent leur toile dans toutes les strates de la société. Ils empêchent les honnêtes citoyens de travailler et prennent leur place, ils surveillent des gens, de très loin plus honnêtes qu’eux, en utilisant les satellites de surveillance de manière indue ; ils harcèlent, ils torturent, ivres de leur impunité permanente.

L’islamophobie profite à ces ordures fascistes ; c’est pourquoi il faut la combattre sans pitié. Sans islamophobie, antisémitisme, xénophobie et racisme, les fascistes sont nus, sans aucun vêtement protecteur. Ils sont alors obligés de révéler leur vrai visage : celui d’une milice patronale mafieuse et totalitaire destinée à écraser le peuple pour le compte des nantis et d’une caste dirigeante incompétente et corrompue. Des fascistes qui combattent le système c’est un concept aussi ridicule que la mafia qui combat le crime organisé. Ces fascistes sont une part importante du système : ils combattent la gauche et surtout l’extrême gauche physiquement, intellectuellement, électoralement, et remplissent ainsi la mission que leur a assigné la bourgeoisie réactionnaire et nazifiante. En raison de la diversion fasciste, les salariés n’obtiennent plus aucun résultat en matière de progrès social depuis près de trente ans.

La lutte contre le fascisme oblige à recruter divers mouvements musulmans, juifs, noirs, régionalistes,féministes existants ou à créer, pour les intégrer à la lutte contre le libéral-fascisme, chacun de ces mouvements ayant des objectifs particuliers qui sont unifiés au sein du combat commun pour la démocratie et la justice sociale.  Fonder des groupes de musulmans  de gauche ou de corses autonomistes anti-droitistes peut s’avérer très utile dans le cadre de la lutte contre les bandes fascistes.

Tous les mouvements de gauche qui sombrent dans une islamophobie plus ou moins déguisée sont condamnés à se faire dévorer par l’ogre fasciste. Les électeurs préférant l’original à a copie, sachant que l’extrême droite sera toujours la meilleure en termes de racisme et de xénophobie, le simple fait de s’aventurer dans cette voie xénophobe est le meilleur cadeau que l’on puisse offrir à l’extrême droite. Certains leaders de gauche croient qu’en reprenant une partie du discours xénophobe il est possible de conserver son électorat vieillissant et populaire. Les faits démentent cette théorie : quand le PCF a, au début des années 1980, tenté une rhétorique vaguement xénophobe au sujet de la destruction des foyers d’immigrés par exemple, ils n’ont fait qu’ouvrir la voie au Front National plus sûrement que s’ils avaient continué une politique franchement antiraciste sans être pour autant immigrationniste . Ce n’est pas en prônant une xénophobie modérée qu’on combat la xénophobie radicale. La xénophobie actuelle la plus visible est l’islamophobie et c’est pourquoi la lutte contre cette forme de racisme doit être prépondérante à gauche. Combattre les forces anti-islam sans faiblesse et sans nuance c’est revivifier la gauche en France, c’est bloquer l’offensive fasciste, c’est récupérer toutes nos libertés et tous nos droits, y compris les droits à la vie privée, au travail, à un niveau de vie suffisant ainsi que  les libertés  d’opinion, de religion, d’association, de manifestation, d’expression.

L’islamophobie c’est le vecteur d’inoculation du virus de la rage fasciste à toute la société. Par cette forme de racisme, c’est toute une culture crypto-nazie qui est légitimée, l’islam reprenant le rôle du judaïsme d’avant-guerre pour unifier les forces fascistes contre lui et mettre en oeuvre le complot contre la démocratie. Dans un premier temps, les fascistes tentent de regrouper toute la société contre les musulmans, et ensuite ils comptent bien prendre le pouvoir et liquider ou asservir d’une manière ou d’une autre toutes les autres communautés, juifs, noirs, homosexuels, Italiens, Espagnols, protestants, francs-maçons, et tout ce qui peut servir de bouc émissaire en attendant le bouquet final : la mise en esclavage de toute la population au service d’une élite fasciste, soit les anciens clochards racistes  parvenus au pouvoir et leurs commanditaires bourgeois. La dernière expérience fasciste, celle du maréchal Pétain n’a duré que quatre ans : la prochaine risque elle de se prolonger pendant plusieurs décennies pour ne pas dire plusieurs siècles : ceux qui n’ont pas été inquiétés lors de la dernière expérience totalitaire, les Italiens et les Allemands, en raison des liens entre leur pays et la France vichyste, risquent cette fois de subir de plein fouet la terreur fasciste, et d’être persécutés en tant que communauté « étrangère » et potentiellement hostile. On le voit, personne n’a intérêt à un retour du fascisme en France et en Europe mais, ce péril n’a jamais été aussi proche depuis la dernière guerre mondiale. Infiltrés partout et notamment dans les services de sécurité, ces fascistes suppriment jour après jour nos libertés, sans que personne ne juge bon de réagir. Ils espionnent les citoyens à domicile, ils violent, ils tuent, ils brûlent en utilisant les ressources du Mind Control, bénéficiant d’une impunité assurée par le secret défense et le prétendu « intérêt supérieur de la nation », ce qui leur permet de s’enrichir outrageusement pendant que les autres s’appauvrissent inexorablement, frappés par les crises à répétition, le chômage, les faillites, les blocages de salaires permanents. L’islamophobie ne profite qu’à ces fascistes, les amis qui vous veulent du mal. Cette engeance nuisible ne sera détruite que par le retour des libertés et la dénonciation du Mind Control, car, tel l’insecte lucifuge dans son antre, le Fasciste à horreur de la lumière de la vérité. La hausse des salaires et des impôts des riches, le partage des richesses et du travail, sont les conditions sine qua non pour un retour de la démocratie et de la prospérité.

La lutte contre la dictature du Mind Control implique une union nationale et internationale des défenseurs des libertés. Cette lutte requiert une unité sans faille de toutes les victimes réelles ou potentielles de ce système.  Une alliance aussi large que possible entre l’ensemble des groupes opprimés doit être établie : majorité salariée exploitée ou exclue du système d’une part et groupes divers de l’autre, minorités religieuses, ethniques, régionales, victimes de la persécution par satellite, journalistes, artistes, politiciens de gauche. Cette alliance doit aussi se réaliser au niveau international, la solidarité avec les peuples de tous les continents devant être renforcée. Cette union nationale et internationale devrait finalement aboutir à la libération de l’ensemble du genre humain des atrocités de la tyrannie du Mind Control, le système de répression secret qui pourrit les sociétés et les individus, les religions et les partis politiques, les pays et les groupes sociaux.  Mener un combat politique honnête sans combattre le Mind Control est impossible. Toute la vie politique des pays « démocratiques » est conditionnée et biaisée par le Mind Control. Jamais un parti favorable aux intérêts du peuple ne gagnera d’élection sous la houlette du MC car sa fonction est justement d’instaurer une dictature secrète en faveur de la bourgeoisie et du fascisme.

11) Augmenter l’activité sur le Net et lancer de grandes campagnes de revendications sur ce média serait aussi un moyen d’élargir son audience. Le Net actuellement est fortement fréquenté par les fascistes qui y ont une activité débordante. C’est pour eux un moyen de récupérer des électeurs et de jouer les victimes alors qu’ils sont en bonne partie responsables de la suppression des libertés par la surveillance satellite.  Dénoncer les politiques libérales et proposer des alternatives c’est le minimum pour un parti qui veut augmenter le nombre de ses électeurs.

12) Améliorer le programme et le présenter au public. De nouvelles mesures peuvent être proposées. Par exemple, le referendum d’initiative populaire pour compléter le referendum révocatoire, les 30 heures pour créer des emplois, la renationalisation des entreprises stratégiques et la prise de participation de l’Etat dans beaucoup d’autres, la création d’entreprises par l’Etat (hypermarchés, sociétés d’informatique, usines diverses, banques), le retour aux 37,5 annuités de cotisation ou moins, un bon moyen de créer des emplois.

Proposer de manière claire le retour aux 37,5 annuités de cotisation pour les retraites permettrait de faire gagner au moins 10% des voix et de passer ainsi à 21% des intentions de vote. Connaissant l’intérêt des Français pour les questions de retraite, il est étonnant que des mesures simples tel le retour aux 37,5 annuités ne soit pas mis en avant. Ce retour au 37,5 annuités est un minimum. En réalité, compte tenu du fait que les jeunes trouvent rarement un emploi fixe avant l’âge de 30 ans, le nombre d’annuités devrait être au maximum de 30, ce qui permettrait à tous de partir à 60 ans avec une retraite complète. Cette baisse du nombre d’annuités serait financée par une diminution du nombre de chômeurs et de titulaires du RSA à indemniser, par une hausse des impôts pour les riches et par la fin des exonérations de charges sociales. Une telle proposition bien expliquée pourrait améliorer l’image du FDG.

13) Lancer des campagnes européennes et mondiales, par exemple pour la hausse du salaire minimum ou les hausses d’impôts pour les riches.

En Europe par exemple on pourrait proposer une hausse de salaire minimum de 10% dans les pays les plus développés d’Europe de l’Ouest et du Nord,  et de 50% au minimum dans les pays de L’Est où le salaire minimum se monte à moins de 300 euros par mois pour certains d’entre eux. Sans une hausse de salaire minimum au niveau européen, une sortie de crise sera très difficile.

Une hausse de salaire minimum au plan européen pourrait être obtenue par des voyages dans les divers pays de l’Union, des rencontres avec les syndicalistes et gauchistes locaux et l’organisation de mouvements sociaux à l’échelle européenne pour faire monter le salaire minimum.

De même un mouvement européen pour la hausse des impôts des riches peut être mis en place. Un impôt minimum sur les personnes et les entreprises devrait être proposé. Par exemple, le taux supérieur de l’impôt sur le revenu devrait être fixé à au moins 50%. Le taux supérieur de l’impôt sur les sociétés devrait lui aussi s’élever au minimum de 50%. Les niches fiscale devraient être plafonnées partout, de manière à éviter de créer des paradis fiscaux à  l’intérieur de l’Europe.  Tout ceci serait un premier pas vers l’harmonisation fiscale et sociale dans l’Union européenne.

Avant même d’arriver à une harmonisation fiscale totale, une harmonisation par groupes de pays pourrait être mise en place : on pourrait par exemple diviser l’Europe en 4 groupes, les plus avancés (Allemagne, Belgique, France…), les suivants (Italie, Espagne…), les moyens (Pologne, Hongrie…), et les moins avancés (Roumanie, Bulgarie…). Une harmonisation fiscale et sociale pourrait alors être mise en place au sein de chacun des ces groupes, avant d’en arriver finalement à l’harmonisation de tous les pays de l’Union.

Donc, lancer des mouvements sociaux d’envergure européenne et obtenir des résultats, pourrait être un bon moyen pour revivifier la gauche en Europe.

Le même raisonnement pourrait être tenu au plan mondial. Une hausse du salaire minimum au niveau international d’au moins 10% pourrait être proposée, ce qui nécessiterait de contacter l’ensemble des syndicats et partis de gauche internationaux et de populariser ainsi la revendication.

Sur la question de l’âge de la retraite, un mouvement européen pourrait être mis en place pour proposer une harmonisation par le haut : par exemple l’âge de départ serait d’au maximum 60 ans, la durée de cotisation d’au plus 35 ans et la pension d’au moins 50% du salaire moyen des 10 dernières années d’activité. Il faudrait de plus faire comprendre à toute l’Europe que plus on fera travailler les vieux et plus le chômage augmentera.

Reculer l’âge de la retraite comme cela se fait actuellement, provoque une hausse du chômage et donc aggrave la crise. Il semble que beaucoup de prétendus experts pensent que face à la crise la seule solution possible consiste à faire travailler les vieux et mettre les jeunes au chômage. Il faudrait qu’ils nous expliquent les détails de leur raisonnement…Leur logique consiste probablement à se faire payer par les patrons et les fascistes le plus cher possible pour proposer des mesures destinées à paupériser les classes populaires, enrichir les déjà riches et provoquer une crise économique telle qu’elle permettrait aux fascistes de prendre le pouvoir.

14) Lancer une campagne d’adhésions, de manière à transformer les partis du FDG en partis de masse. Par exemple un objectif de 300.000 adhérents en 2017 pourrait être assigné au PG. Compte tenu du mécontentement général, une vague massive d’adhésions pourrait être obtenue très facilement à condition de faire un minimum d’efforts dans ce sens. La plupart des gens sont en effet favorables à la baisse de l’âge de la retraite, au salaire étudiant, à la hausse des salaires et notamment du Smic, à l’augmentation des impôts des riches et des multinationales, au rétablissement des libertés. Il paraît donc possible de recruter massivement des militants et de les appuyer ensuite dans leur recherches d’emploi,  leur carrière professionnelle, leurs affaires sachant que les fascistes de droite et d’extrême droite eux, disposent de réseaux professionnels importants pour leurs militants.

15) Convaincre les PME, commerçants et artisans que le programme du FDG est conforme à leurs intérêts. Si, par exemple, un commerçant paiera plus cher ses employés après une hausse du Smic, il y gagnera une augmentation de son chiffre d’affaire et de sa marge qui feront plus que compenser la hausse de ses charges salariales. L’application du programme FDG pourrait éviter la faillite à des milliers de commerçants et d’artisans.

16) Recruter des  membres du PS à la retraite ou en disgrâce : anciens ministres, anciens militants de base, anciens maires, anciens sénateurs, anciens députés. Ces anciens permettront de donner une certaine crédibilité au FDG et de renforcer son audience auprès de l’opinion. Une campagne de séduction en leur direction devra être effectuée pour les intégrer au FDG.

 

 

 

 

17 avril 2013

Faiblesse idéologique de la gauche

Classé dans : Gauche — mindcontrolfrance @ 10 h 52 min

 

Depuis les années 1980, la gauche est devenue très faible, idéologiquement et électoralement, au point de n’être plus dans certains cas que le paravent du patronat et de l’extrême droite. En France beaucoup d’élus de gauche votaient secrètement pour le Front national, jusqu’à que la fin du secret du vote (satellites de surveillance) ait mis fin à cette pratique. Il est vrai que ces électeurs cachés de l’extrême droite étaient manipulés par les satellites de cette même extrême droite, fortement infiltrée dans les services de surveillance.

En 2002, malgré un bilan économique impressionnant, Lionel Jospin a été écrasé par Jacques Chirac, un représentant du patronat et de la bourgeoisie la plus réactionnaire et qui avait lui un bilan plus que moyen. Ségolène Royal, symbole de la gauche de droite a été battue par Nicolas Sarkozy, un libéral-fasciste déclaré. En 2012, le socialiste François Hollande a gagné de justesse face à un Sarkozy au bilan désastreux, cerné par des affaires pour le moins louches, et considéré par des couches de plus en plus larges de la population comme un ennemi des libertés.

La gauche, en France comme dans le reste du monde a visiblement un problème : elle est plus à droite que la droite des années 1970. En Allemagne, le chancelier Schroeder est loué par le patronat international pour les mesures anti-salariés qu’il a prises pendant que Tony Blair s’est lui distingué par un bellicisme bushiste extrême. Le travailliste Gordon Brown restera dans l’histoire économique pour sa hausse de la TVA, l’impôt payé par les pauvres pendant que José-Luis Zapatero commençait à envisager de reculer l’âge de la retraite à 69 ans, à une époque où le chômage dépassait les 15% de la population active, juste avant de se faire battre par la droite.

Visiblement, quelque chose ne tourne pas rond dans la gauche mondiale. Ses renoncements continus à tout ce qui fait sa raison d’exister, finira par la détruire entièrement si un retournement idéologique total n’est pas mis en œuvre.

La raison principale de la faiblesse idéologique de la gauche, c’est le Mind Control, qui manipule et contraint, qui oblige la gauche à renoncer à toutes les mesures en faveur de ses électeurs en général, et des classes populaires et moyennes en particulier. Cette contrainte d’un Mind Control dirigé par des fascistes patronaux, militaires ou politiques, devra être levée d’une manière ou d’une autre, sous peine de voir la démocratie disparaître  définitivement. Avec le Mind Control c’est toute une politique libérale-fasciste qui est mise en œuvre sous la contrainte : suppression progressive des libertés, y compris la liberté de penser, hausse des impôts des pauvres et baisse de ceux des riches, ce qui a pour conséquence de mettre l’Etat en faillite, de ruiner l’économie et d’accroître les inégalités, politiques coloniales et persécutions ethniques, manipulation du terrorisme pour limiter les libertés, islamophobie acharnée, condensé des politiques précédentes, ce type de racisme mêlant la haine anti-pauvres à la haine contre le tiers monde, créant une division de la société telle que cette division finit par profiter à l’extrême droite tout en affaiblissant l’antifascisme, effectuant une diversion efficace, qui permet de faire passer les luttes sociales et démocratiques au second plan dans l’esprit de l’opinion. L’islamophobie n’est pas un point de détail, c’est la pierre angulaire de la dictature libérale-fasciste qui dirige le monde, et qui détériore gravement les conditions de vie des Occidentaux, plus encore que celles des habitants du tiers monde qui connaissent une croissance économique forte malgré les troubles provoqués par les services secrets des grandes puissances. Ce libéral-fascisme ne garantit de libertés que pour les grandes entreprises organisées en mafias. Pour les simples citoyens  il ne prévoit rien d’autre que l’esclavage éternel. Il n’y aura pas de revivification de la gauche sans levée de la loi du silence au sujet de la dictature du Mind Control.

Levée de la loi du silence

Tolérer que des satellites de surveillance contrôlent la vie politique, économique, sociale, culturelle de la planète c’est se condamner soi-même à une servitude éternelle. Pendant que diverses forces se battront pour le contrôle du système de surveillance, les citoyens du monde n’auront plus que le droit d’attendre le résultat du combat pour savoir à quelle sauce ils seront mangés. Compte tenu de la malveillance et de la jalousie pathologique des maîtres du système, quelle que soit leur tendance, il faudra que la population mondiale s’attende au pire si elle refuse de protester et de lever la loi du silence sur ce sujet.

Sans prendre en compte le MC, la politique actuelle ne peut pas s’expliquer : on baisse les impôts des riches depuis 30 ans, on recule l’âge de départ à la retraite, on met de simples citoyens sous surveillance, malgré les coûts qu’implique cette surveillance, on refuse de réduire le temps de travail, on baisse les charges de multinationales qui ne sont pourtant pas dans le besoin. Tout ceci s’explique par la corruption généralisée, bien sûr, les pourris n’ayant pas nécessairement envie d’attirer l’attention, mais surtout par la contrainte physique que peuvent faire subir les satellites du Mind Control (MC).  Le politicien qui déciderait de faire payer les riches, risquerait de se faire étouffer par le MC dans les avions ou les réunions publiques, ou il pourrait être victime de malaises divers. Il pourrait aussi devenir impuissant, obèse, phobique, bègue, irritable ou plus. Dans ces conditions, tous mènent des politiques équivalentes, que se soit dans les domaines économique, de politique extérieure, de défense, de sécurité. Il semble que le résultat des élections influe de moins en moins sur les politiques suivies, comme si, une superstructure internationale occulte déterminait les mesures à prendre. On en arrive toujours à la même chose, des baisses d’impôts pour les riches et les grandes entreprises, des blocages des salaires des fonctionnaires et du salaire minimum, des reculs de l’âge de la retraite. Toutes ces mesures sont prises contre l’avis de la majorité de la population et des électeurs quelque soit leur tendance.

Tout ceci nous montre que la surveillance par satellite, le Mind Control, a une influence largement supérieure à ce que pourrait croire un public non informé. C’est le MC qui détermine la vie politique d’un pays, et donc la vie de ses citoyens. Ignorer ce maître suprême qui nous opprime, c’est se condamner à le supporter éternellement. C’est pourquoi on se demande ce que font les partis et organisations de gauche pour combattre cette cyber-surveillance totalitaire.

Terrorisme

Le terrorisme est une des causes importantes de l’effondrement mondial de la gauche réelle. Depuis une trentaine d’années, des attentats terroristes « islamistes » ravagent la planète. Depuis le 11 septembre 2001, l’opinion mondiale se doute que ce terrorisme est issus des services secrets occidentaux infiltrés par les fascistes et au services de la finance et des patrons. Pendant longtemps, manipulés par les contrôleur mentaux du MC, politiciens et journalistes ne se sont douté de rien, sauf bien sûr ceux qui commanditaient les attentats ou étaient très proches des services de renseignement. Fous de rage, ils ont hurlé pendant des années à la terreur « islamiste » sans même envisager la possibilité d’une manipulation. A cette époque, les gens faisaient confiance aux autorités. La possibilité même que ce soit l’Etat lui même qui organise des attentats contre sa propre population paraissait inconcevable. Depuis l’arrivée de l’Internet, l’opinion a bien changé et sait maintenant que nous sommes, en général, dirigés par des corrompus au service de la finance internationale et/ou du fascisme. Les quelques dirigeants honnêtes sont le plus souvent éliminés de la scène politique ou réduits à l’impuissance par leurs collègues corrompus. Les internautes qui dénoncent cet état de fait sont pourchassés et persécutés par les services secrets et la surveillance satellite nationale et internationale.

L’émergence du terrorisme a sonné le début de la fin de la démocratie, en France, en Europe et ailleurs dans le monde. Face au péril qui menaçait nos démocraties, il fallait prendre des mesures radicales de surveillance et de suppression des libertés; d’où le plan Vigipirate, et les diverses lois liberticides prises dans le monde depuis les années 1980. Il faut noter que la France est un des premiers pays où le terrorisme « islamique » est apparu, en raison de la grande quantité d’anciens d’Algérie et de terroristes de l’OAS encore actifs au coeur de l’Etat, qui ont reproduit à partir de 1986 les méthodes qu’ils utilisaient en Algérie, soit la fomentation d’attentats meurtriers attribués à tort aux musulmans. Ce type de terreur permet de souder la population contre les Arabes et les musulmans, tout en permettant la mise sous contrôle fasciste de l’ensemble des citoyens sous prétexte de les protéger.

Avant le terrorisme « islamique », un terrorisme d’extrême gauche manipulé avait vu le jour au cour des années 1970, représenté par les Brigades Rouges en Italie, la RAF en RFA et Action directe en France. Ces groupes armés gauchistes ont rapidement perdu le soutien des partis communistes et gauchistes, qui se sont vu obligés de condamner la violence gauchiste en compagnie des droitistes et fascistes divers qui avaient en partie manipulé ce terrorisme. Cette condamnation qui allait jusqu’à participer à des manifestations anti-terroristes avec la droite a été une erreur funeste. De même en Espagne, les manifestations monstre insultant les activistes de l’ETA, n’ont fait que conforter les fascistes hypocrites qui dirigent le pays en sous-main et qui l’ont pratiquement ruiné. En réalité, ce terrorisme d’extrême gauche était manipulé par les services secrets occidentaux, et il n’y avait pas lieu d’exprimer une solidarité bruyante avec la droite et l’extrême droite qui espéraient profiter de ces actions révolutionnaires pour commencer à supprimer les libertés. De plus, une tendance politique quelle qu’elle soit doit faire preuve d’un minimum de solidarité avec ses extrémistes, mêmes manipulés. La lutte contre les mouvements armés gauchistes et régionaux n’ont néanmoins par réussi à détruire la démocratie.

Avec le terrorisme « islamique » par contre, nous sommes passés dans un nouveau type de violence : une violence entièrement manipulée par les fascistes et corrompus dirigeants, ne profitant qu’aux fascistes et corrompus dirigeants, et ayant pour but la suppression totale des libertés politiques, sociales et individuelles dans le monde. Ce terrorisme a été utilisé pour parvenir à l’avènement d’un totalitarisme intégral au service d’une caste de ploutocrates nationaux et internationaux qui utilisent déjà la masse de la population comme du bétail humain dépourvu de tout droit.

Là encore, face au complot fasciste la gauche n’a pas su concevoir la bonne stratégie. Au lieu de hurler avec les loups racistes et fascistes, elle aurait dû dès le début se douter de l’existence d’une manipulation, envisager sa possibilité, en faire part publiquement, et émettre l’hypothèse d’une conspiration de la droite et de l’extrême droite pour supprimer les libertés des citoyens. malheureusement, après la chute du Mur de Berlin, la gauche est devenue brutalement très faible et très stupide, un peu comme si toute son intelligence était issue du KGB. Elle s’est mis brusquement  à gober toutes les fadaises libérales-fascistes : il faut baisser les impôts et les charges, il faut flexibiliser le travail, il faut privatiser tout ce qui marche, il faut combattre les musulmans partout,  et notamment en France, en les harcelant par tous les moyens, en les accusant de tout et son contraire. Face à l’offensive fasciste, durant les années 1980, le PS a mêlé un laxisme coupable en matière de délinquance à un virage à droite sur le plan économique et une facilitation de l’accès aux médias pour l’extrême droite. Les résultats ont été la montée du FN, la hausse du chômage, et une défaite systématique à toutes les élections. Quand la gauche n’est plus de gauche, elle finit par décevoir sa clientèle et faire monter la droite et l’extrême droite.

Avant chaque élections, les médias sous contrôle des satellites fascistes nous présentaient quelques bons reportages sur le terrorisme « islamique », de manière à pousser l’opinion à droite, jusqu’au bouquet final, lorsque Jospin n’a obtenu que 16% aux élections de 2002.

La morale de l’histoire, c’est que le terrorisme « islamique » ne profite qu’à la droite et l’extrême droite et que l’intérêt de la gauche et de tous les opposants à la dictature libérale-fasciste est de mettre en doute la version officielle, et de dénoncer les vrais coupables, soit la superstructure capitalo-fasciste qui dirige le monde. Le terrorisme est au cœur de la dictature, c’est donc là qu’il faut porter le fer : il faut remettre en cause systématiquement les version officielles, et dénoncer les coupables probables de ces manipulations, soit les corrompus fascistes qui dirigent le monde, ceux qui sont regroupés dans divers groupes de pression et organisations militaires (Bildenberg, OTAN, CIA, services secrets divers, CFR, …).

La terrorisme actuel n’est qu’une nouvelle version de la provocation fasciste, quand on fomente des attentats dans le seul but de discréditer un ennemi factice, de supprimer les libertés et de prendre le pouvoir pour instaurer une dictature implacable au profit des élites fascistes.

On peut remarquer que tous les grands intellectuels occidentaux n’ont jamais émis l’idée que le terrorisme « islamique » pouvait n’être qu’une gigantesque manipulation, alors même que l’idée de provocation policière ou fasciste était un des leitmotivs de la littérature gauchiste des années 1960 et 1970. Heureusement depuis les attentats du WTC, les Américains ont compris qui étaient les vrais coupables : les politiciens fascistes et corrompus, leurs idéologues, leurs services secrets et les grandes entreprises et milliardaires qui les manipulent.

Derrière le terrorisme « islamique », se cachent l’islamophobie et le fascisme. Ce terrorisme est évidemment d’origine fasciste et tout le monde le sait très bien. Chacun de ces attentats « islamistes » est l’occasion de renforcer les campagnes islamophobes dans les médias, ce qui permet la montée en force des partis réactionnaires et fascistes. Ceux qui à gauche collaborent avec ces manœuvres fascistes finissent toujours par perdre les élections et livrer la France à la voyoucratie.

Marxisme

Depuis les années 1970, la gauche a décidé de jeter le marxisme à la poubelle. Le problème est que cette idéologie n’a été remplacée par rien de convainquant. Cet abandon du marxisme est le résultat de décennies d’action secrète des services spéciaux fascisants et des lobbies patronaux. Jeter le marxisme en raison du stalinisme et du Goulag, c’est un peu comme jeter le capitalisme à cause de Hitler, Pétain, Pinochet,  et Franco.  Le marxisme a été remplacé par le keynésianisme, jusqu’à ce que nos experts jugent que cette tendance à l’origine de la prospérité de l’après-guerre était elle aussi dépassée. Il ne restait plus qu’à revenir au libéralisme économique cause de la crise des années 1930 et de la deuxième guerre mondiale, et remettre à l’honneur Hayek, Shumpeter et Paréto  des gens qui ont en plus d’être des libéraux économiques sont politiquement proche du fascisme voire du nazisme. Dans les faits, derrière le libéralisme économique se cache le nazisme, qui, tapi dans l’ombre et grimé en brave réactionnaire inoffensif, attend l’occasion de revenir au pouvoir pour pouvoir finir le travail commencé dans les années 30. Les fascistes tentent volontairement de provoquer une crise économique majeure, qui désorganiserait la production et le système politique occidentaux, pour pouvoir ensuite se présenter comme un recours et prendre le pouvoir grâce à des élections truquées par le Mind Control.

Pour mettre en place cette crise, les fascistes encouragent l’endettement, les blocages de salaires, le recul de l’âge de la retraite,  les baisses d’impôts des riches. De cette manière ils espèrent provoquer un séisme économique de type grec et profiter de la démoralisation générale pour prendre le pouvoir. Le fasciste se nourrit de la misère humaine qu’il provoque comme une sorte de microbe nuisible. Il est évident que si des mesures anti-austérité ne sont pas prises, l’Occident sombrera dans une crise dont il n’est pas prêt de se relever. Les solutions passent par la levée de la loi du silence sur le contrôle satellite, sans quoi rien ne sera possible. Quand les libertés seront rétablies, il sera enfin possible de relever le smic, d’avancer l’âge de la retraite, de réduire le temps de travail, d’augmenter massivement les impôts des riches et les dépenses publiques, et ainsi de renouer enfin avec la croissance économique et le développement industriel.

En attendant que de nouvelles théories de gauche soient élaborées, le retour à Marx, Lénine, Trotski et autres marxistes s’impose. La nature ayant horreur du vide, l’absence des marxistes se traduit par un retour en force du nazisme partout dans le monde. Les Nouveaux philosophes, idiots du village manipulés, se sont crus très malins en jetant Marx aux ordures ; tout ce qu’ils ont réussi à faire, c’est de réhabiliter Hitler. Chaque camp a besoin d’une référence ultime : l’ancienne référence de la gauche c’était Marx, et, tant qu’il a dominé le débat intellectuel tout s’est très bien passé en Occident : hausses de salaires, démocratie, libération des peuples, progrès social, liberté pour tous à l’Ouest. Depuis que Marx est mort, la réaction la plus bestiale est sortie de sa tanière ; ses sbires se déchaînent ; ils espionnent, ils brûlent, ils violent, ils assassinent, ils massacrent, sans que personne ne puisse les arrêter. Depuis qu’ils sont devenus les maîtres du MC et des armes satellitaires qui vont avec, ils organisent une sorte de coup d’Etat mondial, et plus personne n’est plus maître de son destin. Ils se permettent de persécuter les honnêtes citoyens, salariés, internautes, commerçants, artisans, retraités, étudiants, alors que les voleurs tiennent le haut du pavé. Les fascistes encouragent la corruption pour ensuite jouer les messieurs propres alors qu’ils sont les plus pourris de tous. Il faut lever la loi de silence avant qu’ils ne prennent complètement le pouvoir et qu’ils persécutent cruellement ceux qui n’ont pas eu le courage de protester.

Cyber-otages

Les fascistes utilisent des cyber-otages pour intimider la classe politique et la population. Tous les personnages importants savent que des cyber-otages innocents sont harcelés et torturés par les cyber-fascistes aux ordres des lobbies nazis et patronaux. Ces prises d’otages ont pour conséquence de terroriser progressivement les élites qui finissent par adopter un comportement moutonnier de peur d’être eux-mêmes pris en otage. Il n’ y aura pas de renaissance de la gauche sans libération de tous ces cyber-otages. Ces prises d’otages impunies ridiculisent la notion même de droits de l’Homme et gèlent le débat démocratique. Plus personne n’ose parler sans y être invité par un parti ou une organisation, et le Net sert plus d’auxiliaire du fascisme et de la répression que d’instrument de libre expression des citoyens. Beaucoup de cyber-otages ont au départ été repérés sur le Web par la mafia fasciste internationale. Certains subissent le neurophone et la torture depuis plus de 10 ans. L’incroyable arrogance du fascisme international provient de la cyber-surveillance, des cyber prises d’otages, de la cyber-torture, du cyber-espionnage. Ces cyber-délinquants fascistes se croient tout permis. Ils assassinent, ils violent, ils frappent, protégés par leurs satellite de protection, sans que la gauche n’ose même protester contre ces méthodes.

Il faut que la gauche internationale, les défenseurs des droits de l’Homme, les pays du tiers monde, décident de recruter des internautes qui auront pour mission d’informer le public sur la réalité du complot fascistes et de la surveillance, espionnage et répression par satellite. Faute de quoi, les fascistes finiront par prendre le pouvoir et supprimer les derniers restes de liberté.

On constate que si la droite s’oppose au gouvernement socialiste de manière musclée, notamment sur la question du mariage pour tous, la gauche, elle, pendant 10 ans, est restée pratiquement atone, hormis quelques petits défilés sur la question des retraites. La gauche ne sait plus enflammer les facs, les lycées, les usines. Elle arrive à peine à organiser quelques petites manifestations vieillottes, qui ne font plus peur à personne, et qui donnent la mesure de la faiblesse tragique des forces progressistes dans le monde. La gauche ne se réveillera pas tant qu’elle n’aura pas réussi à remobiliser la jeunesse, tant qu’elle n’aura pas compris qu’elle doit s’appuyer sur l’extrême gauche comme la droite s’appuie sur l’extrême droite, tant qu’elle n’aura pas réhabilité le marxisme le plus extrémiste, tant qu’elle n’aura pas fait libérer par tous les moyens les cyber-otages de gauche qui doivent subir la haine pathologique des déchets fascistes.

Laisser des milliers de cyber-otages, en France, subir les persécutions policières et fascistes, c’est une peu comme se suicider politiquement, les résultats de ce suicide commençant à se faire sentir, la gauche n’ayant plus d’idéologie définie, plus de projet, plus de moralité. Elle se contente de collaborer avec la droite et les patrons, d’être complice des bourreaux fascistes, de reprendre à demi-mots la propagande islamophobe des racistes, de ridiculiser le progressisme par ses compromissions avec le racisme et les politique antisociales.

Ces compromissions finissent toujours par se traduire par des effondrements électoraux, les réactionnaires, les banquiers et les patrons n’ayant plus besoin d’hommes de paille, et finissant par régner directement sans partage. Le temps viendra où les fascistes finiront par menacer et agresser directement les politiciens de gauche, même modérés, profitant du fait que ceux-ci n’osent pas protester contre la cyber-répression. En intimidant, en harcelant, les fascistes prendront le pouvoir et ceux qui n’ont pas osé protester quand il en était encore temps devront alors se taire et subir le joug totalitaire en espérant juste être moins visés que la moyenne.

Il faut protester au moment opportun, quand c’est encore possible. Après l’heure c’est plus l’heure, c’est trop tard, ce n’est plus possible. Traduire les délinquants fascistes devant des tribunaux où ils devront expliquer leurs crimes et délits, c’est le minimum pour éviter de se faire écraser définitivement par ces voyous médiocres et fortunés.  Ces réactionnaires sont des sales petits riches haineux, ivres de leur impunité qui leur accorde un pouvoir de vie et de mort sur d’honnêtes citoyens qui valent beaucoup mieux qu’eux.

En laissant les déchets fascistes persécuter quelques dizaines de milliers de citoyens, c’est toute la société qu’on met en danger. On laisse de cette façon la fachocratie intimider la société, la mettre peu à peu sous un joug implacable, la réduire à un silence terrifié, chacun voulant éviter de se faire repérer par les voyous de la réaction. Que d’honnêtes citoyens tremblent devant la spéculation, l’exploitation et la fraude fiscale organisées, c’est le résultat de décennies de complicité avec les forces du mal : fascisme, finance internationale, Mind Control. Bientôt, ces fascistes finiront par faire taire tous les internautes de gauche, et réserveront le Net aux nazis de diverses tendances. D’ores et déjà, d’après le quotidien Le Monde, 80% des contributions aux débats sont le fait de fascistes organisés. Qu’ils gagnent ou qu’ils perdent les élections, ce sont toujours eux qui sont aux manettes, à insulter, torturer, persécuter, comme s’il attendaient ce moment depuis des générations.

 

 Fascisme

Les fascistes sont de plus en plus envahissants dans le débat public, en France et partout ailleurs dans le monde. Le Fasciste, c’est un peu le délinquant qui veut se faire passer pour le Français moyen. Si l’apparence physique est proche, la mentalité de ces nazis est elle opposée à celle du citoyen lambda. Ivres de jalousie, ces fascistes ne rêvent que de meurtre, de torture, de viol et de vol. Quand ils dénoncent les délinquants, c’est par envie, et non parce qu’ils sont contre le principe de la délinquance. Ils veulent pouvoir commettre des crimes et délits en bandes organisées, sans pour autant risquer la prison. Depuis l’arrivée de la surveillance par satellite, on comprend que ces nazis sont en fait le cœur et l’origine de la délinquance. Depuis des années, cachés derrière leurs écrans de surveillance, ils nuisent sans relâche aux honnêtes citoyens, profitant du fait que la loi du silence leur assure une impunité presque totale. Certains fascistes importants viennent violer de pauvres femmes qui avaient été mises sous surveillance en raison de délits commis par des membres de leur famille. Ils arrivent chez la dame, accompagnés de deux policiers, et violent sauvagement la pauvre femme, pendant que le corrompu lui fait comprendre qu’elle n’a vraiment pas intérêt à porter plainte. Si la femme porte néanmoins plainte, elle se fait violer une nouvelle fois dans le commissariat, et cette fois, elle comprend qu’il ne faut pas faire la maligne.

Les pourris fascistes de la politique pensent, depuis l’arrivée du MC, qu’ils ont enfin tous les droits. Ces gens n’ont fait de la politique que pour disposer d’un pouvoir le plus important possible sur leurs concitoyens. Ce sont des gens dont la motivation principale consiste à nuire à leur prochain tout en remplissant leurs comptes en Suisse. Ces gens sont le mêmes qui dénoncent la petite délinquance, alors qu’eux mêmes sont de grands délinquants, des gens qui protestent contre les « tournantes » (qu’ils manipulaient eux-mêmes) alors qu’eux mêmes organisent des tournantes de vieux.  Ce sont ceux qui dénoncent le trafic de drogue, alors même que leurs partis profitent de ce trafic, la drogue venant d’Afghanistan ou du Maroc, sous contrôle de policiers ou militaires aux ordres des politiciens fascistes et stipendiés, dans le cadre de financements politiques occultes.

Bref, on l’a compris, la République est pourrie jusqu’à l’os, pourrie par ceux-là même qui dénoncent la corruption, les fascistes. Les fascistes ont intérêt à pourrir l’Etat, pour pouvoir profiter financièrement de cette corruption, des dividendes du trafic de drogue notamment, et pour bénéficier politiquement de cette même corruption tout en dénonçant ce qu’ils ont eux-mêmes mis en place et en jouant insolemment les innocents.

Ces fascistes sont des mafieux, infiltrés dans tous les partis, toutes les entreprises, tous les services de surveillance, qu’ils dirigent le plus souvent, toutes les banques, tous les réseaux de fraude fiscale, toutes les équipes de trafic de drogue. Leur tactique est de dénoncer les voleurs pour pouvoir voler tranquillement. Le Fasciste c’est celui qui crie au voleur, et profite de la confusion générale pour pouvoir s’éclipser discrètement. C’est le pourri qui hurle à la corruption, c’est le violeur qui crie au viol, c’est l’assassin qui joue les victimes, c’est l’incendiaire qui dénonce le pédophile qu’il est souvent lui même d’ailleurs.

Ces fascistes disposent de réseaux internationaux très puissants : les nazis américains et allemands, les Russes, les fascistes espagnols et italiens, l’argent arabe, les réseaux du Mossad, la mafia russe et italienne, les contributions plus ou moins obligatoires des dirigeants africains, les multinationales financières et pétrolières. Ces réseaux fascistes sont surpuissants : le néo-libéralisme qui opprime les peuples c’est eux, le chômage c’est eux, la délinquance c’est aux aussi, le Mind Control qui pourrit la planète c’est encore eux. Les fascistes sont à l’origine de la plupart des maux de la planète : derrière le semi-clochard de base, se cachent les banquiers, les politiciens corrompus, les gangsters, une partie de la police, de l’armée, des services secrets.

Le phénomène fasciste tel qu’il est apparu depuis les années 1980 ne peut se comprendre que par le Mind Control. C’est cette technologie d’espionnage, de répression et de manipulation, qui leur a permis de détruire tout ce qui faisait le bonheur de la société des années 1970 : libertés, prospérité, plein emploi, avenir radieux, lendemains qui chantent. Les serpents fascistes ont détruit tout ce qui faisait la joie de vivre des pays développés : ils ont créé un chômage permanent en refusant la RTT, de manière à terroriser les salariés et faire taire leur esprit revendicatif, ils ont développé la délinquance, en donnant des instructions pour que les enquêtes n’arrivent jamais à leur terme, ils ont manipulé des tueurs en série par satellite pour effrayer la population, ils ont assassiné les musiciens(Morrison, Lennon…) et philosophes(Gilles Deleuze) par le MC, ne laissant subsister que ceux qui pouvaient être compromis dans la répression par satellite, ils ont bloqué les salaires, car en période de crise « on n’a pas les moyens de faire plus », ils ont baissé les impôts des riches tout en augmentant ceux des pauvres. Aujourd’hui ils retardent l’âge de départ à la retraite, de manière à ce que les jeunes restent au chômage jusqu’à 35 ans pendant que la majorité des plus de 60 ans chôme elle aussi, les entreprises ne voulant pas de vieux dans leurs murs.

Dissocier néo-libéralisme et fascisme est une grave erreur : ce sont les deux faces d’un même complot réactionnaire. Pendant qu’une partie des fascistes bloque les salaires et fait travailler les vieux qui trouvent un emploi, l’autre partie hurle au libéralisme et tente de voler les voix d’une gauche qui est le plus souvent complice de la finance internationale. Quand on fait travailler les vieux, les jeunes se retrouvent au chômage et les fascistes n’ont plus qu’à dire que s’il y a du chômage, c’est parce qu’il y a trop d’étrangers. Tout est calculé dans diverses officines fascistes internationales, fondations et clubs divers, qui sont maintenant connus des internautes et qui continuent néanmoins de tisser leur toile sur la planète au détriment de milliards de citoyens du monde.

Islamophobie

Comme on l’a vu dans d’autres articles, l’islamophobie est une des causes principales de la faiblesse de la gauche mondiale. L’islamophobie est une synthèse de différents types de racismes et de colonialismes. L’islamophobie permet à la fois, d’aller agresser le Mali, d’organiser des massacres en Algérie, de fomenter des guerres civiles en Syrie ou en Irak et de supprimer les libertés en Occident, sous prétexte de lutte contre le terrorisme. L’islamophobie permet de diviser la société, de faire diversion, d’opérer une unité artificielle des non-musulmans contre les musulmans, le groupe des non-musulmans devant être bien entendu dirigé par les fascistes qui jouent alors aux défenseurs de la société. Surveiller les musulmans, c’est en réalité surveiller la société toute entière, les fascistes pouvant toujours prétendre lorsqu’il surveillent le citoyen lambda que c’est dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, même si l’individu en question n’a rien à voir avec le sujet et que les fascistes sont eux pleinement impliqués dans ce type de subversion. La lutte anti-terroriste, en réalité campagne de persécution islamophobe, a pour avantage de généraliser le secret-défense à toute la société : des employés de Carrefour, ou des Galeries Lafayette, peuvent être surveillés et harcelés à leur domicile, par les satellites de surveillance patronaux, même s’ils ne sont pas musulmans, même s’ils sont eux-mêmes fascistes, sans que personne n’en soit informé, en vertu du secret-défense mis en place pour lutter contre le terrorisme prétendu islamique. On comprend donc que l’islamophobie et la lutte anti-terroriste qui l’accompagne ont des répercussions gravissimes sur les citoyens ordinaires, qui se retrouvent persécutés impunément, parfois à mort, par des fascistes véreux, envieux  et malfaisants, sans que personne ou presque n’en sache rien.

Quand l’islam n’existait pas en Europe et aux Etats-Unis, d’autres groupes étaient visés, les communistes, les juifs, les noirs, les Roms et autres. Pour pouvoir se développer, le fascisme a besoin d’un bouc émissaire utilisé pour faire diversion et mobiliser les masses derrière les réactionnaires, qui d’ordinaire sont haïs en tant que représentants des classes riches, les peuples sachant que ces richesses ont été accumulées par des siècles d’exploitation et d’oppression des classes laborieuses. Quand les masses se laissent abuser par le chauvinisme, elles n’obtiennent jamais rien, cette tendance étant une ruse utilisée par les classes dirigeantes pour enrôler le peuple derrière ses exploiteurs. Tous ces patriotes sont partisans de l’unité nationale, sauf quand il s’agit de partager les richesses, qu’ils accaparent généralement totalement, ne laissant que les miettes au patriotes prolétaires.

Cette analyse marxiste n’a jamais été aussi vraie qu’aujourd’hui : les réactionnaires racistes et fascistes qui dirigent le monde n’ont jamais assez d’argent pour rémunérer correctement les salariés, retraités ou chômeurs. Chaque mesure qu’ils prennent consiste à exonérer les riches et les patrons de la plupart des impôts et des charges, pour ensuite faire payer la facture aux classes pauvres et moyennes, sous forme de hausse de la TVA ou de baisse des prestations sociales. Alors que les dépenses militaires et de sécurité ont augmenté de manière vertigineuse aux Etats-Unis depuis le 11/09/2001, le salaire minimum est lui pratiquement bloqué depuis 30 ans. En Europe, et en l’occurrence en France, on semble suivre le même chemin : le salaire minimum est bloqué depuis plus de 5 ans, pendant que les dépenses de sécurité de cessent d’augmenter. Les fascistes surveillent de simples chauffeurs de bus, qu’ils étouffent ou font grossir, de simples plombiers à qui ils cassent les dents, de simples informaticiens qu’ils empêchent de travailler, de simples mères de famille qu’ils finissent par mettre sur le trottoir, et par contre, ils n’ont pas d’argent pour augmenter le RSA. On peut constater que ces braves patriotes ne sont qu’un ramassis de délinquants nuisibles qu’il faut mettre hors d’état de nuire pendant qu’il en est encore temps. Pour combattre cette force mafieuse organisée et infiltrée dans toutes les administrations, une union très large s’impose, nationale et internationale, union qui ne peut être limitée par les questions ethniques ou religieuses. Toute dérive islamophobe ou xénophobe profite aux oppresseurs fascistes, qui sont en passe de prendre le pouvoir grâce à l’utilisation du Mind Control et risquent d’imposer leur esprit vulgaire, haineux et criminel à l’ensemble de la planète, pendant des décennies, si le combat contre ces monstres est perdu.

 

Politiques économiques

Les politiques économiques des gauches dans le monde, se traduisent en général par des échecs, depuis les années 1980, hormis quelques exceptions, telle la politique menée en France entre 1998 et 2002 ou celle suivie aux Etats-Unis entre 1992 et 2000. En réalité, les politiques économiques de gauche ne sont, la plupart du temps plus de gauche : elle sont néo-libérales atténuées, et donc inefficaces  comme toutes les politiques économiques de droite.

Pour sortir de la crise, quelques mesures simples et incontournables doivent être prises : la hausse des impôts des riches et des multinationales, la hausse des salaires, l’avancement de l’âge de départ à la retraite, la RTT et le passage aux 32 heures, le rachat par l’Etat des industries stratégiques, l’implication des collectivités publiques (communes, régions) dans la vie économique par investissements directs dans les entreprises, la retour de la planification indicative, la baisse de la valeur de l’euro, le contrôle plus poussé du libre-échange et l’établissement de droits de douane au niveau européen, d’au moins 10%.  C’est à peu près le contraire de ce qui est fait par les gouvernements de droite ou de gauche. C’est aussi le contraire des programmes d’extrême droite sauf sur la question du protectionnisme.

Actuellement, la politique suivie se concrétise par le blocage du smic et des salaires des fonctionnaires. C’est une grave erreur, dans la mesure où ce sont les hausses de salaires qui font la croissance et non le contraire, et, dans un contexte de blocage des salaires, il est probable qu’il n’y aura ni retour à la croissance, ni équilibrage du solde budgétaire avant très longtemps. Certains considèrent que une hausse des salaires profiteraient surtout aux importations. Il ne faut pas oublier qu’une grande partie de l’économie est interne et qu’il ne faut pas détruire l’économie intérieure pour limiter éventuellement les importations, sachant que la paupérisation généralisée favorise les importations de produits bon marché. Il faut au contraire accroitre les exportations, ce qui peut être rendu possible par la baisse de l’euro et la mise en place d’une politique étrangère axée sur la coopération et non sur le néo-colonialisme. Toute politique néocoloniale ou islamophobe a des conséquences néfastes directes sur les exportations, il n’y a pas besoin d’avoir fait l’ENA pour le comprendre. Les pays néocoloniaux comme la France, les Etats-Unis, le Royaume-Unis ont tous des soldes commerciaux déficitaires alors que des pays comme l’Allemagne ou l’Italie sont eux excédentaires. Il ne faut donc pas que des déficits commerciaux dus à une diplomatie non adaptée au monde actuel soient de plus payés par les salariés qui n’y sont pour rien et dont la limitation des revenus est la cause principale de la crise de la demande. Récemment, en mars 2013, les Allemands ont vendu une centaine de chars au Qatar. Cette vente aurait pu être réalisée par la France, sans la campagne qatarophobe qui est menée depuis quelques temps. Une bonne diplomatie exportatrice se constitue à base de politesse, de ruse, de calcul géostratégique, et non sur la nostalgie d’un empire colonial que tout le tiers monde a subi et dont il ne veut plus entendre parler. Cette incapacité à exporter suffisamment est la base de la rhétorique austéritaire, qui prétend que, puisque nous sommes en déficit, en raison de l’incompétence de nos exportateurs, il faudrait que les salariés se serrent la ceinture à perpétuité.

En plus de la diplomatie, il paraît raisonnable d’exiger du médef des résultats en matière d’exportations et de solde commercial, puisque qu’il semble qu’à présent ce sont les patrons qui dirigent la France. Si ce sont eux qui commandent, alors c’est à eux d’assumer les bilans, et notamment le bilan des exportations, et à eux de prendre les mesures qui pourraient améliorer les résultats à l’export.

La théorie qui consiste à considérer que tout le déficit commercial est dû à un trop haut niveau des salaires est une escroquerie patronale qui vise à augmenter encore les profits des grandes entreprises. Bloquer les salaires, c’est bloquer la croissance, c’est perdre son avance face aux émergents, c’est maintenir une frange importante de la population dans la gêne ou la misère, c’est créer du chômage dans la mesure où des milliers d’entreprise font faillite faute de clients, eux-mêmes au chômage,  en passe de l’être, ou dotés de revenus bloqués ou en diminution. Si c’étaient les salaires qui déterminaient le niveau des exportations, alors les plus grands exportateurs de la planète seraient la Roumanie, la Biélorussie ou le Libéria ! Ce qui détermine les exportations, ce sont la qualité des produits et leur adaptation aux divers marchés, la qualité des réseaux de vente et des structures administratives de soutient, et la qualité de la diplomatie qui doit être axée sur la vente et non sur des objectifs ridicules, racistes, colonialistes, hégémonistes ou enfantins.

Il faut de plus une politique européenne des revenus basée notamment sur la hausse du salaire minimum dans toute l’Europe. Cette hausse devra être d’au moins 50% en Europe de l’Est, et de 10% à l’Ouest. Cette hausse est le moyen le plus sûr de relancer l’économie européenne. Une hausse de salaire minimum pourrait aussi se négocier au niveau mondial, ce qui permettrait une relance mondiale, planifiée au plan international. Il semble que malheureusement, l’idéologie libérale-fasciste s’oppose à ce type de mesures. En effet, s’il n’y avait plus de crise économique, il n’y aurait plus non plus de montée du fascisme, aucun peuple n’ayant envie de perdre ses libertés et de plonger dans la guerre, prolongement inévitable de toute politique d’extrême droite.

Certains voudraient éviter le fascisme, sans pour autant augmenter les salaires. Il espèrent rester dans le cadre du libéral-fascisme actuel, sans aller plus loin dans le projet nazi. Ils se trompent lourdement : les politiques qui sont menées en Occident depuis une trentaine d’années mènent directement au nazisme et à la guerre mondiale. Ceux qui ont voulu lésiner sur les salaires, les allocations des pauvres et les libertés ne devront pas s’étonner d’avoir créé eux-mêmes le monstre qui va les détruire. En cas d’avènement d’un régime fasciste, personne ne sait qui sera épargné. Ceux qui pensent qu’ils ne risquent rien parce qu’eux mêmes fascistes risquent d’être douloureusement surpris. Le fascisme c’est l’arbitraire. Personne ne sera à l’abri de la démence et de la jalousie de ces gens.

La question des retraites est une illustration parfaite du plan fasciste : il s’agit de faire travailler les vieux en maintenant les autres au chômage, de manière à provoquer un mécontentement important qui profitera in fine aux nazis. Les fascistes pourront dire que s’il y a du chômage c’est parce qu’il y trop d’étrangers, et qu’il faut donc voter pour eux de manière à expulser les immigrés pour laisser le travail au Français de souche. Si on mettait les vieux à la retraite et qu’on permettait aux autres de travailler, cette argumentation ne tiendrait plus. C’est pour cela que les fascistes de tous les pays et de tous les partis insistent tant pour retarder l’âge de départ à la retraite.

Dire que la retraite ça coûte cher, en oubliant de rappeler que le chômage ça coûte cher aussi, c’est se moquer du monde, c’est tromper volontairement l’opinion. Si on met un million de vieux supplémentaires à la retraite, cela fera 1 million de chômeurs et de rmiste au travail en plus, qu’il ne sera plus nécessaire de rémunérer. Certains chômeurs ne sont pas rémunérés, mais, globalement, les comptes s’équilibreront, l’argent utilisé à la rémunération du chômage étant transféré en direction des nouveaux retraités. Si la gauche ne fait pas cela, elle mécontentera ses électeurs tout en bloquant l’économie. Et tout ça profitera à la droite et l’extrême droite, sauf bien sûr si le FDG réussi à s’imposer sur la scène politique.

Hausse du salaire minimum dans toute l’Europe

La question de la hausse du salaire minimum dans toute l’Europe n’est évoquée par aucun parti ni aucun syndicat. Alors que des politiques monétaires et financières sont décidées au niveau européen, rien n’est fait sur le plan social, alors que la politique sociale est une partie importante de la politique économique. Tout se passe comme si les eurocrates avaient pour objectif secret de livrer le pouvoir aux fascistes. Depuis longtemps, les économistes savent qu’une hausse des salaires est la meilleure solution pour relancer la croissance. Et pourtant cette mesure est systématiquement ignorée par tous les spécialistes médiatisés, fussent-ils de gauche. Les divers partis gauchistes français, FDG, LO, NPA, n’évoquent jamais publiquement la question de la hausse du smic dans toute l’Europe. Cette hausse est possible même sans harmonisation sociale totale. Il suffit de décréter un certain taux de hausse du salaire minimum par groupe de pays. Ce sujet de la hausse du salaire minimum en Europe est aussi tabou que la hausse du salaire minimum américain. Les sociétés européennes semblent être passées sous le contrôle fasciste, financier et patronal depuis plusieurs décennies. Il faut rappeler que si la crise s’aggrave, les entreprises y compris importantes feront faillite en masse, que les bourses finiront par s’effondrer ruinant au passage les banquiers, les actionnaires, les millionnaires et les milliardaires. Les seuls bénéficiaires d’une crise économique mondiale  fatale seraient les fascistes, qui généralement profitent de ce genre d’occasion pour prendre le pouvoir et régler leurs comptes. Ceux qui refusent une relance par la hausse du salaire minimum sont des fascistes ; ce sont les mêmes que ceux qui imposent un recul de l’âge de départ à la retraite pour faire monter le chômage. Ces fascistes prospèrent sur le malheur des gens : à mesure qu’ils se développent, les peuples dépérissent. Ils provoquent toujours des guerres mondiales dès qu’ils le peuvent, et profitent de ces guerres pour anéantir leurs ennemis intérieurs, ceux qui refusent leur domination.

Il n’y a aura pas de hausse de salaire minimum en Europe, tant que la question du Mind Control n’aura pas été réglée. On ne peut pas livrer la population aux chiens de garde fascistes et ensuite s’étonner ensuite que ceux-ci prennent le pouvoir en imposant un blocage total des droits des salariés et une limitation drastique des libertés. Il faut braver la censure fasciste et dénoncer les atteintes aux droits de l’Homme en France, et notamment les agressions de citoyens par les cyber-chiens fascistes, surveillant par satellite les internautes, salariés et dissidents divers. Laisser les fascistes persécuter des citoyens honnêtes, alors qu’eux-mêmes sont pour la plupart des voleurs, des violeurs, des fraudeurs et des assassins, c’est un peu comme leur laisser les clés du pouvoir, c’est condamner la France à la dictature et la guerre mondiale, car c’est toujours ainsi que se terminent les tristes aventures fascistes.

Que la gauche accepte de laisser les fascistes espionner et agresser les gens à domicile par satellite est une erreur fatale et incompréhensible, même compte tenu du fait que tous les partis sont infiltrés par les forces totalitaires. Si la gauche ne fait pas respecter les droits des citoyens, elle sera elle même détruite et prise en otage par les nazillons qui progressent partout dans le monde. Les divers groupes gauchistes devraient faire de la lutte anti-mind-control le centre de leur action. Ignorer le Mind Control aujourd’hui , c’est comme ignorer les camps de concentration à l’époque nazie ou l’esclavage en Amérique au 19 ème siècle. En dehors même du fait que, moralement, tolérer la persécution des innocents est une position ignoble et criminelle, stratégiquement, laisser les fascistes détruire peu à peu les fondements de notre ex-démocratie, c’est une erreur mortelle qui aura des conséquences tragiques pour l’ensemble de la planète. Est-ce donc si difficile à comprendre qu’il faut respecter les lois, les droits de l’Homme, éviter les persécutions et répartir équitablement les richesses ? Ceux qui ne veulent pas partager perdront tout, au cours de crises boursières, de coups d’Etat, ou de spoliations fascistes, et ceux qui veulent limiter les libertés à une élite perdront eux-mêmes tous leurs droits.  C’est maintenant qu’il faut dénoncer le complot fasciste, pendant qu’il est encore temps. Demain il sera trop tard et les rieurs et collabos d’aujourd’hui se retrouveront dans les futurs Dachaus, Goulags, Auschwitzs, ou encore pire. Les camps du futur, administrés par le Mind Control, feront paraître tout ce qu’on a connu jusqu’à présent comme des centres de vacance. Les fascistes peuvent maintenant torturer sans tuer. Le supplice peut se prolonger pendant des dizaines d’années, sans que l’organisme ne soit atteint. Si on ne neutralise pas le complot fasciste aujourd’hui, il faudra se résigner  à un avenir infernal.

Sans rétablissement des libertés, il n’y aura pas de hausses de salaires, pas de sortie de crise, pas de diminution du chômage, pas d’amélioration des conditions de vie. Ceux qui ont préféré la collaboration à la protestation, pour préserver leurs avantages, perdront à la fois leurs privilèges et leurs libertés. Ils seront condamnés à subir des hordes de fascistes stupides à leur domicile, qui viendront détruire leurs familles en se remplissant les poches. Les fascistes sont déjà dans nos foyers, incrustés par les satellites du Mind Control, à nuire jour et nuit aux cibles choisies de manière plus ou moins arbitraires, sans que personne ne puisse les arrêter. Ne pas libérer les cyber-otages, c’est condamner toute la société, pour une longue période. Seuls des fous profiteront de la dictature qui s’annonce ; pour les autres, elle constituera un enfer.

Avancer l’âge de la retraite et réduire le nombre d’annuités de cotisation

Alors que l’ensemble de la classe politique fascisante veut allonger la durée de cotisation et retarder l’âge de départ à la retraite, tous les citoyens raisonnables savent qu’il faut au contraire laisser partir les vieux à la retraite pour faire travailler les autres, et ce au moins jusqu’à ce que la question du chômage soit réglée. Maintenir les plus de 60 ans sur le marché du travail alors même que les entreprises n’en veulent pas, c’est un peu se moquer du monde. C’est créer un chômage artificiel qui ne profite qu’aux escrocs fascistes. Le prétendu déficit des caisses de retraites ne provient que des baisses de cotisations patronales. Il suffit d’annuler ces exonérations, et d’augmenter les taux de cotisations patronales et salariées pour résoudre le problème du financement. De plus divers impôts sur les riches et la spéculation seraient largement suffisants pour sécuriser définitivement le financement des retraites.

Les fascistes ne veulent pas régler les problèmes de retraite et de chômage parce qu’ils savent historiquement, qu’ils ne peuvent prendre le pouvoir qu’en période de crise. Sans crise, plus de fascisme possible. Tous ceux qui refusent de laisser les vieux partir à la retraite et de diminuer les durées de cotisation sont des complices objectifs du fascisme. Certains sont des alliés conscients du complot fasciste.  Il faut bien comprendre que mettre plus de personnes à la retraite, c’est libérer des emplois pour les chômeurs. Le coût des retraités supplémentaires serait payé en grande partie par l’économie d’indemnisation du chômage, du RSA et des diverses aides sociales. Tout le monde peu comprendre ça ; tous les décideurs ont compris ce raisonnement. S’ils insistent pour retarder l’âge de la retraite, c’est parce qu’ils travaillent pour les fascistes.

De même, ceux qui insistent pour surévaluer l’euro comme ils avaient surévalué le franc, font partie de la conspiration fasciste. Ils veulent tuer l’économie pour faciliter l’accession des nazis au pouvoir. Avec un euro fort, les entreprises ne peuvent plus exporter, elle doivent délocaliser pour bénéficier de coûts moindres, et alors, les cancres fascistes accourent pour exiger la mise en place d’un système protectionniste qui nuira aux plus pauvres des Français, qui ne trouveront toujours pas d’emploi mais qui paieront leurs achats beaucoup plus cher. Si la mise en place d’un protectionnisme limité à la France créait 1 million d’emplois, elle laisserait encore au moins 4 millions de chômeurs qui ne pourraient plus vivre de leurs allocations en raison de la hausse des prix. De plus, ce protectionnisme gênerait les exportations. Il profiterait par contre à certains patrons locaux qui  pourraient fortement augmenter leurs prix au détriment des consommateurs. La bonne solution consiste à mettre en place des droits de douane aux frontières de l’Europe, de 10 à 20%, ce qui permettrait d’aider les entreprises locales sans perdre pour autant les bénéfices apportés par les importations.

L’âge de la retraite pourrait lui être avancé à 55 ans pour les professions physiques et les durées de cotisation être limitées à 30 annuités pour tous, comme ça se fait dans certains pays,  compte tenu du fait que les gens entrent de plus en plus tard dans la vie active, qu’ils restent souvent des années au chômage, et que le marché du travail est saturé et n’a pas besoin de main d’oeuvre excédentaire. Il n’est pas besoin de faire travailler les vieux, si les jeunes ne peuvent pas obtenir un emploi fixe avant l’âge de 35 ans. Plus de dépenses de retraites et moins de coûts d’indemnisation du chômage, ça parait être la solution la plus rationnelle à la question du chômage et des retraites. Sans la pression des clochards fascistes et de leurs complices, c’est la solution qui aurait été adoptée depuis longtemps.

Faire payer les riches

La vraie rigueur consiste à faire payer les riches et grandes entreprises et non les pauvres et petites entreprises. Depuis une vingtaine d’années, ce sont près de 200 milliards de baisses d’impôts et de charges qui ont été imposées à l’économie. Baisses des charges sociales pour les entreprises, baisses de l’impôt sur les société, baisse de l’impôt sur le revenu, exonération de certains produits financiers. L’annulation de ces baisses de taux et de ces exonérations permettra de passer d’un budget en déficit à un budget en excédent, ce qui permettra la redistribution, les grands projets, le remboursement de la dette. La gauche ne pourra réussir sans faire payer les riches et les multinationales, tout le monde peut le comprendre. Les hausses d’impôts permettront d’empêcher les milliardaires de continuer à s’enrichir et de constituer un Etat dans l’Etat. La bourgeoisie s’est tellement enrichie au cours des décennies précédentes que sa puissance est devenue incoercible. Les vieux riches nuisibles qui dirigent le monde ont les moyens de se payer tout l’appareil d’Etat : les politiciens, les préfets, les administrations diverses, les services de sécurité. Limiter l’enrichissement des riches constitue une politique de souveraineté minimale. Si la concentration de richesse aux mains de le bourgeoisie continue, les marges de manœuvres des dirigeants politiques deviendront nulles. Ils deviendront alors les employés des milliardaires nationaux et internationaux, et seront condamnés à détruire progressivement l’appareil d’Etat pour laisser tout le pouvoir aux bourgeois.

D’ores et déjà, la bourgeoisie ne respecte plus les lois : elle se croit autorisée à espionner les gens à domicile, à persécuter ses employés ou de simples internautes, à surveiller les élus du peuple, à imposer des politiques économiques suicidaires. Bourgeoisie et fascisme sont les deux faces de la même médaille, l’objectif poursuivi est le même, la suppression des libertés pour les citoyens et l’instauration d’une ploutocratie totalitaire.

Les taux maximum d’impôts sur le revenu doivent atteindre au moins 90% pour ceux qui gagnent plus de 200.000 euros par an, l’impôt sur les société doit être modulé en fonction du bénéfice, allant de 50% pour les PME à 80% pour ceux dont le résultat dépasse 1 milliard, l’impôt sur la fortune doit être augmenté, une taxe sur les transactions financières adoptée… Ce sont au moins 100 milliards d’euros annuels qui doivent être récupérés en faisant payer les riches et grandes entreprises. C’est le seul moyen d’éviter une faillite annoncée.

Dévaluer l’euro

L’euro fort détruit l’économie comme le faisait le franc fort. La monnaie surévaluée gêne les exportations et bloque l’économie. Les périodes correspondant au franc fort ou à l’euro fort sont des périodes de stagnation économique. Lorsque la monnaie est dévaluée, la croissance repart. Le Japon par exemple connait un regain d’exportations depuis qu’il a dévalué le yen, l’Europe de la fin des années 1990 connaissait une croissance importante. Toutes les périodes où la monnaie est surévaluée sont par contre des périodes de stagnation économique.

Pourquoi alors l’Europe s’acharne-t-elle à surévaluer l’euro ? Les points positifs de l’euro surévalué sont la baisse du coût des importations et notamment des importations énergétiques et la lutte contre l’inflation. Le problème est que le remède de la surévaluation est pire que le mal du renchérissement des importations. Pour payer le pétrole moins cher, on détruit l’industrie, on pousse à la délocalisation vers des zones où les salaires sont moins chers, on favorise les rentiers et on détruite les entreprises. Quant à l’inflation elle ne constitue pas un problème en Europe pour l’instant.

Cette surévaluation de la monnaie est une partie du complot fasciste. L’euro fort détruit l’industrie, provoque faillites et chômage, désespère les peuples et crée une atmosphère favorable au retour du fascisme. C’est la raison pour laquelle les comploteurs nazis insistent tant sur cette mesure. Pourquoi faudrait-il continuer cette politique suicidaire qui ne profite qu’aux fascistes ? Dévaluer l’euro de manière importante est une condition sine qua non de la reprise économique européenne. Faute de dévaluation, l’Europe finira par éclater, et les vieux démons seront de retour : paupérisation, guerres, massacres et autres atrocités. Maintenir l’euro surévalué, c’est organiser les guerres à venir, c’est détruire l’Europe, c’est pourrir la vie de millions d’européens, c’est prendre du retard par rapport au reste du monde. Exiger une baisse immédiate de la valeur de l’euro, c’est le minimum pour un politicien conscient des atrocités qu’impliquent la politique de surévaluation à moyen terme.

Réduire le temps de travail

Passer des 35 heures actuelles à 30 heures hebdomadaires est une mesure qui s’impose absolument pour tout économiste sérieux. Cette diminution du temps de travail d’à peu près 15% permettrait de créer au moins un million d’emplois tout en laissant plus de temps libre aux salariés pour s’occuper de leurs enfants, pour faire du sport ou pour partir en week-end. Pourquoi faudrait-il que certains se tuent à la tâche pendant que d’autres sont condamnés au chômage, à l’exclusion sociale et à la pauvreté ? Tout le monde l’a compris, le refus acharné de la RTT est dû au complot fasciste plus encore qu’au patronat. En effet, pour les patrons, payer un peu plus cher l’heure de travail suite à la RTT permet de payer moins de cotisation pour indemniser les chômeurs. Ca permet de plus d’avoir des employés moins fatigués et plus concentrés. Par contre, effectivement, la baisse du chômage donne la possibilité aux salariés de relever la tête et de changer d’employeur en cas de désaccord ou de trop faible rémunération.  Ce qui n’arrange pas certains patrons.  Néanmoins, la baisse du chômage engendrée par la RTT a pour conséquence de relancer la consommation et donc d’éviter des milliers de faillites et d’améliorer les profits.

Pour les fascistes par contre, la RTT et la baisse du chômage qui en est la conséquence obligée est une catastrophe : si le chômage diminue, si le pessimisme cesse, si les salaires augmentent, si les salariés ne sont plus en permanence menacés de chômage, toute la rhétorique fasciste perd sa pertinence. Sans crise économique personne n’est plus intéressé par la fin des libertés, les massacres divers, la torture, la destruction de l’Europe politique et économique et la guerre mondiale. Réduire le temps de travail devrait par conséquent être une revendication prioritaire des syndicats, partis de gauche et antifascistes. Le refus de partager le travail conduira au fascisme et à la guerre mondiale tout comme l’euro fort ou le recul de l’âge de la retraite. Quand on refuse aux gens le droit de vivre dignement d’un travail stable et bien rémunéré, on prépare l’avènement d’une barbarie fasciste qui est une réponse suicidaire à la barbarie néo-libérale. On ne combattra pas le fascisme sans partager le travail entre tous et garantir les droits au travail, logement et vie privée qui sont prévus par la constitution.

Rétablir toutes les libertés pour tous

Pratiquer la politique de l’autruche sur la question des libertés est extrêmement préjudiciable pour la démocratie. Des milliers d’honnêtes citoyens sont les livrés aux milices fascistes et aux mafias. Par le biais des satellites, les gangsters de la bourgeoisie harcèlent nuit et jour de pauvres internautes qui ont osé contredire la propagande officielle de la dictature. Sans libération de tous les internautes harcelés par le Mind Control et une protestation efficace contre les méthodes totalitaires de la cyber-répression, tout citoyen pourra un jour se retrouver la cible des milices fascistes et chacun sera obligé de se taire sur tous les sujets, en laissant le monopole de la parole aux corrompus fascistes qui infestent les médias.

Accepter que de simples internautes soient pourchassés, harcelés et torturés par la surveillance satellite dans le monde entier pendant 10 ans sous le simple prétexte que la nomenklatura fasciste dirigeante ne supporte pas la critique, c’est mettre en danger la tranquillité de l’ensemble des citoyens, les réduire au silence et instaurer une dictature qui ne dit pas son nom. D’ailleurs c’est bien l’ensemble de la société qui est menacée par la tyrannie : on peut faire surveiller les gens parce qu’ils sont actifs sur le Net, parce qu’ils sont syndiqués, membres d’un parti politique, parce qu’ils écrivent des livres, font de la musique, participent à des réunions libertines, sont considérés comme trop à gauche, voire trop à droite, parce qu’ils ont des ennemis puissants qui les ont retrouvés en utilisant des fichiers publics… Personne, absolument personne n’est à l’abri du cyber-totalitarisme qui est en train de s’installer dans le monde. La France n’est déjà plus une démocratie et ce depuis longtemps. Ceux qui répètent inlassablement sur les ondes que nous vivons en démocratie sont le plus souvent des fascistes convaincus qui se moquent volontairement des citoyens.

Il n’y aura pas de retour de la justice sociale sans récupération préalable de toutes les libertés politiques et de tous les droits civiques qui ont été perdus depuis l’arrivée de la surveillance satellite il y a une trentaine d’années. Aucun salarié ne peut revendiquer ses droits légitimes s’il est en permanence surveillé par son  patron, la police, et les milices privées, sur son lieu de travail et hors de son lieu de travail. Le premier devoir des syndicats doit être de faire respecter les droits de l’Homme dans l’entreprise, et d’empêcher les directions de surveiller leurs salariés à leur insu. Aucune entreprise ne devrait avoir le droit de surveiller ses salariés sans l’autorisation de la Justice.  Aucun syndicaliste ou militant de gauche ne devrait passer dans les médias sans dénoncer la surveillance des satellites. Tous les dirigeants syndicaux sont bien entendu informés des possibilités du Mind Control et de l’utilisation de cette technologie contre les salariés.

Il faut donc interdire aux entreprises de lire les pensées de leurs salariés ; leur interdire l’espionnage des salariés hors des entreprise ; leur interdire toutes représailles satellitaire contre leurs employés. Le Mind Control satellite peut faire divorcer, rendre malade et tuer, comme le savent les personnes bien informées. Beaucoup de grévistes finissent par divorcer, et sont empêchés de retravailler par la surveillance satellite patronale. Rétablir les libertés dans les entreprises est donc une mesure minimale à prendre pour un gouvernement de gauche. Dénoncer les atteintes actuelles aux droits des travailleurs dues à la surveillance par satellite, c’est le minimum de ce que doit faire un syndicat ouvrier même modéré.

 

Guerre PS-FDG

Le PS semble considérer que le FDG est son ennemi principal. Les propositions du FDG ne sont pas prises en compte, les membres du FDG ne sont pas invités pour discuter des mesures à prendre, la politique mise en place par le PS est plus proche de celle préconisée par le Modem que du programme du FDG. Cette stratégie se révèle désastreuse, d’après les sondages d’avril 2013 : en cas d’élection présidentielle à cette date, le candidat du parti socialiste serait éliminé par ceux de l’UMP et du FN. Visiblement, quelque chose ne fonctionne pas dans la stratégie du PS.

Une règle de base à suivre pour un parti de gauche, c’est de faire preuve d’une sorte de solidarité gauchiste qui consiste à faire participer d’une manière ou d’une autre tous les mouvements de gauche à l’exercice du pouvoir. Au lieu de cela, on a souvent assisté à une lutte acharnée entre le PS et les autres partis de gauche, que ce soit le PCF à l’époque de François Mitterrand ou le FDG sous la présidence de François Hollande.  Tout se passe comme si le parti de la rue de Solferino préférait traiter avec la droite, le centre et voire même l’extrême droite, plutôt que de négocier avec des gens plus à gauche qu’eux.

Cette stratégie est totalement inefficiente, aujourd’hui comme hier. La lutte menée contre le PCF dans les années 1980 a effectivement abouti à un très grand affaiblissement de ce parti, sans pour autant avoir renforcé le PS ou la gauche dans son ensemble. La gauche a perdu les élections législatives de 1986, celles de 1993 et n’a dû sa réélection aux présidentielles de 1988 qu’aux 2 ans d’alternance de droite qui ont fortement déçu. En 1995 et 2002 le PCF a fait un score inférieur à 10% lors des élections présidentielles et ces élections ont été perdues par la gauche. Aux présidentielles de 1981 le PCF a dépassé les 15% et en 2012 le FDG a réalisé le score de 11,1%. Ces deux élections présidentielles ont été gagnées par la gauche et en l’occurrence le PS. Ces éléments nous permettent de supposer que pour que le PS puisse gagner des élections, il faut que les communistes et leurs alliés soient suffisamment puissants, c’est à dire qu’ils réalisent des résultats supérieurs à 10%. Ce n’est pas en favorisant le FN, prétendument pour affaiblir la droite, que le PS réussira sur le long terme. Quand le FN monte, c’est le PS qui est éliminé, pas la droite.

Par conséquent, il paraît logique pour les socialistes de collaborer de manière intensive avec le FDG et l’extrême gauche, de manière à constituer un bloc puissant et uni, qui pourra s’opposer à la droite et le l’extrême droite de manière victorieuse. Compte tenu de la force de la droite et du patronat, il ne saurait exister de possibilité de réussite pour les socialistes  sans un minimum de stratégie unitaire à gauche.

On a souvent l’impression que le PS est manipulé par la droite, qui dirigerait en sous-main sa stratégie. On sait que la technologie du Mind Control permet de manipuler mentalement les personnalités, et cette technologie est intensément appliquée dans la politique, secteur stratégique par excellence. Les maîtres du Mind Control sont les grandes entreprises, les services secrets, les Etats-Unis, les sociétés de surveillance privées, bref tout un ensemble de joyeux réactionnaires pour ne pas dire plus…

Il faut donc se méfier des stratégie imposées par le Mind Control, le plus souvent à l’insu des intéressés,  dirigeants politiques en général et de gauche en particulier.

Pour le PS, la stratégie gagnante, c’est la stratégie de gauche : elle consiste à s’allier de manière plus ou moins affirmée avec les autres partis de gauche, FDG, NPA ou autres, et à élaborer un programme modérément de gauche mais quand même de gauche, à base de hausse de smic, de RTT, d’avancement de l’âge de la retraite, de redistribution. Tout virage à droite fait perdre des électeurs, perte qui n’est pas totalement compensée par l’arrivée d’électeurs centristes qui préfèrent le plus souvent voter à droite. Toute stratégie droitiste est vouée à l’échec, comme le prouvent les débâcles électorales du passé. Les électeurs préférant l’original à la copie, quand le PS vire à droite, ils virent à droite aussi, mais sans lui.

La seule stratégie possible pour le PS consiste donc à s’allier avec les autres partis de gauche, à maintenir le cap à gauche, et à appuyer ses électeurs par tous les moyens, y compris au niveau de l’emploi. En effet, les patrons disposent de bases de données importantes dans lesquelles sont fichés les électeurs de gauche. Nos chefs d’entreprise cherchent en général à donner le moins de travail possible à ceux qui votent contre leurs intérêts à court terme. C’est à l’Etat et en l’occurrence au PS de corriger cette situation et de veiller à ce que les électeurs de gauche puissent travailler dans toutes les entreprises sans être pénalisés par leur vote. Il serait même utile pour la gauche et le PS, que les électeurs de gauche soient fortement favorisés dans toutes les entreprises, de manière à ce qu’ils profitent de leur vote à gauche et le réitèrent. C’est avec ce genre d’action qu’on fidélise l’électorat et qu’on se maintient au pouvoir.

De même, des milliers d’électeurs de gauche sont harcelés par les satellites des fascistes du Mind Control. Tant que ces gens n’auront pas été totalement libérés et leur tranquillité assurée, le PS et la gauche ne recouvreront pas leur crédibilité et ne remonteront pas dans l’opinion. On ne peut pas prétendre vivre en démocratie alors que n’importe quel citoyen peut subir les persécutions des nazis de la surveillance qui eux devraient être en prison au minimum. On ne doit tolérer aucune exaction contre les électeurs de gauche, quelle que soit sa tendance. La base de la réussite politique, c’est d’essayer de satisfaire un minimum sa clientèle. Les gens n’ont pas voté à gauche pour perdre leur travail et être harcelés par les satellites patronaux ou droitistes. Il faut étudier le cas de chaque personne harcelée par les patrons, la police ou des services secrets étrangers. Tous ceux qui ont voté à gauche doivent être libérés sans exception ; quelle que soit leur origine, religion, tendance politique. Faute de quoi, la droite reviendra au pouvoir, en collaboration avec l’extrême droite et ce sera la fin de la gauche, de la démocratie et des libertés. Si le régime du maréchal Pétain n’a duré que 4 ans, c’est en raison des circonstances exceptionnelles de l’époque (guerre mondiale, puissance soviétique…). Si les fascistes revenaient au pouvoir aujourd’hui, la dictature ne durerait pas 4 ans mais au moins 40 ans. La torture et l’espionnage à domicile seraient généralisés, la vie deviendrait un enfer pire que celui mis en place par Staline qui lui ne disposait pas du Mind Control. Dire à notre époque que nous vivons en démocratie, comme le font certains politiciens, journalistes et philosophes, c’est être complice du coup d’Etat permanent, c’est appuyer les putschistes et les fascistes qui sont en train de comploter contre nos libertés, c’est insulter les milliers d’otages en France.

Médias

Une des causes de la faiblesse structurelle de la gauche en France ces dernières années, ce sont les médias qui semblent sous contrôle raciste et fasciste. Par exemple, depuis la victoire de la gauche en 2012 et surtout l’intervention au Mali, les médias ont repris leurs vieilles habitudes de diffamation raciste, brocardant les « islamistes », « jihadistes », « salafistes » coupables de tous les maux et rendant obligatoire la mise en place ou le maintient de mesures liberticides.  Cette propagande islamophobe et coloniale profite visiblement à la droite et l’extrême droite, si on en croit les sondages d’avril et mai 2013. Dans tous ces sondages, en cas d’élection présidentielle à la date de leur confection, la gauche serait éliminé dès le premier tour. Visiblement, les électeurs votent comme les médias : lorsque les médias sont islamophobes et néo-libéraux, ils choisissent des candidats de droite et d’extrême droite. Il parait donc raisonnable pour la gauche de cesser toute propagande islamophobe, arabophobe, sinophobe, xénophobe en général, de même que tout discours prolétarophobe, qui affirme que la crise c’est de la faute des salaires et de la rigidité du travail, et qu’il faut donc bloquer les salaires, flexibiliser l’emploi, faire travailler les vieux, exonérer les patrons de tout ou presque.

N’oublions pas, les électeurs votent en partie  comme les médias. Si on veut du vote à gauche, il faut des infos de gauche, des émissions de gauche, des commentaires de gauche. Le discours de la gauche et de ses médias doit donc être ouvertement islamophile, et pas seulement neutre, arabophile de manière à combattre des préjugés qui datent au moins de la guerre d’Algérie et qui profitent aux droites, prolétarophile, de façon à ce que ceux-ci se reconnaissent dans le discours médiatique et politique de gauche et recommencent à voter à gauche. Toute propagande de gauche dans les médias finira par avoir un impact sur les sondages. Cette propagande n’est visiblement pas effectuée, les médias semblant être sous nette influence raciste et coloniale, ce qui se traduit par une augmentation des intentions de vote en faveur de l’extrême droite.

Internet

Sur le Net, la gauche est très peu présente, alors que les racistes sont pratiquement majoritaires. Il faut donc former des brigades d’internautes de gauche et d’extrême gauche, éventuellement payés, et ayant pour mission de développer les idées de gauche sur le Net tels la hausse du Smic, la retraite à 37,5 annuités, les hausses de salaires pour les fonctionnaires, le referendum d’initiative populaire, idée écologiste à la base, la lutte contre la surveillance satellite qui ne profite qu’aux diverses catégories de fascistes.

D’autre part, il ne faut plus que le Web  soit surveillé par des fascistes, comme c’est le cas actuellement. Donner aux fasciste le contrôle du Net, c’est leur donner le pouvoir politique à moyen terme. Ces fascistes doivent être exclus de la surveillance du réseau, comme il doivent être éliminés de la surveillance par satellite. Ceci est évidemment beaucoup plus facile à dire qu’à faire dans la mesure où ce sont en réalité les fascistes qui dirigent le monde en général et la France en particulier.

Les sites de gauche comme par exemple Mindcontrolfrance doivent être appuyés par les autorités, de manière à contrebalancer la propagande fasciste qui est omniprésente sur l’Internet. Ces sites de gauche doivent être référencés le plus possible, de manière à informer la population du complot fasciste et de ce qui arriverait en cas de prise de pouvoir par ces gens. Maintenir les citoyens dans l’ignorance de la puissance et la nocivité du Mind Control et les livrer ainsi pieds et poings liés au fascisme est une attitude criminelle que tous regretteront y compris ceux qui profitent provisoirement de cet instrument totalitaire. Le Mind Control est un outil fasciste et nazi qui profitera in fine aux fascistes et aux nazis. La dernière expérience nazie au cœur du 20 ème siècle a duré un peu plus d’une dizaine d’années. Si l’expérience se reproduisait, il est probable qu’elle durerait plusieurs décennies et voire même plusieurs siècles.  Il est donc extrêmement risqué de laisser ces fascistes aux manettes du Mind Control. Il ne faut pas non plus les laisser surveiller le Net et encore moins respecter l’omerta sur le MC sachant que cette loi du silence ne profite qu’aux fascistes. Ceux qui prétendent que nous vivons en démocratie, qui respectent la loi du silence sur le sujet du MC, qui collaborent avec la répression, ne devront pas s’étonner que les fascistes prennent le pouvoir pour l’unique raison que la gauche et les forces démocratique n’ont pas cru nécessaire de protester contre ces méthodes de répression satellitaire quand elles le pouvaient encore.

Le Mind Control est un moyen est aussi une fin : c’est un moyen de prendre le pouvoir, de supprimer toutes les libertés d’habituer progressivement la société à la torture et l’humiliation, mais, le MC constitue aussi le modèle de société dont les fascistes rêvent pour le monde : une société hiérarchisée à l’extrême, cruelle, injuste, criminelle où la caste dirigeante aura tous les droits et le peuple aucun. Chaque membre de la caste des maîtres aura une armée de chiens à son service qu’il utilisera pour harceler son troupeau d’esclaves car, il ne faut pas en douter, le programme des fascistes du Mind Control  c’est d’établir l’esclavage pour tous, avec droit de cuissage, de torture,  droit d’humilier, d’exploiter sans limite les animaux du cheptel. Ce système est déjà partiellement mis en place et les conditions de vie des premiers cyber-otages de la dictature permettent de donner une idée de ce qui attend l’humanité dans un proche avenir si le péril fasciste n’est pas jugulé.

On ne combattra pas le fascisme sans libérer les milliers de cyber-otage en France et les centaines de milliers d’autres dans le monde. De même, les nouveaux prisonniers politiques  et notamment ceux de Guantanamo doivent être libérés ou soumis à un régime carcéral habituel, de manière à faire cesser cette ambiance pré-nazie qui prévaut actuellement dans le monde.

Fermer Guantanamo serait un symbole de recul fasciste. Dans ce camp, des milliers de prisonniers subissent la torture et le harcèlement alors que la majeure partie d’entre eux et totalement innocente. Il est temps de fermer le camps, de libérer les innocents et de mettre les coupables dans des prisons classiques. Ce camp menace non seulement les musulmans, sa fonction de base, dans la mesure où tout musulman peut être emprisonné sans raison pour une durée indéterminée, de manière à terroriser tous les autres, mais il menace aussi l’ensemble de la société américaine, ce camp pouvant être redirigé vers le traitement des gauchistes, écologistes, fascistes dissidents, syndicalistes, minorités. Fermer ce camp et indemniser les victimes de l’arbitraire fasciste, c’est rendre un peu de liberté au peuple américain et au reste du monde.

D’autre part, pour défendre la démocratie, il faut rétablir la liberté et la sécurité pour tous les internautes : en effet, des dizaines de milliers d’internautes sont surveillés et harcelés par satellite, pour le seul crime d’utilisation de la liberté d’expression, et de dénonciation du système. Tant qu’il restera un seul internaute victime de la cyber-répression ce sont tous les internautes qui pourront être considérés comme vivant sous un régime de liberté conditionnelle et  par delà les internautes tous les citoyens qui pourront se considérer comme menacés par le fascisme planétaire actuel, même s’ils n’ont aucune activité politique et consacrent leurs loisirs au jeu, au sexe, à la philatélie ou toute autre pratique.

27 mars 2013

Infiltration fasciste à gauche

Classé dans : Gauche — mindcontrolfrance @ 10 h 22 min

 

Pour empêcher le développement de la gauche en France, la stratégie des fasciste consiste à infiltrer et isoler la gauche. Dans tous les partis de gauche et d’extrême gauche, les fascistes se sont infiltrés et ont pour mission d’en expulser tous les vrais militants de gauche pour les remplacer par des droitistes et des fascistes. Cette infiltration directe s’ajoute au control mental par satellite qui gêne la définition d’une stratégie politique cohérente.

Ces méthodes d’infiltration et de contrôle à distance permettent de faire en sorte que les partis d’extrême gauche ou de gauche soient dans les faits dirigés  par des droitistes et des nazis qui ont pour objectif de faire fuir à la fois les militants de gauche et les électeurs. Quand cette stratégie arrive à son terme, la gauche est éliminée de la compétition, comme en 2002 ou plus récemment lors des élections législatives partielles de l’Oise de 2013 où le PS et le FDG ont été éliminés dès le premier tour.

Pour faire cesser ces échecs systématiques il faut  que chaque parti progressiste élimine de ses rangs non pas les personnes de gauche, mais les fascistes infiltrés, qui sont ennemis de toutes les valeurs de gauche, telles la liberté, l’égalité des droits, la justice sociale.

Laisser les fascistes prendre le contrôle des mouvements de gauche, des syndicats et des associations de défense des droits de l’homme, c’est leur donner le pouvoir, les laisser provoquer des crises économiques, leur permettre de pratiquer l’intimidation, la persécution, les autoriser à faire un coup d’Etat secret.

Les fascistes infiltrés ont pour mission de faire prendre à la gauche la mauvaise direction dans tous les domaines : la gauche refuse d’augmenter les salaires, de revenir aux 37,5 annuités, de passer aux 32 heures, d’augmenter les fonctionnaires, de rétablir la liberté d’expression.  De même, l’extrême gauche tend à se transformer en diverses sectes, sous l’influence des agents infiltrés qui ont pour but de faire fuir les militants et de décourager les électeurs.

Le PS ne pourra pas rester durablement au pouvoir sans un virage à gauche très net, consistant à rétablir toutes les libertés, à délivrer les électeurs de gauche du Mind Control fasciste, à augmenter le smic, à lutter contre l’islamophobie fer de lance du fascisme, à revenir aux 37, 5 annuités.

Le FDG et l’extrême gauche eux, ne pourront s’imposer sur la scène politique qu’après la mise en place d’une certaine démocratie en leur sein, qui permettra d’attirer électeurs et militants. Il est évident que les militants du 21 ème siècle n’ont pas l’intention de se comporter dans des partis politiques comme s’ils étaient dans une entreprise. Les gens qui n’acceptent pas un minimum de débat démocratique en leur sein finissent toujours par perdre électeurs et militants et se retrouver dirigés par les fascistes infiltrés qui bénéficient de l’appui des satellites.

Les diverses erreurs induites par les fascistes infiltrés et ceux du Mind Control  font que le parti de clochards fascistes FN, ou l’Union des mafieux nazis, l’UMP, finissent par diriger la France pour le compte du Médef, même lorsqu’ils ont perdu les élections.

La gauche, qui représente les intérêts d’au moins 80% de la population se retrouve dans les faits faible, divisée et isolée, en raison des méthodes illégales employées par la droite, les fascistes, les polices politiques et les organisations patronales.

 

20 février 2013

Propositions pour la gauche

Classé dans : Gauche — mindcontrolfrance @ 17 h 47 min

 

On constate qu’en Europe, la gauche qu’elle soit socialiste ou travailliste se contente de faire une politique proche de celle de la droite, sans appliquer la moindre mesure qui soit vraiment de gauche. Les mêmes cause produisant les mêmes effets, les politique de « gauche » échouent autant que celles de droite.

Voici quelques propositions qui permettraient de sortir de la crise politique et économique qui nous accable depuis tant d’années.

1  Rétablir les libertés, et lever la loi du silence sur le Mind Control. Cette abolition des lois par junte fasciste qui dirige l’Occident devient insupportable, surtout lorsque cette dictature est au service d’une ploutocratie mafieuse qui pourrit et détruit la société. La mafia au pouvoir a tous les droits, y compris celui de harceler et assassiner les honnêtes citoyens. Les gangsters du Mind Control peuvent lire dans les pensées, torturer à distance, maintenir en isolement, faire divorcer, faire licencier. Ils peuvent violer en forçant le consentement, s’incruster au domicile des gens sans qu’on puisse s’en débarrasser.  Mettre ces déchets en prison serait le début d’un retour des libertés. Il faut rappeler à ces déchets que le domicile familial est sacré , et n’a pas à être violé par de vieux vicieux fascistes qui polluent la vie des familles.

2 Augmenter le salaire minimum dans toute l’Europe. Depuis une dizaine d’années, le salaire minimum est bloqué ou ralenti, en France et dans le reste de l’Europe, alors même que la hausse du salaire minimum est la condition sine qua non de toute croissance. Une hausse du smic d’au moins 20% en Europe occidentale et de 50% dans les pays de l’Est semble raisonnable. Le blocage du smic est dû au complot fasciste, qui a pour méthode d’imposer une austérité implacable de manière à préparer psychologiquement la population à renoncer à toutes ses libertés pour avoir droit à une amélioration limitée de ses conditions de vie.

3 Remettre la retraite à taux plein à 37,5 annuités de cotisations, comme c’était le cas avant 2003, l’année où la durée de cotisation est passée de 37,5 annuités à 41,5 annuités. Le retour aux 37,5 annuités créerait au moins un million d’emplois en France, les vieux pouvant partir à la retraite laissant ainsi la place aux jeunes et aux chômeurs. L’allongement de la durée de cotisation n’a généré aucune économie, puisque les vieux maintenus au travail ont empêché les chômeurs de retrouver un emploi, et, la plupart du temps, ces chômeurs sont eux aussi rémunérés. Donc, au lieu de faire travailler les jeunes et permettre aux vieux de se reposer, on fait travailler les vieux et on maintient les jeunes au chômage. Cette réforme des retraites qui a eu lieu dans toute l’Europe est donc d’une stupidité rare, à moins bien sûr que tout cela ait pour but de désorganiser et démoraliser les salariés, de manière à créer un climat propice au retour du fascisme.

4 Augmenter les impôts des riches et entreprises dans toute l’Europe. En France les baisses d’impôts et de charges, sous forme d’exonération ou baisse de taux, qui ont eu lieu depuis une trentaine d’années, avoisine les 200 milliards par an. Le déficit budgétaire est lui d’à peu près 90 milliards. Donc, annuler ces baisses d’impôts pour riches permettrait de régler à la fois la question de l’endettement et celle de la redistribution.

5 Réduire le temps de travail à 30 heures, ce qui permettrait de créer au moins 1 million d’emplois, tout en relançant l’économie, les chômeurs ayant récupéré un emploi se remettant à consommer.

6 Lancer une politique de grands travaux, payés avec les hausses d’impôts. Ces grands travaux pourraient être effectués dans le domaine des transports (métros, RER, routes), du logement (HLM), de l’écologie (éoliennes, centrales géothermiques). Cette politique de grands projets pourrait créer des centaines de milliers d’emplois.

7 Augmenter les minima sociaux, et notamment le RSA qui devrait être monté à au moins 800 euros, de manière à permettre à tous de vivre de manière humaine. Cette hausse sera financée par la hausse d’impôts (point n°4).

8 Supprimer la redevance télé, impôt particulièrement injuste puisque le milliardaire ou le rmiste paye le même tarif.

9  Limiter les mandats présidentiel et législatifs à 2 ans, ce qui permettra de congédier les gens qui ne donnent pas satisfaction, tout en permettant à plus de politiciens d’accéder au pouvoir, mais pour une durée plus courte.

10 Elire les ministres les plus importants, par exemple le ministre de l’intérieur, de l’économie, des affaires étrangères, ou le premier ministre. La procédure serait la suivante : le président présenterait plusieurs candidats et les électeurs choisiraient entre ces candidats.

11 Dévaluer l’Euro de manière à rendre les produits européens plus compétitifs.

12 Mettre en place une allocation jeune équivalente au RSA. Cette mesure coûterait à peu près 20 milliards soit la somme qui doit être fournie au médef par le gouvernement. Augmenter les revenus des jeunes permettra de relancer la demande de biens et services, et relancera donc l’activité, de façon plus efficace que des exonérations de charges pour les entreprises.

13 Mettre un droit de douane européen de 20%, sauf accord particulier avec un pays ou pour un produit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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