La dictature occidentale condamne les dissidents à des peines de cyber-prison pour des périodes très longues. A côté des prisonniers de droit commun classiques existent des cyber-détenus. Leurs peines sont la plupart du temps des condamnations à vie. D’après les témoignages, certains cyber-détenus sont emprisonnés depuis plus de 20 ans. Rares sont ceux qui sont un jour libérés.
Nos « démocraties libérales », sont en fait des dictatures implacables, où la moindre critique contre le système peut conduire à des peines de cyber-détention à perpétuité.
Les détenus sont gardés par un système satellite, le Mind Control, qui surveille chacun de leurs mouvements, qui lit dans leurs pensées, et qui permet la torture et l’exécution. Cette cyber-surveillance est animée par des chiens de garde, qui harcèlent et insultent nuit et jour, un peu comme dans un camp de prisonniers.
Le cyber-détenu n’a généralement pas le droit de travailler, de vivre en famille, de voyager, de rencontrer des amis, de faire du sport. D’après les témoignages, tous les détenus sont soumis au même régime. Pour maintenir les cyber-détenus en isolement, les chiens provoquent un état d’énervement permanent qui empêche tout contact social. Pour les empêcher de travailler, les cybers-chiens font échouer les entretiens d’embauche et font licencier les cyber-punis de leur emploi en manipulant mentalement les patrons et collègues. Pour interdire les voyages, ils pratiquent l’étouffement intense, qui empêche tout trajet en avion, train ou automobile. Pour supprimer la pratique du sport, les cyber-canidés bloquent les muscles, cassent le matériel, jusqu’au moment où le dissident est obligé d’arrêter. Les cyber-détenus n’ont pas le droit d’uriner ou de déféquer sans l’autorisation de la surveillance ; c’est l’occasion de prendre quelques dizaines de kilos supplémentaires. Dans certains cas, le cyber-détenu entend les voix de ses gardiens (neurophone) qui l’insultent et le menacent toute la journée, selon la bonne vieille tradition totalitaire.
Tout cela est secret. Le meilleur moyen de déjouer la critique, c’est de prétendre que la cyber-répression n’existe pas et de faire régner une loi du silence qui protège la dictature. Officiellement, il ne se passe rien. Il n’y a pas de Mind Control , pas de torture, pas de meurtres, pas d’espionnage à domicile, pas de cyber-détenus. Dans la réalité, nous vivons dans une dictature qui dispose d’instruments de répression imparables, et qui s’étend à toute la surface de la planète. Aucune fuite n’est possible.
Des milliers de détenus sont relégués dans ces cyber-prisons et certains, qui n’ont pas le neurophone, ne savent même pas qu’ils sont emprisonnés. Ils constatent simplement qu’ils ont divorcé, perdu leur travail et sont isolés. Ils pensent que cette situation est naturelle, sans se douter un seul instant, que les forces de répression les persécutent nuits et jours.
Ce cyber-emprisonnement est autant physique que mental. Si un cyber-détenu s’éloigne du programme prévu, des attaques physiques sont opérées : étouffement, énervement ou autres. Le cyber-détenu est contraint à une misérable routine, qui peut sembler plus ou moins naturelle vue de l’extérieur.
Les gens condamnés par les tribunaux secrets à des peine de cyber-détention à perpétuité le sont pour des motifs divers : dissidence sur Internet, appartenance à une minorité ethnique ou religieuse, insolence envers des notables de la dictature, vote gauchiste, conflit avec un ou plusieurs employeurs, appartenance ou ancienne appartenance à des syndicats, partis ou associations de gauche, parenté avec des dissidents. D’autres motifs sont plus prosaïques : règlements de comptes personnels, capacités sexuelles particulières, pur hasard.
Le Mind Control a tous les droits. Le Mind Control dispose de commissions qui décident des condamnations. Toute la classe politico-médiatique travaille pour le Mind Control et réciproquement. Le Mind Control a pour but final l’instauration d’une dictature de type nazi. Le Mind Control, c’est la forme moderne du nazisme. C’est une dictature futuriste et totalitaire, une sorte de synthèse entre nazisme et stalinisme. Le Mind Control, c’est la fin des libertés.
Ces milliers de personnes condamnées par des tribunaux sans visage, n’ont droit ni à des avocats, ni à des remises de peine. Ils subissent pour la plupart la torture physique et morale à un degré extrême pendant de longues périodes. Ils ne bénéficient d’aucune compassion, d’aucune pitié, d’aucune aide, bien qu’ils soient pour la plupart totalement innocents.
Les cyber-détenus politiques sont condamnés à perpétuité, sans aucun espoir d’amnistie. Pour le simple fait d’avoir osé contredire les autorités politiques de la « démocratie » de leur pays, qui se révèle être en réalité une dictature d’une cruauté sans limite.
Le fascisme du Mind Control est dans les faits plus proche du nazisme que du stalinisme. Il est caractérisé par un racisme omniprésent, une utilisation systématique de la torture, une haine viscérale de la liberté, une aversion pour les classes populaires. Il est issu d’une élite fasciste ploutocratique dégénérée et satanique, rendue folle par son omnipotence illimitée, elle-même due à l’extrême faiblesse de la gauche et des forces démocratiques.
Pour le cyber-détenu, la vie devient une prison. Il ne peut rien faire sans être en permanence harcelé par les chiens de la dictature. Parmi les chiens de garde, des ministres, anciens ministres, préfets, flics, militaires, agents de sécurité patronaux, magistrats, ecclésiastiques, acteurs, chanteurs, sportifs, anciens combattants, retraités divers recrutés par des associations ou partis politiques, fous, élèves des grandes écoles, délinquants, vrais détenus. Ces chiens peuvent être français ou étrangers ; parmi les étrangers sévissent des membres de services secrets, militaires, milliardaires, milices privées, diplomates, chefs d’Etats, ministres, rois, reines, princes, empereurs, anciens chefs d’Etat, anciens politiciens.
Les peines appliquées aux cyber-détenus sont dans le faits plus lourdes que des peines appliquées au prisonniers ordinaires de droit commun. Le cyber-détenu ne peut rien faire sans être harcelé et doit de plus être en contact avec des fascistes, gangsters et autres individus peu recommandables. Le cyber-détenu n’a ni vie sexuelle, ni vie familiale, ni vie professionnelle, ni vie sociale. Il ne parle qu’à ses gardiens, et seulement mentalement. Il est fréquemment torturé.
On constate, qu’en France, le délit d’opinion existe, alors que la liberté d’expression elle n’existe pas. Les fascistes dirigeants sont en connexion avec l’ensemble du fascisme international, trouvant des appuis dans divers pays en cas de révolte citoyenne.
Les cyber-détenus ne sont pas les seuls à être persécutés par la dictature ; ce sont aussi pratiquement l’ensemble des VIP qui sont devenus des cyber-otages, pour ne pas dire des cyber-prisonniers. Comme les dissidents, ils sont en permanence épiés, harcelés, gênés dans tous les aspects de leur vie, sauf quand ils ont des amis fascistes bien placés. Leur vie sexuelle est sous contrôle fasciste de même que leur vie sociale ou intestinale. Les chiens peuvent empêcher les rapports sexuels, et condamner les cibles à ne fréquenter que des fascistes. Les chiens peuvent aussi provoquer des disputes pour isoler les cyber-otages. Ils limitent généralement l’urination et la défécation de manière à provoquer l’engraissement ou même l’obésité. Isolés, le corps déformé, certains sont condamné à un exil qui n’existe pas. La patrie du Mind Control c’est le monde entier. Ils sont propriétaires de l’ensemble de la planète, du pôle Nord au pôle Sud.
Les cyber-détenus sont, à certains moments de la journée, gardés par de riches et vieux cinglés ou leurs enfants. Ces vieux détraqués ont pour habitude de hurler des insultes dans le neurophone, tout contents de leur nouveau jeu. De temps à autres ils pratiquent des séances d’étouffement. Pour obtenir le droit de torturer, ils payent certains partis politiques, voire même certains politiciens directement. D’autres ont des contacts parmi les hauts fonctionnaires ou au Médef. Ces vieux riches ont visiblement tous les droits, et, de temps à autres, pour se détendre un peu, ils assassinent à distance un cyber-détenu, en utilisant les satellites de surveillance.
Les cyber-détenus sont à la merci de ces fous, qui, un jour cassent une dent, et le lendemain frappent le cyber-détenu dans la tête, prenant le contrôle des mouvements de celui-ci. Parfois, ils forcent la cible à se suicider ou à tuer quelqu’un. De temps à autres, un peu comme Néron, ils allument des incendies, visant le plus souvent des personnes immigrées, Africains, Egyptiens, Turcs ou autres.
Il faudra qu’un jour, les associations de défense des droits de l’homme se mettent à faire leur travail, avant de se retrouver elles-mêmes victimes du Mind Control. Quelques procès retentissants pourraient mettre un terme ou au moins limiter ces pratiques monstrueuses. Par contre l’inertie face à l’intolérable pourrait se révéler fatale pour la démocratie. Si comme le disent les libéraux trop d’impôt tue l’impôt, alors, trop de lâcheté finit par tuer les lâches.